Los que fabrican las guerras
Version française – LES FABRICANTS DE GUERRE – Marco Valdo M.I. – 2011
d'après la version italienne de Bartleby
d'une chanson argentine en espagnol de Los Cantores de Quilla Huasi – 1970
Texte et musique : Oscar “Cacho” Valles (Oscar Arturo Mazzanti, membre des Cantores de Quilla Huasi jusqu'en 1983, compositeur et auteur d'une centaine de chansons devenue parts intégrantes du folklore argentin) et de Díaz Ribeiro.
d'après la version italienne de Bartleby
d'une chanson argentine en espagnol de Los Cantores de Quilla Huasi – 1970
Texte et musique : Oscar “Cacho” Valles (Oscar Arturo Mazzanti, membre des Cantores de Quilla Huasi jusqu'en 1983, compositeur et auteur d'une centaine de chansons devenue parts intégrantes du folklore argentin) et de Díaz Ribeiro.
LES FABRICANTS DE GUERRE
(continua)
(continua)
inviata da Marco Valdo M.I. 16/4/2011 - 15:59
El fantasma del laac
d'après la version italienne de Gian-Piero Testa
d'une chanson en comasque laghée de Davide Van De Sfroos – El Fantasma del Laac – 1992
Davide Van De Sfroos doit aimer les fantômes ou alors, il en rencontre souvent , peut-être fait-il partie lui-même d'une confrérie fantasmatique... Allez savoir... Voici donc sa deuxième chanson où un fantôme paraît dans le titre... Et un deuxième fantôme qui court autour du lac dans le pays de Côme...
Oh, dit Lucien l'âne en faisant semblant de trembler de tous ses membres et de tout son dos, en hérissant les poils de sa colonne de la tête à la queue, brrr, des fantômes... Ils me donnent le frisson, rien que d'y penser. mais à la vérité, je n'en ai jamais rencontré beaucoup et les seuls que j'ai vus étaient de bien braves gens, un peu déboussolés, mais gentils quand même. Aimables. Cela dit, je me demande, si ce ne serait pas le même fantôme, revenu... (continua)
d'une chanson en comasque laghée de Davide Van De Sfroos – El Fantasma del Laac – 1992
Davide Van De Sfroos doit aimer les fantômes ou alors, il en rencontre souvent , peut-être fait-il partie lui-même d'une confrérie fantasmatique... Allez savoir... Voici donc sa deuxième chanson où un fantôme paraît dans le titre... Et un deuxième fantôme qui court autour du lac dans le pays de Côme...
Oh, dit Lucien l'âne en faisant semblant de trembler de tous ses membres et de tout son dos, en hérissant les poils de sa colonne de la tête à la queue, brrr, des fantômes... Ils me donnent le frisson, rien que d'y penser. mais à la vérité, je n'en ai jamais rencontré beaucoup et les seuls que j'ai vus étaient de bien braves gens, un peu déboussolés, mais gentils quand même. Aimables. Cela dit, je me demande, si ce ne serait pas le même fantôme, revenu... (continua)
LE FANTÔME DU LAC
(continua)
(continua)
inviata da Marco Valdo M.I. 15/4/2011 - 21:29
كلمتي حرة (Kelmti Horra)
Ich bin die, die frei sind und sich niemals fürchten
(continua)
(continua)
15/4/2011 - 20:43
Novecento
Version française – VINGTIÈME – Marco valdo M.I.
Chanson italienne – Novecento – Valerio Sanzotta
Chanson italienne – Novecento – Valerio Sanzotta
VINGTIÈME
(continua)
(continua)
inviata da Marco Valdo M.I. 15/4/2011 - 18:23
Canto General
La majesté du peuple del popolo: Pablo Neruda et Florence
écrit par la Chatte Pampalea le 16 mars 2010
Sale hiver, mes chers. Spécialement pour une chatte, noire ou de n'importe quelle couleur. Nous autres, chats, nous aimons le soleil, nous ne sommes pas faits pour des hivers comme celui que, par chance et avec des incidents divers, se termine, ainsi nous prêtons notre voix aux autres incidents, souvent humains, qui éloignent de ce qu'on voudrait faire. Mais quand même, et ce qui est fait est fait et archivé, parfois timidement, ressort le soleil. Et alors, on retourne faire un tour en ville, ce qui se révèlera ensuite ici dénommé : une chatte noire en balade en ville. Et je suis partie faire un tour à San Salvi.
