Enola Gay
gli americani sono il simbolo dell'avidita' sulla terra e lasciano solo miseria dove passano.
In questa vita gia' stanno pagando il prezzo(sono i piu' grandi consumatori di psicofarmaci e droghe nel mondo) o nell'aldila' pagheranno tutto.
In questa vita gia' stanno pagando il prezzo(sono i piu' grandi consumatori di psicofarmaci e droghe nel mondo) o nell'aldila' pagheranno tutto.
marco 25/8/2010 - 21:49
Canzone per Ion
Non pensiamo che i commenti che seguono meritino una qualche risposta. Li riportiamo come testimonianza del clima che si respira ultimamente in Italia (e non solo nella cosiddetta "Padania") [CCG/AWS Staff]
i soliti comunisti .....
fate schifo.
Gabriel
*
ah e in PADANIA comunque immigrati illegali non ci sarebbero e non ci saranno anche perche' la lega vedrete quanti milioni di voti prendera' alle prossime elezioni....
e ci sara' da ridere !!!!!!
*
e vediamo se hai il coraggio di pubblicarlo il mio commento.... Comunista!!!!!!!!!!! inteso come profondamente offensivo ...
25/8/2010 - 11:26
Sacco o Vanzetti
Gli amici della Sacco and Vanzetti Commemoration Society, associazione dedicata a portare avanti la memoria e la lotta dei due anarchici negli stessi luoghi in cui furono uccisi (e quindi nel Massachusetts), hanno pubblicato il video di Sacco o Vanzetti sul loro sito ufficiale, insieme alla traduzione in inglese del testo.
Chorus:
(continua)
(continua)
inviata da adriana 25/8/2010 - 07:14
Hiroshima Nagasaki Russian Roulette
manca una parola nel primo verso:
"they dropped the bomb in '45 to end the world WAR"
e manca anche nella traduzione:
"hanno lanciato la bomba nel '45 per finire la guerra mondiale"
(Carlo Bertoni)
"they dropped the bomb in '45 to end the world WAR"
e manca anche nella traduzione:
"hanno lanciato la bomba nel '45 per finire la guerra mondiale"
(Carlo Bertoni)
grazie, abbiamo corretto!
CCG/AWS Staff
CCG/AWS Staff
24/8/2010 - 17:29
Runanchis (Nuestro pueblo)
NEGROS, MULATOS E INDIOS
(continua)
(continua)
inviata da Bartolomeo Pestalozzi 24/8/2010 - 13:35
Túpac riman (Kausasun)
TÚPAC HABLA (VIVIREMOS)
(continua)
(continua)
inviata da Bartolomeo Pestalozzi 24/8/2010 - 13:25
La Sedia Vuota
Chanson italienne – La Sedia Vuota – Talco – 2006
Regarde, Lucien l'âne mon ami, voici une chanson où l'on conte l'histoire d'un homme qui a tant cheminé, qui a parcouru des chemins déserts, montagneux... et qui fut assassiné... Il s'appelait Ernesto... Toi qui as suivi tant chemin sur les chemins déserts et montagneux... As-tu rencontré cet Ernesto, ce rêveur d'utopie... Qui peut-il bien être ?
Oh, mon ami Marco Valdo M.I., j'en ai parcouru des chemins montagneux et déserts... J'y ai rencontré toutes sortes de gens, des gens souvent bien pauvres, bien exploités, qui semblaient porter sur leur dos un monde de douleurs si immense...J'ai couru le monde, j'ai parcouru la terre, j'en ai vu des villes et des campagnes, j'en ai vu des plaines et des montagnes... J'ai entendu les plaintes de bien des peuples et, voici qui va t'intéresser, j'ai souvent entendu parler d'Ernesto... On dit qu'il était... (continua)
Regarde, Lucien l'âne mon ami, voici une chanson où l'on conte l'histoire d'un homme qui a tant cheminé, qui a parcouru des chemins déserts, montagneux... et qui fut assassiné... Il s'appelait Ernesto... Toi qui as suivi tant chemin sur les chemins déserts et montagneux... As-tu rencontré cet Ernesto, ce rêveur d'utopie... Qui peut-il bien être ?
