Almost Cut My Hair
MI ERO QUASI TAGLIATO I CAPELLI
(continua)
(continua)
inviata da Il Lorenzaccio 27/8/2016 - 13:54
Heut singen wir ein neues Lied (Lied der Alten)
anonimo
La fonte originale citata è il volume “Lieder aus den faschistischen Konzentrationslagern” (Hofmeister, Leipzig 1962) curato dalla celebre ricercatrice musicale, ebrea tedesca, Inge Lammel (1924-2015), coadiuvata nel lavoro da Günter Hofmeyer.
L’auteur du texte de ce chant était probablement un Berlinois, qui a écrit les strophes fin 1941. Il fut initialement composé comme poème. La mise en musique était moins connue.
Le chant a été rejeté par beaucoup de prisonniers, parce qu’ils ressentaient la dernière strophe comme une raillerie des nouveaux arrivants et parce que la référence aux « anciens » ne correspondait pas à leur intention. Le chant fut chanté à plus d’un ancien pour son anniversaire. (op. cit. p. 59)
Le chant a été rejeté par beaucoup de prisonniers, parce qu’ils ressentaient la dernière strophe comme une raillerie des nouveaux arrivants et parce que la référence aux « anciens » ne correspondait pas à leur intention. Le chant fut chanté à plus d’un ancien pour son anniversaire. (op. cit. p. 59)
NOUS ENTONNONS UN NOUVEAU CHANT
(continua)
(continua)
inviata da Bernart Bartleby 26/8/2016 - 13:48
Graue Kolonnen
La fonte originale citata è il volume “Lieder aus den faschistischen Konzentrationslagern” (Hofmeister, Leipzig 1962) curato dalla celebre ricercatrice musicale, ebrea tedesca, Inge Lammel (1924-2015), coadiuvata nel lavoro da Günter Hofmeyer.
Ce chant des marais fut aussi chanté dans d’autres camps. Sur la mélodie appréciée des Wandervögel, les soldats des marais avaient placé leurs paroles et la dernière phrase „Uns geht die Sonne nicht unter –Notre soleil ne se couche pas“ comme signe de leurs espoir de victoire. (op. cit. p. 32)
GRISES COLONNES VONT AU MARAIS
(continua)
(continua)
inviata da Bernart Bartleby 26/8/2016 - 13:36
Lied von Sachsenburg
anonimo
BÂTIE DE BÉTON ET D’ACIER (HYMNE DE SACHSENBURG)
(continua)
(continua)
inviata da Bernart Bartleby 26/8/2016 - 09:10
Fern verbannt nach Emslands Norden
La fonte originale citata è il volume “Lieder aus den faschistischen Konzentrationslagern” (Hofmeister, Leipzig 1962) curato dalla celebre ricercatrice musicale, ebrea tedesca, Inge Lammel (1924-2015), coadiuvata nel lavoro da Günter Hofmeyer.
Le texte a été écrit par le camarade Kaufmann, de Lüdenscheid, qui à cette époque était interné dans le camp du Moorlager V, Neu-Sustrum. Le chant qui rencontra vite le succès, fut, selon que le camp était gardé par des unités de la police, des SS ou SA, chanté ouvertement ou en secret. (Notice du livre, op. cit.)
LOIN, BANNI DANS L’EMSLAND MORNE
(continua)
(continua)
inviata da Bernart Bartleby 25/8/2016 - 09:36
Ein jeder von uns sechsen (oder Die Jauchkolonne)
A SIX À CETTE TÂCHE (LA MERDIQUE COLONNE)
(continua)
(continua)
inviata da Bernart Bartleby 25/8/2016 - 09:26
Konzentrationäre (Neuengammer Lagerlied)
La fonte originale citata è il volume “Lieder aus den faschistischen Konzentrationslagern” (Hofmeister, Leipzig 1962) curato dalla celebre ricercatrice musicale, ebrea tedesca, Inge Lammel (1924-2015), coadiuvata nel lavoro da Günter Hofmeyer.
