Chanson italienne – I reduci – Giorgio Gaber – 1976

En voilà encore une fois, un de ces titres de chanson qui évoque mille choses, dit Lucien l'âne en râpant d'un sabot rugueux le sol de gravillons qui s'étale jaunâtre devant lui. Les anciens combattants... depuis le temps que je cours le monde, j'en ai rencontrés de toutes les sortes et revenant de toutes sortes de guerre. Je me souviens assez bien de ceux qui revenaient de la guerre de Troie, par exemple, de la guerre des Gaules ou des guerres d'Espagne. Ceux qui s'en étaient allés avec Roland et bien entendu étaient revenus... Don Quichotte et Sancho... Ceux qui avaient fait les campagnes de Russie... Là d'ailleurs, il y en eut bien des vagues et de toutes les couleurs. Sans compter ceux qui s'en étaient allés à la croisade ou au Tonkin ou même en Chine ; ceux de Carthage ou de Rome, ceux qui avaient été dans les bataillons d'Afrique... (continua)

(originariamente postata come canzone a parte per irreperibilità del testo originale di Deborah Kooperman)

La versione castigliana di tre strofe di Luoghi Comuni, di Jorge Aulicino

Dal blog Otra iglesia es imposible - Museo de poesía antigua y contemporánea, Buenos Aires, Primavera 2013. A dire il vero, la mia "famosa" identificazione coi Luoghi Comuni di Wilcock ha rischiato di avere, a suo tempo, anche una versione castigliana; ma, naturalmente, mi sono arenato per le evidenti difficoltà dell'impresa, del tutto al di là delle mie possibilità. Particolarmente contento sono, quindi, di aver trovato almeno tre strofe del poemetto tradotte da un argentino. Ai tempi in cui, ragazzo, iniziava la mia avventura in compagnia di Juan Rodolfo Wilcock, avrei pagato oro per trovare quel che oggi si trova in rete con un semplice "clic"; ma non c'era praticamente nulla. Nel bisunto volumetto Adelphi delle "Poesie" (che si apre proprio con "Luoghi Comuni") conservo gelosamente, ancora, il ritaglio di un vecchio... (continua)