Oh, mon ami Marco Valdo M.I., j'en ai parcouru des chemins montagneux et déserts... J'y ai rencontré toutes sortes de gens, des gens souvent bien pauvres, bien exploités, qui semblaient porter sur leur dos un monde de douleurs si immense...J'ai couru le monde, j'ai parcouru la terre, j'en ai vu des villes et des campagnes, j'en ai vu des plaines et des montagnes... J'ai entendu les plaintes de bien des peuples et, voici qui va t'intéresser, j'ai souvent entendu parler d'Ernesto... On dit qu'il était... (continua)
LA CHAISE VIDE
(continua)
(continua)
inviata da Marco Valdo M.I. 23/8/2010 - 23:44
Radio aut
Chanson italienne – Radio Aut – Talco
Souviens-toi, Lucien l'âne mon ami, j'avais déjà traduit une chanson qui portait le même titre de Radio Aut et qui renvoyait à la même histoire dramatique et héroïque (de ce vrai héroïsme des civils quand ils s'engagent dans ce dur et infini combat de la Guerre de Cent Mille Ans que les riches – et leurs sbires, leurs affidés...- mènent contre les pauvres pour assurer et développer leur pouvoir, leur richesse et leurs privilèges. Ici, leurs mercenaires sont les mafieux et dénoncés, ils vont liquider de la plus laide façon Peppino Impastato : jeune militant courageux et à leurs yeux, trop résistant. Cette autre chanson, pareillement intitulée Radio Aut était de Del Sangre. Cette fois, c'est une chanson de Talco.
En effet, je me souviens bien de celle-là et d'une autre encore, Cento Passi des Modena City Ramblers. Ainsi, cette histoire va d'écho en écho... (continua)
Souviens-toi, Lucien l'âne mon ami, j'avais déjà traduit une chanson qui portait le même titre de Radio Aut et qui renvoyait à la même histoire dramatique et héroïque (de ce vrai héroïsme des civils quand ils s'engagent dans ce dur et infini combat de la Guerre de Cent Mille Ans que les riches – et leurs sbires, leurs affidés...- mènent contre les pauvres pour assurer et développer leur pouvoir, leur richesse et leurs privilèges. Ici, leurs mercenaires sont les mafieux et dénoncés, ils vont liquider de la plus laide façon Peppino Impastato : jeune militant courageux et à leurs yeux, trop résistant. Cette autre chanson, pareillement intitulée Radio Aut était de Del Sangre. Cette fois, c'est une chanson de Talco.
En effet, je me souviens bien de celle-là et d'une autre encore, Cento Passi des Modena City Ramblers. Ainsi, cette histoire va d'écho en écho... (continua)
RADIO AUT
(continua)
(continua)
inviata da Marco Valdo M.I. 23/8/2010 - 22:35
Joe Bean
Well they're hangin' Joe Bean this mornin' for killin' a man in
(continua)
(continua)
inviata da Bartolomeo Pestalozzi 23/8/2010 - 10:47
Folsom Prison Blues
Mi sembra che ci sia un errore (che ho corretto) non tanto nella traduzione quanto nel testo originale tradotto da Michele Murino. Nella penultima strofa, "those people keep a-movin'" e non "I keep on keep a-movin'". [Bartolomeo Pestalozzi]
BLUES DELLA PRIGIONE DI FOLSOM
(continua)
(continua)
inviata da Bartolomeo Pestalozzi 23/8/2010 - 10:16
Supper's Ready
E' bellissimo leggere i commenti di altre persone che ancora oggi amano i Genesis, nonostante i loro capolavori siano ormai piuttosto "datati": sono stati i più grandi, ineguagliabili, la loro musica ancora oggi emoziona più di quella di qualunque altro gruppo mai esistito, ed emoziona sempre con la stessa intensità di allora, se non di più...
Carlo 22/8/2010 - 23:53
Dime que pasa
[2001]
Album: Dime Qué Pasa
Album: Dime Qué Pasa
Dime que pasó.... que pasa acá...