Tôt ou tard, ils s'en empareront, San Salvi, ces messieurs aux affaires louches et aux politiques obscures. Ils s'en empareront, ils y feront des maisons et des immeubles,... (continua)
Marco Valdo M.I. 15/4/2011 - 14:45
Where The Streets Have No Name
Là Où Les Rues N'ont Pas De Nom
(continua)
(continua)
inviata da DonQuijote82 15/4/2011 - 13:34
Guerrilla Radio
Guerrilla Radio, dal più grande campo di prigionia a cielo aperto mai concepito da mente (dis)umana, il blog di Vittorio Arrigoni (Besana Brianza, 4 febbraio 1975 - Gaza City, 14 aprile 2011).
Bartleby 15/4/2011 - 13:30
Mothers Of The Disappeared
LES MÈRES DES DISPARUS
(continua)
(continua)
inviata da DonQuijote82 15/4/2011 - 13:07
Latinoamérica
Da Drama Y luz 2011
Alerta esto es un llamado
(continua)
(continua)
inviata da DonQuijote82 15/4/2011 - 12:57
No More Trouble
NON ABBIAMO BISOGNO DI ALTRI PROBLEMI
(continua)
(continua)
inviata da DonQuijote82 15/4/2011 - 12:19
Fussing And Fighting
Li vedo combattere per il potere
(continua)
(continua)
inviata da DonQuijote82 15/4/2011 - 12:17
Novecento
Ha partecipato allo scorso Festival di Sanremo (quello del 2008) e se ne sono accorti pochissimi. Esì che portava una canzone niente affatto banale per il palco del'Ariston come "Novecento", una cavalcata dylaniana, chitarra e armonica tra le cronache del millennio appena concluso, avendo il coraggio (o l'incoscienza) di parlare al Festival di Piazza Fontana, Guido Rossa e Enrico Berlinguer. Forse ha scontato la sfiga di esibirsi nell'anno del grande buco di Pippo Baudo, forse il fatto di essere figlio d'arte (il padre è il direttore de "Il Tempo" di Roma) e quindi possibile raccomandato. Fatto sta che Sanzotta Jr non solo ha scritto "Novecento", gran bella canzone per quanto ingenua, ma abbia fatto seguire un disco di buon spessore.
www.bielle.org
www.bielle.org
DonQuijote82 15/4/2011 - 09:56
Rachel Corrie
Morto Vittorio Arrigoni "per un mondo senza confini, né bandiere"
Marco 15/4/2011 - 07:00
The Fugitive
(1966)
written by Liz Anderson and Casey Anderson
written by Liz Anderson and Casey Anderson
Down every road there's always one more city
(continua)
(continua)
inviata da Anonymous 15/4/2011 - 04:52
Vittorio Arrigoni: Omicidio su commissione Restiamo umani
Intervista di Vittorio Arrigoni a Radio Popolare
Intervista di Vittorio Arrigoni a Radio Popolare
Riccardo Venturi 15/4/2011 - 00:10
Comunicato n°38
Incredibile che questa canzone non fosse ancora presente. Che gran dimenticanza.
Luca 'The River' 14/4/2011 - 21:49
N'importe quoi, mais quelque chose
N'importe quoi, mais quelque chose
Canzone française – N'importe quoi, mais quelque chose – 1932 – Marco Valdo M.I. – 2011
Histoires d'Allemagne 31
Au travers du kaléidoscope de Günter Grass. : « Mon Siècle » (Mein Jahrhundert, publié à Göttingen en 1999 – l'édition française au Seuil à Paris en 1999 également) et de ses traducteurs français : Claude Porcell et Bernard Lortholary.
C'est vraiment « N'importe quoi... », le titre de ta chanson d'Allemagne..., dit Lucien l'âne en se marrant et en sautant d'un pied sur l'autre, à quatre temps.
