Stalin's White Sea Canal, or Belomor, remains one of the Soviet Union’s most infamous Gulag construction projects. Thousands of prisoners labored in freezing conditions with primitive tools to finish the canal in a mere twenty months from 1931-1933; alongside the locks, the prisoners were supposedly rebuilding their lives.
Draskoczy's new book, Belomor: Criminality and Creativity in Stalin's Gulag, offers a glimpse into the prisoners' daily experiences at Belomor by examining never-before-published archival materials. The talk will highlight Odessa, the Jewish "City of Thieves," by looking at the criminal song "Music Is Playing in the Moldavanka.” This analysis illuminates the intersection of criminality, creativity, and ideology that was emblematic of the Belomor experience. Source
11/4/2014 - 15:24
Versione polacca di Alosza Awdiejew
Dall'album "Chłopcy źli. Piosenki z Odessy i nie tylko"[1999]
Testo da tekstowo.pl/ Sito ufficiale
«I remember that port in Vanino» (Russian: Я помню тот Ванинский порт) — a popular Russian folk song of the USSR epoch, which is often called an anthem of Soviet GULAG prisoners on Kolyma. Time of writing is unknown. A Kolyma prisoner A.G. Morozov asserted he had heard it in autumn 1947. He dated its writing by 1946–1947 years (the construction of the Vanino port was completed in June 20, 1945). It was attributed and self-attributed to a number of authors, including a repressed poets Nikolai Zabolotsky, B.A. Ruch’ev and even to executed by shooting in 1938, Boris Kornilov. Alexander Voznesensky told about F.M. Demin-Blagoveschensky. A Magadan littérateur A.M. Biryukov has researched this issue and showed very convincingly that its author was Konstantin Sarakhanov.[1]
The song is named for the port in the village Vanino, on the Pacific coast of Russia. The Vanino port was a transit point... (continua)
Le Port de Vanino (en russe Ванинский порт) est une chanson populaire, considérée comme l'hymne du goulag de la Kolyma (ou l'hymne des prisonniers de la Kolyma), héritage de l'Union soviétique.
Elle daterait de 1946 ou 1947. Le nom du ou des auteur(s) est incertain.
Le port de Vanino (qui a donné le nom de la chanson) fut terminé en 1945. C'est un port de transit des prisonniers, se trouvant sur le pacifique russe. Ceux-ci étaient alors acheminés vers le port de Magadan, centre administratif du Dalstroï, qui se trouve sur la mer d'Okhotsk.
Ensuite les prisonniers étaient conduits, par la « route des os », appelée ainsi tant la mortalité y était élevée (de plus, des os de prisonniers décédés semblent y avoir été incorporés), vers la vaste région de la Kolyma, très au nord, où un froid intense sévissait en hiver (-60-70°C), au milieu de la taïga, un goulag particulièrement cruel, où se trouvaient des mines d'or.
À lire, le livre éponyme de Varlam Chalamov Récits de la Kolyma.
Chanson allemande – Die Schuld – Hellmuth Krüger – 1947
Texte d'Hellmuth Krüger (1890-1955), écrivain allemand, acteur et comique très actif dans le cabaret berlinois des années dorées de la République de Weimar.
À qui la faute de tout ce massacre que l'Allemagne a causé ? À Bismarck ou au vieux « Frédérique le Grand » qui nous guidèrent mal ? Aux théories de Nietzsche ou de Hegel ? Ou peut-être aux fables trop violentes des frères Grimm ? Ou bien avons-nous exagéré dans la lecture de la saga des Nibelungen ? … Mais ne faisons pas les enfants ! Inutile déranger les sociologues et peut-être attribuer la responsabilité à Adam : la faute est toujours à celui qui est en selle ! (et j'ajoute : de celui qui le soutient)
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Ah, Lucien l'âne mon ami, je suis content de te voir... Tu arrives à point nommé...
Ah bon..., mon ami Marco Valdo M.I. Et pourquoi donc ?