Già, formerly Alessandro, e Dead End, e The Lone Ranger, e Bartolomeo Pestalozzi, e non mi ricordo più chi altri... Poi mi sono radicato stabilmente in Bernart Bartleby, per affetto di Riccardo Venturi e Gian Piero Testa che mi tennero a battesimo...

Ma sono solo un "copypaster"...

In qualcuna delle tue pagine, come questa, c'è qualcosa di più, a cominciare dall'intuizione.

Saluzzi

Sono perfettamente e assolutamente d'accordo...! Ma permettimi che mi ero pregustato già un "In Latinum sermonem vertit" accanto alle consuete diciture...vabbè! Sta a vedere che mi toccherà farla a me! :-)

@ Marco Valdo M.I.

Cher Marco Valdo,

c'était parce que je trouve vachement intéressant qu'un francophone d'aujourd'hui, de n'importe quelle francophonie moderne, ait éprouvé le besoin de tradure en français courant un texte comme celui-ci, qui non seulement est en “patois” (je déteste ce terme, si je pense que même le wallon, le breton [!!] ou l'occitan étaient appelés des “patois”...), mais en un “patois” d'il y a plus d'un siècle qui n'est plus bien compris, je le soupçonne, même en Sologne ou en Beauce. Cela explique bien le fait que Gaston Couté n'a jamais joui de la faveur qu'il méritait: trop difficile. Il y a un poète italien, Albino Pierro, qui aurait mérité le Nobel quand il était encore en vie; mais il écrivait dans son dialecte de Tursi, en Lucanie, un dialecte incroyablement archaïque et incompréhensible. C'est peut-être une comparaison exacte. Merci quand-même pour ta traduction, je te le dis après sept ans, c'est vrai, mais tu sais qu'on est assez “larges” avec le temps, ici. Hélas, Avec le temps...

Tranquillo, BB: sono immunizzato da tempo contro il maicolgecsonvirus, posso affrontarlo tranquillamente senza timore di essere contagiato. Il vino bòno® mi ha aiutato moltissimo, però, confesso, pur avendolo rovesciato iersera su un ISEE e su due settimane enigmistiche quasi riempite. Salud!