Ce chant, qui décrit la situation du KZ de Neuengamme près de Hambourg, est né en 1943/44, lorsque la quarantaine y fut imposée, suite à une épidémie de typhus. Le chant devait sur ordre du commandant être chanté par tous les prisonniers et devint bien entendu bientôt populaire. Il résonnait pendant la marche vers le travail, et au départ du camp, en novembre 1944, de prisonniers incorporés de force dans la formation SS « Dirlewanger »
Les 2 noms cités dans le texte, « Klinker –brique vernissée » et « Elb’ – Elbe », le fleuve qui passe là, étaient des kommandos de travail. Le kommando de travail « Elbe » et une briqueterie construite par les prisonniers. Le 5e verset fait allusion à l’appel du matin, quand les noms des camarades qui devaient être libérés étaient criés. (cité de l’op. cit. , page 113)
Les 2 noms cités dans le texte, « Klinker –brique vernissée » et « Elb’ – Elbe », le fleuve qui passe là, étaient des kommandos de travail. Le kommando de travail « Elbe » et une briqueterie construite par les prisonniers. Le 5e verset fait allusion à l’appel du matin, quand les noms des camarades qui devaient être libérés étaient criés. (cité de l’op. cit. , page 113)
PRÈS DE HAMBOURG, DANS LA LANDE
(continua)
(continua)
inviata da Bernart Bartleby 25/8/2016 - 08:57
?װער קלאַפּט עס
anonimo
Il brano originale tratto da Mlotek, E. & J. Songs of Generations, p.21
Ver klapt dos azoy shpet bay nakht?
(continua)
(continua)
inviata da Dq82 24/8/2016 - 11:40
Heil, Sachsenhausen!
BIN ICH EIN HALBWILDER SCHEIßPOLE! (oder HEIL SACHSENHAUSEN)
(continua)
(continua)
inviata da Bernart Bartleby 24/8/2016 - 09:27
Alles fügt sich und erfüllt sich
ĈIO REGULIĜAS
(continua)
(continua)
inviata da Bernart Bartleby 24/8/2016 - 08:54
Józef Wittlin: Żydom w Polsce
23/24 agosto 2016 01:36
AGLI EBREI DI POLONIA
(continua)
(continua)
24/8/2016 - 01:22
פּאַפּיראָסן
Adattamento di Rikle Glezer alle vicende del ghetto di Vilna, e all'eliminazione dei suoi abitanti nel bosco di Ponary
עס איז געװענ אַ זומער־טאָג
(continua)
(continua)
inviata da Dq82 23/8/2016 - 10:00
Little Boy Soldiers
Traducanzone di Andrea Buriani
GIOCHIAMO ALLA GUERRA
(continua)
(continua)
inviata da Dq82 23/8/2016 - 09:48
The Times They Are A-Changin'
Traducanzone di Andrea Buriani
I Tempi stanno sempre cambiando e le generazioni si susseguono non senza contrasti, anche adesso, ma sembra che in alcuni momenti storici il tutto sia esasperato. Così avvenne nell'Occidente di circa cinquanta anni fa e Bob Dylan, poeta menestrello, lo rimarcò in molti suoi testi. Questa sua famosissima canzone fu l'emblema di quella generazione che ha creduto veramente di poter cambiare il mondo.
I Tempi stanno sempre cambiando e le generazioni si susseguono non senza contrasti, anche adesso, ma sembra che in alcuni momenti storici il tutto sia esasperato. Così avvenne nell'Occidente di circa cinquanta anni fa e Bob Dylan, poeta menestrello, lo rimarcò in molti suoi testi. Questa sua famosissima canzone fu l'emblema di quella generazione che ha creduto veramente di poter cambiare il mondo.
I TEMPI STANNO CAMBIANDO
(continua)
(continua)
inviata da Dq82 23/8/2016 - 09:36
Ja, am Alex, ja, am Alex
anonimo
OUI, À L’ALEX, OUI, À L’ALEX
(continua)
(continua)
inviata da Bernart Bartleby 23/8/2016 - 09:22
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Il "sento di doverlo a qualcuno" è riferito al richiamo di leva per il Vietnam. Ciascuno aveva un numero e i numeri di chi era chiamato a partire per la guerra erano chiamati a caso.
Insomma, Crosby non è costretto a tagliarsi i capelli, benchè un pò -così lunghi- gli diano fastidio, perchè è stato fortunato a non essere stato chiamato, e non se li taglia per rispetto di coloro che invece sono stati meno fortunati e sono stati richiamati per andare in Vietnam (oltre che per protesta, ovviamente).
Ciao a tutti! :)
La mia traduzione: