E spera e spera, un uomo arriverà
L'immagino in strada, nei cortei, fra noi
Aver paura, piangere
Cercare i figli morti per lui
E l'uomo in bianco scese dal cielo
Ma era al di là dalle barricate
E l'uomo in bianco vide la morte
Ma era di là dalle barricate
Santiago del Cile
Padre, tuo figlio dov'è?
Santiago del Cile
Io non lo vedo più
Natale di sangue
No, non lo scorderò
E spera e spera, il Papa arriverà
L'immagino in strada, nei cortei, fra noi
Gridare forte, combattere
Sacrificarsi per chi crede in lui
E l'uomo in bianco scese dal cielo
Ma era al di là dalle barricate
E l'uomo in bianco vide la muerte
Ma era al di là delle barricate
E dittatura e religione fanno l'orgia sul balcone
E dittatura e religione fanno l'orgia
Santiago del Cile
Padre, tuo figlio dov'è?
Santiago del Cile
Io non lo vedo più
Natale di sangue
No, non lo scorderò
Vangelo, pistola
Dimmi la pace qual è?
Santiago del Cile
Padre, tuo figlio dov'è?
Santiago del Cile
Io non lo vedo più
Natale di sangue
No, non lo scorderò
Vangelo, pistola
Dimmi la pace qual è?
L'immagino in strada, nei cortei, fra noi
Aver paura, piangere
Cercare i figli morti per lui
E l'uomo in bianco scese dal cielo
Ma era al di là dalle barricate
E l'uomo in bianco vide la morte
Ma era di là dalle barricate
Santiago del Cile
Padre, tuo figlio dov'è?
Santiago del Cile
Io non lo vedo più
Natale di sangue
No, non lo scorderò
E spera e spera, il Papa arriverà
L'immagino in strada, nei cortei, fra noi
Gridare forte, combattere
Sacrificarsi per chi crede in lui
E l'uomo in bianco scese dal cielo
Ma era al di là dalle barricate
E l'uomo in bianco vide la muerte
Ma era al di là delle barricate
E dittatura e religione fanno l'orgia sul balcone
E dittatura e religione fanno l'orgia
Santiago del Cile
Padre, tuo figlio dov'è?
Santiago del Cile
Io non lo vedo più
Natale di sangue
No, non lo scorderò
Vangelo, pistola
Dimmi la pace qual è?
Santiago del Cile
Padre, tuo figlio dov'è?
Santiago del Cile
Io non lo vedo più
Natale di sangue
No, non lo scorderò
Vangelo, pistola
Dimmi la pace qual è?
Langue: espagnol
Versión castellana de Estel
Dedicada al próximo "santo subito" Juan Pablo II
Santiago fue inspirada por la visita del papa Juan Pablo II en Chile durante la dictadura de Pinochet (en el 1987) y por la película "Missing" de Costa Gravas. La llegada del pontífice acompañada de mil esperanzas y después la tristeza de verle con el dictador saludando la multitud desde el balcón y, debajo, la policía que carga contra los manifestantes.
El organizador de la visita fue el entonces nuncio apostólico en Chile y después secretario de Estado card. Angelo Sodano, ligado al dictador chileno por una larga amistad.
Dedicada al próximo "santo subito" Juan Pablo II
Santiago fue inspirada por la visita del papa Juan Pablo II en Chile durante la dictadura de Pinochet (en el 1987) y por la película "Missing" de Costa Gravas. La llegada del pontífice acompañada de mil esperanzas y después la tristeza de verle con el dictador saludando la multitud desde el balcón y, debajo, la policía que carga contra los manifestantes.
El organizador de la visita fue el entonces nuncio apostólico en Chile y después secretario de Estado card. Angelo Sodano, ligado al dictador chileno por una larga amistad.