Oui, évidemment et je ne vois pas ce qui te fait tant marrer. D'ailleurs, quand tu sauras de quoi il s'agit et ce que cela suppose, subodore, implique, entend, sous-entend, prédit en quelque sorte, il n'y a vraiment pas de quoi se réjouir. Déjà, si tu as un peu de mémoire, tu te souviendras qu'à la précédente canzone d'Allemagne, on entendait des fanfares... (continua)
Canzone française – N'importe quoi, mais quelque chose – 1932 – Marco Valdo M.I. – 2011
Histoires d'Allemagne 31
Au travers du kaléidoscope de Günter Grass. : « Mon Siècle » (Mein Jahrhundert, publié à Göttingen en 1999 – l'édition française au Seuil à Paris en 1999 également) et de ses traducteurs français : Claude Porcell et Bernard Lortholary.
C'est vraiment « N'importe quoi... », le titre de ta chanson d'Allemagne..., dit Lucien l'âne en se marrant et en sautant d'un pied sur l'autre, à quatre temps.
Oui, évidemment et je ne vois pas ce qui te fait tant marrer. D'ailleurs, quand tu sauras de quoi il s'agit et ce que cela suppose, subodore, implique, entend, sous-entend, prédit en quelque sorte, il n'y a vraiment pas de quoi se réjouir. Déjà, si tu as un peu de mémoire, tu te souviendras qu'à la précédente canzone d'Allemagne, on entendait des fanfares... (continua)
À Remscheid, chez nous, en trente-deux, on chômait
(continua)
(continua)
inviata da Marco Valdo M.I. 14/4/2011 - 21:05
11 marzo 1977 – Canzone per Francesco
La registrazione originale della prima esecuzione di "11 marzo, per Francesco": la canzone inedita dedicata a Francesco Lorusso che la Tinello Band ha presentato al Vag61 di Bologna nel corso di una serata organizzata nel 34° anniversario dell'uccisione di Francesco per mano dei Carabinieri, in via Mascarella, l'11 marzo'77
Fonte;Zic.it
Fonte;Zic.it
Ricordate quel giorno a Bologna
(continua)
(continua)
inviata da adriana 14/4/2011 - 18:44
Άρνηση [Στο περιγιάλι το κρυφό]
Bellissima musica e importantissima iniziativa
Giancarlo 14/4/2011 - 16:54
La cagna
Traduzione italiana di Angelo Maria Ripellino del testo originale di Esenin.
CANZONE DELLA CAGNA
Al mattino nel granaio
dove biondeggiano le stuoie in fila,
una cagna figliò sette,
sette cuccioli rossicci
Sino a sera li carezzava
pettinandoli con la lingua
e la neve disciolta colava
sotto il suo caldo ventre.
Ma a sera, quando le galline
si rannicchiano sul focolare,
venne il padrone accigliato,
tutti e sette li mise in un sacco.
Essa correva sui mucchi di neve,
durando fatica a seguirlo.
E così a lungo, a lungo tremolava
lo specchio dell’acqua non ghiacciata.
E quando tornò trascinandosi appena,
leccando il sudore dai fianchi,
la luna sulla capanna le parve
uno dei suoi cuccioli.
Guardava l’azzurro del cielo
con striduli guaiti,
ma la luna sottile scivolava
e si celò nei campi dietro il colle.
E sordamente, come quando in dono
le si butta una pietra per giuoco,
la cagna rotolo i suoi occhi
come stelle d’oro nella neve
CANZONE DELLA CAGNA
Al mattino nel granaio
dove biondeggiano le stuoie in fila,
una cagna figliò sette,
sette cuccioli rossicci
Sino a sera li carezzava
pettinandoli con la lingua
e la neve disciolta colava
sotto il suo caldo ventre.
Ma a sera, quando le galline
si rannicchiano sul focolare,
venne il padrone accigliato,
tutti e sette li mise in un sacco.
Essa correva sui mucchi di neve,
durando fatica a seguirlo.
E così a lungo, a lungo tremolava
lo specchio dell’acqua non ghiacciata.
E quando tornò trascinandosi appena,
leccando il sudore dai fianchi,
la luna sulla capanna le parve
uno dei suoi cuccioli.
Guardava l’azzurro del cielo
con striduli guaiti,
ma la luna sottile scivolava
e si celò nei campi dietro il colle.
E sordamente, come quando in dono
le si butta una pietra per giuoco,
la cagna rotolo i suoi occhi
come stelle d’oro nella neve
Bartleby 14/4/2011 - 13:13
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Ringrazio tutti per queste belle pagine e invito a collaborare alla rivista TOSCANA FOLK, che esce ormai solo... (continua)