(continua)
(continua)
inviata da adriana 22/8/2010 - 15:35
Chemu amo
Karen Wenul
Este video retrata el dolor que siente una Madre Mapuche al perder a su hijo que lucha por las legitimas demandas de su pueblo. Las comunidades Mapuches actualmente se encuentran militarizadas y sitiadas por el ejercito Chileno, con actos de terrorismo Estatal a diario. Situación que no se dice por la prensa burguesa, ya que estas coordinan directamente con el Ministerio del Interior, las Forestales destructoras y los latifundistas neo colonos que imponen a sangre y fuego sus mega proyectos capitalistas en las zonas Mapuches. Saqueando y despojando a los Mapuches que tienen terrenos ancestrales e invaluables para su cosmovisión aferrada ala Madre Tierra y los antepasados que en ella aún habitan.
El modelo socio-económico chileno privilegia, por excelencia, a la clase empresarial y ejecutiva. Siéndole funcional a la acumulación de capital desvergonzadamente, acudiendo a la matanza de áreas... (continua)
El modelo socio-económico chileno privilegia, por excelencia, a la clase empresarial y ejecutiva. Siéndole funcional a la acumulación de capital desvergonzadamente, acudiendo a la matanza de áreas... (continua)
Versione spagnola
(continua)
(continua)
inviata da adriana 22/8/2010 - 14:51
Il giorno delle foglie rosse
Chanson italienne – Il Giorno delle Foglie Rosse – Casa del Vento
De l'album « Soixante ans de Résistance »
Le 14 juillet 1944, près de la villa Giglioni à San Polo près d'Arezzo, furent trucidés 48 hommes, parmi lesquels des partisans et le juif Eugenio Calò. Il existe un film de Imperial War Museum de Londres, qui montre leurs corps en décomposition. C'est le témoignage le plus cru des effets de la guerre dans la ville d'Arezzo.
En février 2007, le seul responsable de ce massacre encore en vie, un lieutenant de la Wehrmacht, a été acquitté par un tribunal.
De l'album « Soixante ans de Résistance »
Le 14 juillet 1944, près de la villa Giglioni à San Polo près d'Arezzo, furent trucidés 48 hommes, parmi lesquels des partisans et le juif Eugenio Calò. Il existe un film de Imperial War Museum de Londres, qui montre leurs corps en décomposition. C'est le témoignage le plus cru des effets de la guerre dans la ville d'Arezzo.
En février 2007, le seul responsable de ce massacre encore en vie, un lieutenant de la Wehrmacht, a été acquitté par un tribunal.
LE JOUR DES FEUILLES ROUGES
(continua)
(continua)
inviata da Marco Valdo M.I. 22/8/2010 - 14:32
La morte
Chanson italienne – La Morte – Fabrizio De André (Musique de Georges Brassens) – 1967
Pour cette chanson, un classique de De André, il choisit d'utiliser la musique écrite par Georges Brassens pour Le Verger du Roi Louis de Théodore de Banville, en y proposant un texte tout-à-fait original. Dans le texte, il est possible de pressentir une influence de Verrà la morte e avrà i tuoi occhi de Cesare Pavese.
Comme tu le verras, mon ami Lucien l'âne, pour cette chanson aussi Riccardo Venturi a proposé une « réécriture », une « réinterprétation »... C'était une excellente idée et elle nous – en vérité, elle me laissait l'opportunité d'en proposer une autre version, plus proche de la chanson de De André. Comme tu le verras, on se trouve toujours devant les mêmes dilemmes : du littéral à l'évocation lointaine... entre les deux, mille façons s'offrent à l'envi. Cela dit, cette chanson sur la mort... (continua)
Pour cette chanson, un classique de De André, il choisit d'utiliser la musique écrite par Georges Brassens pour Le Verger du Roi Louis de Théodore de Banville, en y proposant un texte tout-à-fait original. Dans le texte, il est possible de pressentir une influence de Verrà la morte e avrà i tuoi occhi de Cesare Pavese.