SANTIAGO
Y espera y espera, un hombre llegará
Le imagino en la calle, en las manifestaciones, entre nosotros
Tener miedo, llorar
Buscar a los hijos muertos por él
Y el hombre blanco bajó del cielo
Pero estaba al otro lado de las barricadas
Y el hombre blanco vio la muerte
Pero estaba al otro lado de las barricadas
Santiago de Chile
¿Padre, tu hijo donde está?
Santiago de Chile
Yo ya no le veo
Navidad de sangre
No, no lo olvidaré
Y espera y espera, el Papa llegará
Le imagino en la calle, en las manifestaciones, entre nosotros
Gritar fuerte, luchar
Sacrificarse por los que creen en él
Y el hombre blanco bajó del cielo
Pero estaba al otro lado de las barricadas
Y el hombre blanco vio la muerte
Pero estaba al otro lado de las barricadas
Y dictadura y religión hacen la orgía en el balcón
Y dictadura y religión hacen la orgía
Santiago de Chile
¿Padre, tu hijo donde está?
Santiago de Chile
Yo ya no le veo
Navidad de sangre
No, no lo olvidaré
Evangelio, pistola
Dime ¿la paz cual es?
Santiago de Chile
¿Padre, tu hijo donde está?
Santiago de Chile
Yo ya no le veo
Navidad de sangre
No, no lo olvidaré
Evangelio, pistola
Dime ¿la paz cual es?
Y espera y espera, un hombre llegará
Le imagino en la calle, en las manifestaciones, entre nosotros
Tener miedo, llorar
Buscar a los hijos muertos por él
Y el hombre blanco bajó del cielo
Pero estaba al otro lado de las barricadas
Y el hombre blanco vio la muerte
Pero estaba al otro lado de las barricadas
Santiago de Chile
¿Padre, tu hijo donde está?
Santiago de Chile
Yo ya no le veo
Navidad de sangre
No, no lo olvidaré
Y espera y espera, el Papa llegará
Le imagino en la calle, en las manifestaciones, entre nosotros
Gritar fuerte, luchar
Sacrificarse por los que creen en él
Y el hombre blanco bajó del cielo
Pero estaba al otro lado de las barricadas
Y el hombre blanco vio la muerte
Pero estaba al otro lado de las barricadas
Y dictadura y religión hacen la orgía en el balcón
Y dictadura y religión hacen la orgía
Santiago de Chile
¿Padre, tu hijo donde está?
Santiago de Chile
Yo ya no le veo
Navidad de sangre
No, no lo olvidaré
Evangelio, pistola
Dime ¿la paz cual es?
Santiago de Chile
¿Padre, tu hijo donde está?
Santiago de Chile
Yo ya no le veo
Navidad de sangre
No, no lo olvidaré
Evangelio, pistola
Dime ¿la paz cual es?
envoyé par Estel y Lorenzo - 25/4/2011 - 20:55
Langue: français
Version française – Marco Valdo M.I. – 2008
De ce côté-ci d'Eboli, le pape est une des icônes de notre temps. Monsieur Tout Blanc, c'est un peu le Tintin du Ciel, audacieux voyageur et redresseur de torts, bonne âme inoxydable. Tout comme il y eut Tintin en Amérique, Tintin au pays des Soviets, Tintin au Tibet (moins politiquement correct, celui-là – à présent, il faudrait l'intituler Tintin en Chine : commerce oblige !) et l'inoubliable Tintin au Congo (plein de racisme et de bandes dessinées), nous avons eu droit à Monsieur Tout Blanc en Amérique, Monsieur Tout Blanc en Afrique... depuis, il y aurait, paraît-il, un Monsieur Tout Blanc au Paradis (Santo subito ! Santo Subito !), mais je ne l'ai pas vu.
En 1987, il y eut – dans ce cas, la chose est certaine, un Monsieur Tout Blanc à Santiago, lorsque Monsieur Tout Blanc s'en alla saluer un général de ses amis, l'Augustissime Pinochet.
