L’hiver 71, c’est l’hiver du chaos
L’hiver de la défaite devant les Pruscos
L’hiver de la souffrance et l’hiver de la faim
L’hiver des collabos, des faux républicains
Il commence à fleurir des cocardes écarlates
Et bientôt dans la rue, le cri du peuple éclate.
Versaillais, Versaillais,
Vous avez fusillé le cœur d’une révolution
Vous l’avez jetée en prison
Mais il reste à Paris, l’esprit des insurgés.
Un matin tout Paris entre en insurrection
Et Paris doit lutter contre la réaction
Etudiants, ouvriers, armez vos chassepots
Du haut des barricades agitez vos drapeaux
Agitez vos drapeaux, qu'les versaillais cannonent
Agitez un mouchoir rouge du sang d’un homme.
Versaillais, Versaillais,
Vous avez fusillé le cœur d’une révolution
Vous l’avez jetée en prison
Mais il reste à Paris, l’esprit des insurgés.
Avec la cruauté d’une bête sauvage
Thiers a tué la Commune en un rouge carnage
Derrière les tombes et les croix d’un cimetière
A 10 contre 200 les révolutionnaires
Les derniers fédérés contre un mur sont tombés
Ne murmurant qu’un mot, le mot fraternité.
Versaillais, Versaillais,
Vous avez fusillé le cœur d’une révolution
Vous l’avez jetée en prison
Mais il reste à Paris, l’esprit des insurgés.
L’hiver de la défaite devant les Pruscos
L’hiver de la souffrance et l’hiver de la faim
L’hiver des collabos, des faux républicains
Il commence à fleurir des cocardes écarlates
Et bientôt dans la rue, le cri du peuple éclate.
Versaillais, Versaillais,
Vous avez fusillé le cœur d’une révolution
Vous l’avez jetée en prison
Mais il reste à Paris, l’esprit des insurgés.
Un matin tout Paris entre en insurrection
Et Paris doit lutter contre la réaction
Etudiants, ouvriers, armez vos chassepots
Du haut des barricades agitez vos drapeaux
Agitez vos drapeaux, qu'les versaillais cannonent
Agitez un mouchoir rouge du sang d’un homme.
Versaillais, Versaillais,
Vous avez fusillé le cœur d’une révolution
Vous l’avez jetée en prison
Mais il reste à Paris, l’esprit des insurgés.
Avec la cruauté d’une bête sauvage
Thiers a tué la Commune en un rouge carnage
Derrière les tombes et les croix d’un cimetière
A 10 contre 200 les révolutionnaires
Les derniers fédérés contre un mur sont tombés
Ne murmurant qu’un mot, le mot fraternité.
Versaillais, Versaillais,
Vous avez fusillé le cœur d’une révolution
Vous l’avez jetée en prison
Mais il reste à Paris, l’esprit des insurgés.
envoyé par Riccardo Venturi - 9/5/2005 - 19:05
La canzone (con qualche lieve modifica nel testo) si può ascoltare anche nel doppio 45 giri "Les Barricadiers (“Commune de Paris 1871 - Commune de Mai 68”, 1968)edita in Francia dalla "Collection Expression Spontanée" di Parigi. Sul retro della copertina (che per esempio, si può vedere nel sito cliccando su "Le Père Duchesne (ou L'Bon Dieu dans la merde)" scrivevano: l'"Expression Spontanée" è una produzione e diffusione di dischi che non trova posto nel sistema di produzione capitalista attuale e ha la sua diffisione al di fuori dei circuiti commerciali tradizionali che sono basati unicamente sul profitto e sull'abbruttimento dell'individuo.
L'elenco completo dei titoli presenti in questo doppio 45 giri, interpretato da questi non meglio identificati Barricadiers, è:
- La Semaine Sanglante
- Le Père Duchesne
- Le Drapeau Rouge
- La Canaille
- Je Vote
- Carmela
- Versaillais
- Des Canons
L'elenco completo dei titoli presenti in questo doppio 45 giri, interpretato da questi non meglio identificati Barricadiers, è:
- La Semaine Sanglante
- Le Père Duchesne
- Le Drapeau Rouge
- La Canaille
- Je Vote
- Carmela
- Versaillais
- Des Canons
Flavio Poltronieri - 25/11/2014 - 18:46
×
Interpretazione di Annie Nobel
Dal Sito ufficiale di Annie Nobel, dal quale è possibile anche ascoltare e scaricare un breve estratto (18 secondi) della canzone.