Comme tu le verras, mon ami Lucien l'âne, pour cette chanson aussi Riccardo Venturi a proposé une « réécriture », une « réinterprétation »... C'était une excellente idée et elle nous – en vérité, elle me laissait l'opportunité d'en proposer une autre version, plus proche de la chanson de De André. Comme tu le verras, on se trouve toujours devant les mêmes dilemmes : du littéral à l'évocation lointaine... entre les deux, mille façons s'offrent à l'envi. Cela dit, cette chanson sur la mort... (continua)
LA MORT
(continua)
(continua)
inviata da Marco Valdo M.I. 22/8/2010 - 00:51
Un hongrois chez les gaulois
Zongo Seydou alias Zêdess est un chanteur burkinabé qui vient de consacrer une chanson à Nicolas Sarközy, inventeur de l'immigration choisie et non plus subie, en fait jetable.
Monsieur Nicolas Sarkozy,
(continua)
(continua)
21/8/2010 - 21:21
A soli diciott’anni
anonimo
bellissima e dolcissima nel ricordo del " Comandante Licio " onore in eterno a LICIO NENCETTI , morto a 18 anni con fierezza...... sotto tortura fascista solo il nome mamma ripeteva......grandissimo partigiano . Mario.
mario 21/8/2010 - 15:59
Para que nunca más
[1980]
Album: Canto + Vida
Album: Canto + Vida
Al contemplar tu mirada tan triste
(continua)
(continua)
inviata da adriana 20/8/2010 - 15:27
Grito serás del continente
[1976]
Album “Isabel Parra de Chile”
Testo trovato su Cancioneros.com
Canzone dedicata al fratello Ángel Parra, che nel 1973, subito dopo il golpe, fu arrestato e rinchiuso dapprima nello Stadio nazionale a Santiago per poi essere trasferito nel terribile campo di concentramento di Cachabuco, vicino ad Antofagasta, dove fu detenuto per un anno fino al momento della sua espulsione dal Cile.
A Cachabuco Ángel Parra continuò, nonostante tutto, a comporre canzoni, alcune delle quali furono anche registrate clandestinamente da lui insieme ad altri prigionieri e si trovano nel disco intitolato “Cachabuco” del 1975.
Album “Isabel Parra de Chile”
Testo trovato su Cancioneros.com
Canzone dedicata al fratello Ángel Parra, che nel 1973, subito dopo il golpe, fu arrestato e rinchiuso dapprima nello Stadio nazionale a Santiago per poi essere trasferito nel terribile campo di concentramento di Cachabuco, vicino ad Antofagasta, dove fu detenuto per un anno fino al momento della sua espulsione dal Cile.
A Cachabuco Ángel Parra continuò, nonostante tutto, a comporre canzoni, alcune delle quali furono anche registrate clandestinamente da lui insieme ad altri prigionieri e si trovano nel disco intitolato “Cachabuco” del 1975.
Digo que exilio es estar solo
(continua)
(continua)
inviata da Bartolomeo Pestalozzi 20/8/2010 - 14:20
El barzón
[1920]
Album “Cancionero popular mexicano (vol. 1)”, 1980.
Scritta da Miguel Muñiz
“Barzón” è il collare in legno che veniva posto al collo delle bestie da traino per tirare l’aratro.
In Messico, con l’avvento dell’era del neoliberismo selvaggio e la sottoscrizione del cosiddetto NAFTA (l’accordo di libero scambio tra USA, Messico e Canada), contadini e piccoli proprietari, espropriati delle loro terre e ridotti alla fame da latifondisti e multinazionali, si organizzarono nel movimento sociale “El Barzón” il cui motto è “Debo, no niego, pago lo justo” e il cui inno è proprio questa canzone popolare risalente all’epoca della Rivoluzione o, meglio, a quella del post-Rivoluzione, quando le speranze di una vera e generalizzata riforma agraria si infransero sul muro della restaurazione…
Inutile dire che “El Barzón” fu tra le prime organizzazioni sociali ad appoggiare apertamente l’insurrezione neo-zapatista dei nativi del Chiapas nel 1994.
Album “Cancionero popular mexicano (vol. 1)”, 1980.
Scritta da Miguel Muñiz
“Barzón” è il collare in legno che veniva posto al collo delle bestie da traino per tirare l’aratro.