Litfiba a voulu et réussi à immortaliser cette béate circonstance au nom du Père, du Fils... et pas du peuple chilien qui lui se souvient encore du 11/9 lorsque en 1973, fut assassiné son président Allende. Quant à sa résurrection, celle du peuple chilien, elle est toujours en cours à l'heure actuelle; pour sa révolution (et la nôtre), elle est en perspective....
Ainsi parlait Marco Valdo M.I.
En 1987, il y eut – dans ce cas, la chose est certaine, un Monsieur Tout Blanc à Santiago, lorsque Monsieur Tout Blanc s'en alla saluer un général de ses amis, l'Augustissime Pinochet.
Litfiba a voulu et réussi à immortaliser cette béate circonstance au nom du Père, du Fils... et pas du peuple chilien qui lui se souvient encore du 11/9 lorsque en 1973, fut assassiné son président Allende. Quant à sa résurrection, celle du peuple chilien, elle est toujours en cours à l'heure actuelle; pour sa révolution (et la nôtre), elle est en perspective....
Ainsi parlait Marco Valdo M.I.
MONSIEUR TOUT BLANC À SANTIAGO
Espère et espère, un homme va arriver
Je l'imagine dans la rue, dans les cortèges, parmi nous
Avoir peur, pleurer
Chercher ses fils morts pour lui.
Et Monsieur Tout Blanc descendit du ciel
Mais de l'autre côté des barricades
Et l'homme en blanc vit la mort
Mais il était de l'autre côté des barricades.
Santiago du Chili
Père, où est ton fils ?
Santiago du Chili
Je ne le vois plus
Noël de sang
Non, je ne l'oublierai pas
Espère et espère, le pape va arriver
Je l'imagine dans la rue, dans les cortèges, parmi nous
Crier fort, combattre
Chercher ses fils morts pour lui.
Et Monsieur Tout Blanc descendit du ciel
Mais c'était de l'autre côté des barricades
Et Monsieur Tout Blanc vit la mort
Mais de l'autre côté des barricades
Et la dictature et la religion font la noce au balcon
Et la dictature et la religion font la noce
Santiago du Chili
Père, où est ton fils ?
Santiago du Chili
Je ne le vois plus
Noël de sang
Non, je ne l'oublierai pas
Ange, pistolet
Dis-moi, quelle paix ?
Santiago du Chili
Père, où est ton fils ?
Santiago du Chili
Je ne le vois plus
Noël de sang
Non, je ne l'oublierai pas
Ange, pistolet
Dis-moi, quelle paix ?
Espère et espère, un homme va arriver
Je l'imagine dans la rue, dans les cortèges, parmi nous
Avoir peur, pleurer
Chercher ses fils morts pour lui.
Et Monsieur Tout Blanc descendit du ciel
Mais de l'autre côté des barricades
Et l'homme en blanc vit la mort
Mais il était de l'autre côté des barricades.
Santiago du Chili
Père, où est ton fils ?
Santiago du Chili
Je ne le vois plus
Noël de sang
Non, je ne l'oublierai pas
Espère et espère, le pape va arriver
Je l'imagine dans la rue, dans les cortèges, parmi nous
Crier fort, combattre
Chercher ses fils morts pour lui.
Et Monsieur Tout Blanc descendit du ciel
Mais c'était de l'autre côté des barricades
Et Monsieur Tout Blanc vit la mort
Mais de l'autre côté des barricades
Et la dictature et la religion font la noce au balcon
Et la dictature et la religion font la noce
Santiago du Chili
Père, où est ton fils ?
Santiago du Chili
Je ne le vois plus
Noël de sang
Non, je ne l'oublierai pas
Ange, pistolet
Dis-moi, quelle paix ?
Santiago du Chili
Père, où est ton fils ?
Santiago du Chili
Je ne le vois plus
Noël de sang
Non, je ne l'oublierai pas
Ange, pistolet
Dis-moi, quelle paix ?
envoyé par Marco valdo M.I. - 5/11/2008 - 10:59
Be che si deve dire ...
