Je ne sais pas grand chose, petit
Je dis seul’ment ce que j’ai vu
J’ai vu que les histoires, petit
Berçaient les hommes
Toute leur vie
Berçaient les hommes
Pour qu’ils s’endorment
Ou bien pour qu’ils partent
Au combat
Sans pleurs
Et sans cris de douleur
La mort ne se raconte pas
La peur des hommes
A inventé tant d’histoires...
Je ne sais pas grand chose, petit
Berçaient le sage
Pour qu’il se damne
Le fou
Pour qu’il se croit vainqueur
Tenant la puissance et la gloire
Quand seule la VIE
est leur VICTOIRE
Les rêves des hommes
Ont inventé tant d’histoires...
Je ne sais pas grand chose, petit
Berçaient les hommes
Pour qu’ils se donnent
A d’autres coeurs
A d’autres corps
Mais peut-on jamais partager
Peut-on briser la solitude ?
L’amour des hommes
A inventé tant d’histoires...
Je sais toutes les histoires, petit
J’en ai tellement entendu
Mais tu dors... à présent, petit
Je ne t’en raconterai plus...
Je dis seul’ment ce que j’ai vu
J’ai vu que les histoires, petit
Berçaient les hommes
Toute leur vie
Berçaient les hommes
Pour qu’ils s’endorment
Ou bien pour qu’ils partent
Au combat
Sans pleurs
Et sans cris de douleur
La mort ne se raconte pas
La peur des hommes
A inventé tant d’histoires...
Je ne sais pas grand chose, petit
Berçaient le sage
Pour qu’il se damne
Le fou
Pour qu’il se croit vainqueur
Tenant la puissance et la gloire
Quand seule la VIE
est leur VICTOIRE
Les rêves des hommes
Ont inventé tant d’histoires...
Je ne sais pas grand chose, petit
Berçaient les hommes
Pour qu’ils se donnent
A d’autres coeurs
A d’autres corps
Mais peut-on jamais partager
Peut-on briser la solitude ?
L’amour des hommes
A inventé tant d’histoires...
Je sais toutes les histoires, petit
J’en ai tellement entendu
Mais tu dors... à présent, petit
Je ne t’en raconterai plus...
envoyé par Riccardo Venturi - 17/4/2005 - 03:39
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Assieme a Philippe Richeux