In Messico, con l’avvento dell’era del neoliberismo selvaggio e la sottoscrizione del cosiddetto NAFTA (l’accordo di libero scambio tra USA, Messico e Canada), contadini e piccoli proprietari, espropriati delle loro terre e ridotti alla fame da latifondisti e multinazionali, si organizzarono nel movimento sociale “El Barzón” il cui motto è “Debo, no niego, pago lo justo” e il cui inno è proprio questa canzone popolare risalente all’epoca della Rivoluzione o, meglio, a quella del post-Rivoluzione, quando le speranze di una vera e generalizzata riforma agraria si infransero sul muro della restaurazione…
Inutile dire che “El Barzón” fu tra le prime organizzazioni sociali ad appoggiare apertamente l’insurrezione neo-zapatista dei nativi del Chiapas nel 1994.
Esa tierras del rincón
(continua)
(continua)
inviata da Bartolomeo Pestalozzi 20/8/2010 - 13:26
Panalivio/Zancudito
[2000]
Album “Eco de Sombras”
Canzone tradizionale afro-peruviana riadattata dalla Baca.
Il “panalivio” è una forma di canto dei neri peruviani i cui temi costanti sono lo sfruttamento e l’oppressione.
La canzone – con il titolo “Ahí viene mi caporal” - fa parte anche del repertorio di Nicomedes Santa Cruz.
Il “caporal” (col suo “chicote”, la frusta) è proprio il nostro “caporale”, il guardiano degli schiavi per conto dei padroni, l’intermediario delle braccia, il commerciante di carne umana…
Album “Eco de Sombras”
Canzone tradizionale afro-peruviana riadattata dalla Baca.
Il “panalivio” è una forma di canto dei neri peruviani i cui temi costanti sono lo sfruttamento e l’oppressione.
La canzone – con il titolo “Ahí viene mi caporal” - fa parte anche del repertorio di Nicomedes Santa Cruz.
Il “caporal” (col suo “chicote”, la frusta) è proprio il nostro “caporale”, il guardiano degli schiavi per conto dei padroni, l’intermediario delle braccia, il commerciante di carne umana…
Ya salió mi caporal
(continua)
(continua)
inviata da Bartolomeo Pestalozzi 20/8/2010 - 11:26
El fusil del poeta
Mientras jugó la guerra de los niños
(continua)
(continua)
inviata da Bartolomeo Pestalozzi 20/8/2010 - 10:56
Johannesburgo
[1960]
Album “Décimas y poemas” (poi anche in “Cumanana” del 1970)
“…Quando a Johannesburg arriverà la resa dei conti voglio esserci, dobbiamo esserci tutti, figli di madre negra! Con la voce ancestrale, il machete in pugno e la parola elementare: fratello…”
Album “Décimas y poemas” (poi anche in “Cumanana” del 1970)
“…Quando a Johannesburg arriverà la resa dei conti voglio esserci, dobbiamo esserci tutti, figli di madre negra! Con la voce ancestrale, il machete in pugno e la parola elementare: fratello…”
inviata da Bartolomeo Pestalozzi 20/8/2010 - 10:32
América Latina
[1968]
Album “Canto Negro”
Album “Canto Negro”
Mi cuate
(continua)
(continua)
inviata da Bartolomeo Pestalozzi 20/8/2010 - 10:11
Ritmos negros del Perú
[1959]
Album “Nicomedes Santa Cruz y su conjunto Kumanana”
La “Décima” è una forma di declamazione poetica tradizionale del Perù. La Décima peruviana – di cui Nicomedes Santa Cruz è stato il più grande interprete – può a buon diritto ritenersi precursiva del “poetry slam” e pure del rap, anche se non sempre era accompagnata dalla musica.
La dedica che precede il brano è un omaggio a colui che viene definito “El Patriarca de la Música Negra”, il chitarrista, cantante, ballerino, percussionista e poeta peruviano Porfirio Vásquez (1902-1971)
Album “Nicomedes Santa Cruz y su conjunto Kumanana”
La “Décima” è una forma di declamazione poetica tradizionale del Perù. La Décima peruviana – di cui Nicomedes Santa Cruz è stato il più grande interprete – può a buon diritto ritenersi precursiva del “poetry slam” e pure del rap, anche se non sempre era accompagnata dalla musica.