Non bisogna dimenticare che Giovanni Paolo 2° incontrera' anche Fidel Castro nel 1998 nella Plaza de la Revolución dicendo :"che il mondo apra le porte a Cuba"
Evento che dai soliti anticattolici non viene ricordato...
Per il resto "noi" cristiani dobbiamo :
"DARE A DIO CIO' CHE E' DI DIO E A CESARE CIO' CHE E' DI CESARE" e chi ha orecchie per intendere intenda !
(Un cattolico)
Non bisogna dimenticare che Giovanni Paolo 2° incontrera' anche Fidel Castro nel 1998 nella Plaza de la Revolución dicendo :"che il mondo apra le porte a Cuba"
Evento che dai soliti anticattolici non viene ricordato...
Per il resto "noi" cristiani dobbiamo :
"DARE A DIO CIO' CHE E' DI DIO E A CESARE CIO' CHE E' DI CESARE" e chi ha orecchie per intendere intenda !
(Un cattolico)
Ecco, o bravi, dategli magari anche mons. Pio Laghi, a Cesare o a Dio. Ma evidentemente l'Argentina della giunta militare golpista aveva "aperto le porte a Dio" (e anche quelle degli aeroplani i volo per far precipitare i desaparecidos. Ma del resto non era il vostro Gesuccristo che parlava di "sepolcri imbiancati"...? Saluti. [RV]
Quella sopra dei litfiba è una canzone che continua tuttora a farmi venire la pelle d'oca.
Riguardo al rimettere a cesare ciò che è di cesare e a dio ciò che è di dio,nell'ambito della politica vaticana in america latina vorrei anche ricordare il rifiuto di wojtyla di ricevere in udienza privata monsignor romero,arcivescovo di san salvador, prima del suo assassinio politico (si veda Non esageri signor vescovo). Evidentemente era considerato troppo schierato dalla parte di cesare nel condannare l'odio e la violenza dell'establishment salvadoregno del tempo (per inciso, supportato dagli stati uniti) e nell'esortare i militari a disubbidire al preciso ordine di far fuori senza indugio chi si opponeva o anche semplicemente chiedeva pane (riferimento).salvo poi gridare 'romero è nostro',sulla sua tomba,per evitare imbarazzanti collegamenti con la teologia della liberazione (questi preti comunistacci che non porgono l'altra guancia...).
Wojtyla ha fatto più santi di tutti i suoi predecessori messi assieme,praticamente mancano solo mio nonno e monsignor Romero (vedi La memoria di un martire). Capisco mio nonno che fumava come un turco,ma monsigor Romero (e lo dico da ateo) è morto (letteralmente sull'altare) difendendo la vita e chiedendo giustizia. Perchè lui no?
Cari amici cattolici (e dico cattolici, non cristiani), il vostro dio vi ha dato un cervello, ogni tanto, invece di proferire sentenze risibili del genere 'chi ha orecchie per intendere intenda', usatelo criticamente per valutare l'operato delle vostre guide spirituali, oltre che per adorarne i santini.
Riguardo al rimettere a cesare ciò che è di cesare e a dio ciò che è di dio,nell'ambito della politica vaticana in america latina vorrei anche ricordare il rifiuto di wojtyla di ricevere in udienza privata monsignor romero,arcivescovo di san salvador, prima del suo assassinio politico (si veda Non esageri signor vescovo). Evidentemente era considerato troppo schierato dalla parte di cesare nel condannare l'odio e la violenza dell'establishment salvadoregno del tempo (per inciso, supportato dagli stati uniti) e nell'esortare i militari a disubbidire al preciso ordine di far fuori senza indugio chi si opponeva o anche semplicemente chiedeva pane (riferimento).salvo poi gridare 'romero è nostro',sulla sua tomba,per evitare imbarazzanti collegamenti con la teologia della liberazione (questi preti comunistacci che non porgono l'altra guancia...).
