P.S. : Juste quelques mots à propos du narrateur, qui manifestement n'est pas un fanatique du régime ; on le sent tout au long de son monologue dans lequel il dénonce violemment le régime et la façon dont ce dernier traite les travailleurs. Et la description de la cérémonie d'inauguration sous la grêle et les averses par le Führer en personne de cette autoroute des Teutons est hallucinante d'ironie. Hitler en leveur de bras automatique est proprement surréaliste. Pour situer notre narrateur, le seul point de référence dont on dispose est le premier vers : « Papa et moi, on était tous deux de la Teutonia ». Il ne reste plus qu'à retrouver cette Teutonia, qui devait bien être une association. Mais laquelle ? En creusant, j'ai fini par trouver, c'était la loge maçonnique de Postdam. En effet, une loge maçonnique de Postdam portait ce nom de Teutonia ("Teutonia zur Weisheit" – Weisheit étant... (continua)
Penso che ci sia un errore di nome. Credo che si tratti di una poesia di Antoni Słonimski (in traduzione inglese, l'originale polacco si trova ad esempio qui). Comunque una poesia, non una canzone. Andreas Slominski (e non Slonimski) invece non è né un poeta né un cantante ma un artista che fa roba tipo questa ma non credo che c'entri niente...
Traduco l'inglese - la lingua gringa dei padroni nordamericani - in italiano; lo spagnolo dei braccianti e degli operai chicani in... sardo logudorese (tento). Per la parte dall'inglese sono debitore ai preziosi suggerimenti della mia amica Alice L.
Un giorno non molto lontano il Meridione della gloriosa ed antica cultura greca prenderà coscienza delle vessazioni e dei soprusi subiti dai corruttori latini con la compiacenza degli ascari del sud. Ai carnefici della nostra amata terra che hanno costretto, allora i nostri padri, oggi i nostri figli ad emigrare, non resterà altro che scappare se faranno in tempo.
IIIT
Mi piace dedicare queste “Litanie di Satana” e anche Abel et Caïn del grande Baudelaire alla splendida Chiara, tanto accecata quanto ignorante – lei sì - fan dei Gen Rosso…
Chanson italienne - Inno individualista – anonimo – vers 1900
« Je vous envoie ce chant anarchiste du début du 20ième siècle ; décidez s'il convient de l'insérer. Ravachol (pseudonyme de François Koenigstein) La Ravachole et Ravachol, fut un anarchiste français né en 1859 et mort guillotiné en 1892 sous l'accusation d'homicide. » [Renato Stecca],
D'auteur anonyme, de date incertaine. Il en existe deux versions avec un texte varié et des musiques différents. Dans une précédente version au lieu de Gaetano Bresci, il est question de Vittorio Pini, anarchiste expropriateur milanais mort à Cayenne. (Pour info : la Cajenna est le nom donné à deux prisons sardes : l'Asinara et San Sebastiano à Sassari ; la Sardaigne était appelée de ce fait « la Cajenna d'Italia »); le texte se trouve dans l'opuscule "Il bosco degli alberi"(« le bois des arbres »), histoire d'Italie de l'unité à aujourd'hui... (continua)
Merci de me corriger ; vraiment, ça me fait bien plaisir, moi qui me plains toujours auprès des amis des Chansons contre la Guerre de ne pas avoir de correcteur... Ça me fait plaisir aussi car je vois ainsi que cette version française a eu au moins un lecteur attentif.
Et surtout aussi car tu as raison. « Sol = soleil », partout.
Sauf ici... et pourquoi ? Voici la clé du mystère :
Préambule : j'insiste sur la notion de version et sur celle de recréation... et clairement, je le revendique.
Une anecdote qui sans doute prouvera mon vilain penchant poétique et iconoclaste.
Anecdote pour Gian-Piero.
Aux temps où j'apprenais – disons plus exactement, où l'on essayait de me faire apprendre le grec (ancien), mon excellent et admirable professeur, ayant compris que je n'y comprenais rien (au grec), mais que je pouvais donner d'excellentes versions en langue française... (continua)
Per chi legge questi versi di Salvatore Quasimodo, vorrei ricordare che sono ripresi dal Salmo 137 (136) "Lungo i fiumi di Babilonia", lamentazione degli ebrei esuli lungo i canali di Babilonia, dopo la distruzione di Gerusalemme del 586 a.C. e che sempre ad esso è riferita la canzone di Leonard Cohen "By the rivers dark".