La dedica che precede il brano è un omaggio a colui che viene definito “El Patriarca de la Música Negra”, il chitarrista, cantante, ballerino, percussionista e poeta peruviano Porfirio Vásquez (1902-1971)
A don Porfirio Vásquez
(continua)
(continua)
inviata da Bartolomeo Pestalozzi 20/8/2010 - 10:03
Tiempo de ayuno
[1973]
Inspirada en la obra del Premio Nacional de Literatura, Volodia Teitelboim, sobre los campos de prisioneros de Pisagua de la época de González Videla.
Un silbido en la niebla
El novio raptado
La sangre y la letra
Fecundidad
No seré un verdugo
La prueba del amor
El corazón de la puna
Colaguachi
El regreso
Tiempo de ayuno
La libertad
Fonte:Pacoweb
Un silbido en la niebla
El novio raptado
La sangre y la letra
Fecundidad
No seré un verdugo
La prueba del amor
El corazón de la puna
Colaguachi
El regreso
Tiempo de ayuno
La libertad
Fonte:Pacoweb
Un rumor sordo recorre
(continua)
(continua)
inviata da adriana 20/8/2010 - 09:09
El regreso
[1973]
Inspirada en la obra del Premio Nacional de Literatura, Volodia Teitelboim, sobre los campos de prisioneros de Pisagua de la época de González Videla.
Un silbido en la niebla
El novio raptado
La sangre y la letra
Fecundidad
No seré un verdugo
La prueba del amor
El corazón de la puna
Colaguachi
El regreso
Tiempo de ayuno
La libertad
Fonte:Pacoweb
Un silbido en la niebla
El novio raptado
La sangre y la letra
Fecundidad
No seré un verdugo
La prueba del amor
El corazón de la puna
Colaguachi
El regreso
Tiempo de ayuno
La libertad
Fonte:Pacoweb
Volver de nuevo, las mismas caras
(continua)
(continua)
inviata da adriana 20/8/2010 - 09:07
Colaguachi
[1973]
Inspirada en la obra del Premio Nacional de Literatura, Volodia Teitelboim, sobre los campos de prisioneros de Pisagua de la época de González Videla.
Un silbido en la niebla
El novio raptado
La sangre y la letra
Fecundidad
No seré un verdugo
La prueba del amor
El corazón de la puna
Colaguachi
El regreso
Tiempo de ayuno
La libertad
Fonte:Pacoweb
Un silbido en la niebla
El novio raptado
La sangre y la letra
Fecundidad
No seré un verdugo
La prueba del amor
El corazón de la puna
Colaguachi
El regreso
Tiempo de ayuno
La libertad
Fonte:Pacoweb
Era alcalde de la Puna
(continua)
(continua)
inviata da adriana 20/8/2010 - 09:06
El corazón de la puna
[1973]
Inspirada en la obra del Premio Nacional de Literatura, Volodia Teitelboim, sobre los campos de prisioneros de Pisagua de la época de González Videla.
Un silbido en la niebla
El novio raptado
La sangre y la letra
Fecundidad
No seré un verdugo
La prueba del amor
El corazón de la puna
Colaguachi
El regreso
Tiempo de ayuno
La libertad
Fonte:Pacoweb
Un silbido en la niebla
El novio raptado
La sangre y la letra
Fecundidad
No seré un verdugo
La prueba del amor
El corazón de la puna
Colaguachi
El regreso
Tiempo de ayuno
La libertad
Fonte:Pacoweb
Pisagua se le hizo poco
(continua)
(continua)
inviata da adriana 20/8/2010 - 09:04
La prueba del amor
[1973]
Inspirada en la obra del Premio Nacional de Literatura, Volodia Teitelboim, sobre los campos de prisioneros de Pisagua de la época de González Videla.
Un silbido en la niebla
El novio raptado
La sangre y la letra
Fecundidad
No seré un verdugo
La prueba del amor
El corazón de la puna
Colaguachi
El regreso
Tiempo de ayuno
La libertad
Fonte:Pacoweb
Un silbido en la niebla
El novio raptado
La sangre y la letra
Fecundidad
No seré un verdugo
La prueba del amor
El corazón de la puna
Colaguachi
El regreso
Tiempo de ayuno
La libertad
Fonte:Pacoweb
Todo el amor, todo el amor
(continua)
(continua)
inviata da adriana 20/8/2010 - 09:02
No seré un verdugo
[1973]
Inspirada en la obra del Premio Nacional de Literatura, Volodia Teitelboim, sobre los campos de prisioneros de Pisagua de la época de González Videla.