Wojtyla ha fatto più santi di tutti i suoi predecessori messi assieme,praticamente mancano solo mio nonno e monsignor Romero (vedi La memoria di un martire). Capisco mio nonno che fumava come un turco,ma monsigor Romero (e lo dico da ateo) è morto (letteralmente sull'altare) difendendo la vita e chiedendo giustizia. Perchè lui no?
Cari amici cattolici (e dico cattolici, non cristiani), il vostro dio vi ha dato un cervello, ogni tanto, invece di proferire sentenze risibili del genere 'chi ha orecchie per intendere intenda', usatelo criticamente per valutare l'operato delle vostre guide spirituali, oltre che per adorarne i santini.
ricky - 11/12/2006 - 14:19
Santo Subito! Santo Subito! Santo Subito! Santo Subito! Santo Subito! Santo Subito! Santo Subito! Santo Subito! Santo Subito! Santo Subito! Santo Subito! Santo Subito! Santo Subito! Santo Subito! Santo Subito! Santo Subito!
F. Scudellari - 2/4/2007 - 12:54
L'orgia sul balcone, l'orgia in transatlantico, l'orgia con la cupola. E' tutta un orgia !
Abajo la Iglesia ! Solo il vangelo è la mia via ....
Abajo la Iglesia ! Solo il vangelo è la mia via ....
castelpoggio - 10/9/2007 - 12:28
E' scandaloso come per rimanere sulla creasta dell'onda in più Paesi possibili, si stringa amicizie con le dittature.
A proposito, in quel periodo gli USA non esportavano ancora democrazia?
La Chiesa è una PUTTANA...
A proposito, in quel periodo gli USA non esportavano ancora democrazia?
La Chiesa è una PUTTANA...
DANX - 4/5/2008 - 12:42
Meravigliosa canzone dei "veri" Litfiba (che ora sono caduti nel ridicolo grazie a canzonette buone solo per RDS)! E comunque un "applauso" al Vaticano che è stato sempre alleato dei più grandi carnefici e dittatori della storia, a partire dalle Crociate medievali. SI vede che l'unica cosa che conta per il Vaticano è la morale cattolica e la fede dei suddetti dittatori carnefici, poi se questi ultimi dovessero per pura ipotesi uccidere migliaia di persone non importa. CLORO AL CLERO!
Jack - 21/10/2008 - 17:52
(da Wikipedia http://it.wikipedia.org/wiki/Augusto_P...)
I rapporti con il Vaticano
Il 18 febbraio del 1993 giungono a Pinochet, in occasione della ricorrenza delle sue nozze d'oro, due lettere da parte di papa Wojtyła e del Segretario di Stato Angelo Sodano:
« Al generale Augusto Pinochet Ugarte e alla sua distinta sposa, Signora Lucia Hiriarte Rodriguez, in occasione delle loro nozze d'oro matrimoniali e come pegno di abbondanti grazie divine con grande piacere impartisco, così come ai loro figli e nipoti, una benedizione apostolica speciale.»
(Giovanni Paolo II)
I rapporti con il Vaticano
Il 18 febbraio del 1993 giungono a Pinochet, in occasione della ricorrenza delle sue nozze d'oro, due lettere da parte di papa Wojtyła e del Segretario di Stato Angelo Sodano:
« Al generale Augusto Pinochet Ugarte e alla sua distinta sposa, Signora Lucia Hiriarte Rodriguez, in occasione delle loro nozze d'oro matrimoniali e come pegno di abbondanti grazie divine con grande piacere impartisco, così come ai loro figli e nipoti, una benedizione apostolica speciale.»
(Giovanni Paolo II)
ΔΙΩRAMA Poco Ligio All'Ufficialità! - 6/1/2009 - 10:30
"Ecco, o bravi, dategli magari anche mons. Pio Laghi, a Cesare o a Dio."
