Je dédie cette oeuvre aux anarchistes
restés dignes de ce nom (Ch. d'Avray)
Grand ouvert est mon domicile,
Nul de vous ne doit l'ignorer,
Qu'on se le dise par la ville :
Quiconque peut y pénétrer.
Artisan de la pensée,
Si tu sens dans la poussée
Ta liberté menacée :
Viens chez moi!
Déserteur de la patrie,
Adversaire des tueries,
Si demain tu t'expatries :
Viens chez moi!
Avorteur, toi dont la science
Homicide par prudence,
A tes heures de malchance :
Viens chez moi!
Justicier des nobles causes
Qui t'insurges, t'armes, oses,
Puisqu'à la mort tu t'exposes :
Viens chez moi!
Etranger que l'on pourchasse,
Peu m'importe à moi ta race,
Dès que tu crains la menace :
Viens chez moi!
A toute loi je suis hostile,
Anarchiste invétéré,
Je pratique le droit d'asile
Et pour moi, ce droit est sacré.
restés dignes de ce nom (Ch. d'Avray)
Grand ouvert est mon domicile,
Nul de vous ne doit l'ignorer,
Qu'on se le dise par la ville :
Quiconque peut y pénétrer.
Artisan de la pensée,
Si tu sens dans la poussée
Ta liberté menacée :
Viens chez moi!
Déserteur de la patrie,
Adversaire des tueries,
Si demain tu t'expatries :
Viens chez moi!
Avorteur, toi dont la science
Homicide par prudence,
A tes heures de malchance :
Viens chez moi!
Justicier des nobles causes
Qui t'insurges, t'armes, oses,
Puisqu'à la mort tu t'exposes :
Viens chez moi!
Etranger que l'on pourchasse,
Peu m'importe à moi ta race,
Dès que tu crains la menace :
Viens chez moi!
A toute loi je suis hostile,
Anarchiste invétéré,
Je pratique le droit d'asile
Et pour moi, ce droit est sacré.
envoyé par Riccardo Venturi - 26/5/2005 - 21:53
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Una canzone in cui una sola strofa è decisamente contro la guerra, ma che anche nelle rimanenti esprime lo spirito di libertà e di tolleranza che sono alla base di ogni tipo di antimilitarismo.
Riprendo il testo da "La musica dell'altra Italia"