Un silbido en la niebla
El novio raptado
La sangre y la letra
Fecundidad
No seré un verdugo
La prueba del amor
El corazón de la puna
Colaguachi
El regreso
Tiempo de ayuno
La libertad
Fonte:Pacoweb
Un silbido en la niebla
El novio raptado
La sangre y la letra
Fecundidad
No seré un verdugo
La prueba del amor
El corazón de la puna
Colaguachi
El regreso
Tiempo de ayuno
La libertad
Fonte:Pacoweb
En medio de las penumbras
(continua)
(continua)
inviata da adriana 20/8/2010 - 09:00
Fecundidad
[1973]
Inspirada en la obra del Premio Nacional de Literatura, Volodia Teitelboim, sobre los campos de prisioneros de Pisagua de la época de González Videla.
Un silbido en la niebla
El novio raptado
La sangre y la letra
Fecundidad
No seré un verdugo
La prueba del amor
El corazón de la puna
Colaguachi
El regreso
Tiempo de ayuno
La libertad
Fonte:Pacoweb
Un silbido en la niebla
El novio raptado
La sangre y la letra
Fecundidad
No seré un verdugo
La prueba del amor
El corazón de la puna
Colaguachi
El regreso
Tiempo de ayuno
La libertad
Fonte:Pacoweb
Todo el coraje del mundo
(continua)
(continua)
inviata da adriana 20/8/2010 - 08:58
Il maestro guerrafondaio
Parole e musica di Gino Negri; manoscritto inedito, databile al 1969 circa; canzone inclusa in un spettacolo (probabilmente mai rappresentato) intitolato La dolce guerra.
(Marco Moiraghi)
(Marco Moiraghi)
C’era il maestro Huber:
(continua)
(continua)
inviata da Marco Moiraghi 20/8/2010 - 08:58
La sangre y la letra
[1973]
Inspirada en la obra del Premio Nacional de Literatura, Volodia Teitelboim, sobre los campos de prisioneros de Pisagua de la época de González Videla.
Un silbido en la niebla
El novio raptado
La sangre y la letra
Fecundidad
No seré un verdugo
La prueba del amor
El corazón de la puna
Colaguachi
El regreso
Tiempo de ayuno
La libertad
Fonte:Pacoweb
Un silbido en la niebla
El novio raptado
La sangre y la letra
Fecundidad
No seré un verdugo
La prueba del amor
El corazón de la puna
Colaguachi
El regreso
Tiempo de ayuno
La libertad
Fonte:Pacoweb
Recién cumplido los treinta
(continua)
(continua)
inviata da adriana 20/8/2010 - 08:56
El novio raptado
[1973]
Inspirada en la obra del Premio Nacional de Literatura, Volodia Teitelboim, sobre los campos de prisioneros de Pisagua de la época de González Videla.
Un silbido en la niebla
El novio raptado
La sangre y la letra
Fecundidad
No seré un verdugo
La prueba del amor
El corazón de la puna
Colaguachi
El regreso
Tiempo de ayuno
La libertad
Fonte:Pacoweb
Un silbido en la niebla
El novio raptado
La sangre y la letra
Fecundidad
No seré un verdugo
La prueba del amor
El corazón de la puna
Colaguachi
El regreso
Tiempo de ayuno
La libertad
Fonte:Pacoweb
Herminia se quedó sola
(continua)
(continua)
inviata da adriana 20/8/2010 - 08:51
Un silbido en la niebla
[1973]
Inspirada en la obra del Premio Nacional de Literatura, Volodia Teitelboim, sobre los campos de prisioneros de Pisagua de la época de González Videla.