Fatto!
Fatto!
Alberto - 12/1/2009 - 11:09
Fa veramente venire la pelle d'oca Pinochet era un mostro non meritiva neanche l'estrema unzione doveva morire solo
alberto - 7/11/2009 - 14:52
Appello: adesso Pinochet Santo Subito
Nel giorno della beatificazione di Giovanni Paolo II rivolgiamo un accorato appello al Santo Padre per dare inizio al processo di beatificazione di Augusto José Ramón Pinochet Ugarte, baluardo inespugnabile della fede cattolica che ha saputo dare ai proseliti dell’ateismo materialista del nostro secolo la più elevata prova che al di sopra di ogni cosa stanno i valori eterni della religione e dello spirito. (*)
(*) Ci permettiamo qui di parafrasare il radiomessaggio di S.S. Pio XII ai cattolici di Spagna in occasione della vittoria di un altro illustre faro della cristianità
Nel giorno della beatificazione di Giovanni Paolo II rivolgiamo un accorato appello al Santo Padre per dare inizio al processo di beatificazione di Augusto José Ramón Pinochet Ugarte, baluardo inespugnabile della fede cattolica che ha saputo dare ai proseliti dell’ateismo materialista del nostro secolo la più elevata prova che al di sopra di ogni cosa stanno i valori eterni della religione e dello spirito. (*)
(*) Ci permettiamo qui di parafrasare il radiomessaggio di S.S. Pio XII ai cattolici di Spagna in occasione della vittoria di un altro illustre faro della cristianità
Peppe, soprassedendo sull'infondatezza del tuo implicito paragone Pinochet-Castro, non mi risulta che GPII abbia mai dedicato a Fidel Castro alcuna benedizione speciale.
Gianni - 2/5/2011 - 22:21
Evidentemente Castro non gli e l'ha richiesta...
Ma le prigioni cubane sono dei luoghi di villeggiatura? Non mi risulta che ci siano libere elezioni dal 1959. Da allora Cuba è talmente "libre" che pure la figlia del presidentissimo scappo' in incognito in America...
ALINA CASTRO RACCONTA LA SUA FUGA IN AMERICA - la Repubblica.it
Ma le prigioni cubane sono dei luoghi di villeggiatura? Non mi risulta che ci siano libere elezioni dal 1959. Da allora Cuba è talmente "libre" che pure la figlia del presidentissimo scappo' in incognito in America...
ALINA CASTRO RACCONTA LA SUA FUGA IN AMERICA - la Repubblica.it
Peppe di Stefano - 2/5/2011 - 23:30
Peppe non stiamo facendo un dibattito sulla qualità delle galere. Non credo che le galere siano dei luoghi di villeggiatura in nessun paese del mondo. Se tu fossi preoccupato dei diritti dei carcerati cominceresti ad interessarti dello stato delle carceri italiane, visto che fino a prova contraria sei un cittadino italiano.
Soprassedendo ancora sulla patente di democrazia data dalle "libere elezioni", poi mi devi spiegare quali elezioni democratiche avevano eletto il generale Fulgencio Batista prima del 1959.
Soprassedendo ancora sulla patente di democrazia data dalle "libere elezioni", poi mi devi spiegare quali elezioni democratiche avevano eletto il generale Fulgencio Batista prima del 1959.
Gianni - 2/5/2011 - 23:50
La differenza e che in Italia non ci finiscono i dissidenti politici!
Che Batista non sia stato eletto con elezioni democratiche non autorizzava il suo successore a continuare su quella strada.
Che Batista non sia stato eletto con elezioni democratiche non autorizzava il suo successore a continuare su quella strada.
Peppe - 3/5/2011 - 13:17
Vorrà dire che alla prossima rivoluzione ti mandiamo la richiesta di autorizzazione in carta bollata. Ora insisterò perché anche la richiesta di autorizzazione all'uso della tortura nella base americana di Guantanamo ti venga fatta arrivare direttamente a casa. Mi raccomando non firmare.
