Lo stadio di Santiago era pieno
ma non per dare calci ad un pallone.
Persone non i fila per biglietti
ma per il plotone.
Fra tante voci si sentiva un suono
diverso dal vociare di persone
aveva una chitarra dentro agli occhi
e Victor era il suo nome.
Lo presero fra gli altri in mezzo a mille
spezzandogli le dita delle mani
per togliergli dal cuore le scintille
e dalla mente il domani
"E prova adesso, prova un po' a suonare"
gli dissero i guardiani di Pinocchio
"E prova adesso, e prova un po' a cantare,
anche in ginocchio"
Il Cile stava urlando nella notte,
la voce sua riempita di paura
e Victor ormai capiva che la sorte,
sarebbe stata dura
È dura non riuscire più a suonare
per chi se n'era fatto una ragione
di avere sempre addosso una chitarra
ogni stagione
Lo uccisero pensando di ammazzare
la sua chitarra insieme alla sua voce
ma senza tener conto della gente
la rabbia feroce
Cantava tutto il popolo il suo nome
che alto verso il cielo si levava
per rimanere scritto nella storia
era Victor Jara.
ma non per dare calci ad un pallone.
Persone non i fila per biglietti
ma per il plotone.
Fra tante voci si sentiva un suono
diverso dal vociare di persone
aveva una chitarra dentro agli occhi
e Victor era il suo nome.
Lo presero fra gli altri in mezzo a mille
spezzandogli le dita delle mani
per togliergli dal cuore le scintille
e dalla mente il domani
"E prova adesso, prova un po' a suonare"
gli dissero i guardiani di Pinocchio
"E prova adesso, e prova un po' a cantare,
anche in ginocchio"
Il Cile stava urlando nella notte,
la voce sua riempita di paura
e Victor ormai capiva che la sorte,
sarebbe stata dura
È dura non riuscire più a suonare
per chi se n'era fatto una ragione
di avere sempre addosso una chitarra
ogni stagione
Lo uccisero pensando di ammazzare
la sua chitarra insieme alla sua voce
ma senza tener conto della gente
la rabbia feroce
Cantava tutto il popolo il suo nome
che alto verso il cielo si levava
per rimanere scritto nella storia
era Victor Jara.
envoyé par adriana - 29/10/2005 - 10:13
Langue: français
Version française - SON NOM ÉTAIT VICTOR– Marco Valdo M.I. – 2012
Chanson italienne – Il suo nome era Victor – Briganda
Chanson italienne – Il suo nome era Victor – Briganda
SON NOM ÉTAIT VICTOR
Le stade de Santiago était plein
Mais pas pour jouer au ballon.
Les gens ne faisaient pas la file pour un billet
Mais pour le peloton.
Au milieu de toutes ces voix, on entendait
Un son différent du brouhaha des gens
Il y avait une guitare dans tous les yeux
Il avait une guitare dans les yeux
Et Son nom était Victor.
Ils l'allèrent chercher au milieu de mille
Lui rompirent les doigts des mains
Pour lui ôter du cœur les étincelles
Et de l'esprit l'avenir
« Essaye maintenant, essaye un peu de jouer »
Dirent les gardiens de Pinocchio
« Essaye maintenant, essaye un peu de chanter,
Et même, à genoux. »
Le Chili hurlait dans la nuit,
La voix remplie de peur
Victor comprenait maintenant
Combien son destin serait terrible
Il est dur de ne plus pouvoir jouer
Pour qui en avait fait une raison de vivre
D'avoir toujours une guitare au dos
En toute saison
Ils le tuèrent en pensant tuer
Sa guitare en même temps que sa voix
Sans tenir compte des gens
Et de leur rage féroce
Tout le peuple chantait son nom
Qui s'élevait haut dans le ciel
Pour se graver dans l'histoire
Il s'appelait Victor Jara.
Le stade de Santiago était plein
Mais pas pour jouer au ballon.
Les gens ne faisaient pas la file pour un billet
Mais pour le peloton.
Au milieu de toutes ces voix, on entendait
Un son différent du brouhaha des gens
Il y avait une guitare dans tous les yeux
Il avait une guitare dans les yeux
Et Son nom était Victor.
Ils l'allèrent chercher au milieu de mille
Lui rompirent les doigts des mains
Pour lui ôter du cœur les étincelles
Et de l'esprit l'avenir
« Essaye maintenant, essaye un peu de jouer »
Dirent les gardiens de Pinocchio
« Essaye maintenant, essaye un peu de chanter,
Et même, à genoux. »
Le Chili hurlait dans la nuit,
La voix remplie de peur
Victor comprenait maintenant
Combien son destin serait terrible
Il est dur de ne plus pouvoir jouer
Pour qui en avait fait une raison de vivre
D'avoir toujours une guitare au dos
En toute saison
Ils le tuèrent en pensant tuer
Sa guitare en même temps que sa voix
Sans tenir compte des gens
Et de leur rage féroce
Tout le peuple chantait son nom
Qui s'élevait haut dans le ciel
Pour se graver dans l'histoire
Il s'appelait Victor Jara.
envoyé par Marco Valdo M.I. - 7/10/2012 - 21:09
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Dall'album "Sceriffo senza pistola"