Gianni - 3/5/2011 - 15:18
×
da "Litfiba 3" (1988)
Santiago fu ispirata dalla visita di papa Giovanni Paolo II in Cile durante la dittatura di Pinochet (nel 1987) e dal film Missing di Costa Gravas. L'arrivo del pontefice accompagnato da mille speranze e poi la tristezza vedere lui e il dittatore che salutano la folla dal balcone e, sotto, la polizia che carica i dimostranti.
L'organizzatore della visita fu l'allora nunzio apostolico in Cile e poi segretario di Stato card. Angelo Sodano, legato al dittatore cileno da una lunga amicizia.
CILE E VATICANO: UNA PAGINA IMBARAZZANTE
di Gianni Perreli / L'Espresso 10 dicembre 1998
A vent'anni dal golpe la legittimazione più calorosa arrivò al dittatore Augusto Pinochet dalle stanze del Vaticano. 18 febbraio 1993: la privatissima ricorrenza delle sue nozze d'oro viene allietata da due lettere autografe in spagnolo che esprimono amicizia e stima e portano in calce le firme di papa Wojtyla e del segretario di Stato Angelo Sodano. «Al generale Augusto Pinochet Ugarte e alla sua distinta sposa, Signora Lucia Hiriarde Pinochet, in occasione delle loro nozze d'oro matrimoniali e come pegno di abbondanti grazie divine», scrive senza imbarazzo il Sommo Pontefice, «con grande piacere impartisco, così come ai loro figli e nipoti, una benedizione apostolica speciale. Giovanni Paolo II.» Ancor più caloroso e prodigo di apprezzamenti è il messaggio di Sodano, che era stato nunzio apostolico in Cile dal '77 all'88, e che nell'87 aveva perorato e organizzato la visita del papa a Santiago, trascurando le accese proteste dei circoli cattolici impegnati nella difesa dei diritti umani.
Il cardinale scrive di aver ricevuto dal pontefice «il compito di far pervenire a Sua Eccellenza e alla sua distinta sposa l'autografo pontificio qui accluso, come espressione di particolare benevolenza». Aggiunge: «Sua Santità conserva il commosso ricordo del suo incontro con i membri della sua famiglia in occasione della sua straordinaria visita pastorale in Cile». E conclude, riaffermando al signor Generale, «l'espressione della mia più alta e distinta considerazione».
Il Vaticano non rese pubbliche queste missive così partecipi. Né lo fece Pinochet, che pure probabilmente le aveva sollecitate. Si decise di mantenerle nell'ambito della sfera privata, per timore che l'eccesso di enfasi attizzasse nuove polemiche. Ma tre mesi dopo prevalse la vanità del dittatore. I documenti furono portati alla luce dal quotidiano cileno "El Mercurio". E furono ripresi da "Témoignage Chrétien", la rivista francese dei cattolici progressisti. Provocando «reazioni di rivolta, di tristezza e di vergogna», nel ricordo delle barbare esecuzioni e delle feroci torture perpetrate dal regime di Pinochet.
Molti lettori indirizzarono al Vaticano lettere di indignazione. Un gruppo di preti-operai di Caen diede una risposta particolarmente risentita all'iniziativa del Papa e di Sodano. Opponendo al commosso ricordo di Wojtyla «l'emozione davanti alla morte del presidente Allende e di molti suoi collaboratori; davanti alla retata e al parcheggio dei sospetti nello stadio di Santiago; davanti alle dita amputate del cantante Victor Jara per impedirgli di intonare sulla sua chitarra gli accordi della libertà; davanti alle sparizioni, alle carcerazioni, alle torture». E la Fraternità e la Comunità Francescana di Béziert espressero la loro costernazione in modo lapidario: «Durante il potere di Pinochet Gesù Cristo era crocifisso ancora».
(continua...)