Un silbido en la niebla
El novio raptado
La sangre y la letra
Fecundidad
No seré un verdugo
La prueba del amor
El corazón de la puna
Colaguachi
El regreso
Tiempo de ayuno
La libertad
Fonte:Pacoweb
Un silbido en la niebla
El novio raptado
La sangre y la letra
Fecundidad
No seré un verdugo
La prueba del amor
El corazón de la puna
Colaguachi
El regreso
Tiempo de ayuno
La libertad
Fonte:Pacoweb
Pasajeros de alta mar
(continua)
(continua)
inviata da adriana 20/8/2010 - 08:33
No Shame in Cryin'
I'm trying to bring attention to the plight of the
returning veterans of Iraq and Afghanistan. PTSD & suicide rates are epidemic. Please listen to my song: "No Shame In Cryin." I'm trying to get anyone to listen to this and play it for our returning troops no matter what your political beliefs. The song is about an older veteran (I'm a Vietnam medic vet) talking to the younger guys just returning to get the help they need. My songs are free and down loadable on various web sites through CD title: Walt Cronin - California I Gotta Run
Peace On Earth ( it's not a seasonal thing )
Walt Cronin
www.thegousters.com
http://airplaydirect.com/music/waltcronin/ (songs,lyrics and notes) No Shame In Cryin' ( song # 6 )
returning veterans of Iraq and Afghanistan. PTSD & suicide rates are epidemic. Please listen to my song: "No Shame In Cryin." I'm trying to get anyone to listen to this and play it for our returning troops no matter what your political beliefs. The song is about an older veteran (I'm a Vietnam medic vet) talking to the younger guys just returning to get the help they need. My songs are free and down loadable on various web sites through CD title: Walt Cronin - California I Gotta Run
Peace On Earth ( it's not a seasonal thing )
Walt Cronin
www.thegousters.com
http://airplaydirect.com/music/waltcronin/ (songs,lyrics and notes) No Shame In Cryin' ( song # 6 )
I say to my brothers much younger than me
(continua)
(continua)
inviata da Walt Cronin 19/8/2010 - 17:41
No sé el perquè de les guerres
[1966]
Guillermina Motta è stata una protagonista del movimento della Nova Cançó catalana e membro del collettivo “Els Setze Jutges” di cui fecero parte anche artisti come Francesc Pi de la Serra, Joan Manuel Serrat, Maria Del Mar Bonet e Lluís Llach, solo per citare i più noti.
Testo trovato su Cancioneros.com
Guillermina Motta è stata una protagonista del movimento della Nova Cançó catalana e membro del collettivo “Els Setze Jutges” di cui fecero parte anche artisti come Francesc Pi de la Serra, Joan Manuel Serrat, Maria Del Mar Bonet e Lluís Llach, solo per citare i più noti.
Testo trovato su Cancioneros.com
De política no hi entenc prou,
(continua)
(continua)
inviata da Bartolomeo Pestalozzi 19/8/2010 - 15:29
Pisagua 1973
[1993]
Album :Pisagua 1973
Album :Pisagua 1973
Sul campo di concentramento di Pisagua si veda l'introduzione di Riccardo Venturi alla canzone La patria prisionera degli Inti Illimani.
(Bartolomeo Pestalozzi)
(Bartolomeo Pestalozzi)
Con el puño en alto
(continua)
(continua)
inviata da adriana 19/8/2010 - 15:23
Meta bala
[1969]
Album “Canciones funcionales/Ángel Parra interpreta a Atahualpa Yupanqui”
Scritta da Atahualpa Yupanqui
Musica di Ángel Parra
Testo trovato su Cancioneros.com
Album “Canciones funcionales/Ángel Parra interpreta a Atahualpa Yupanqui”
Scritta da Atahualpa Yupanqui
Musica di Ángel Parra
Testo trovato su Cancioneros.com
Quisiera ir a la luna
(continua)
(continua)
inviata da Bartolomeo Pestalozzi 19/8/2010 - 14:44
El banquerito
[1969]
Album “Canciones funcionales/Ángel Parra interpreta a Atahualpa Yupanqu”
Testo trovato su Cancioneros.com
Album “Canciones funcionales/Ángel Parra interpreta a Atahualpa Yupanqu”
Testo trovato su Cancioneros.com
Está sufriendo el banquero,
(continua)
(continua)
inviata da Bartolomeo Pestalozzi 19/8/2010 - 14:30
Pisagua
Album : Gritos de mimo
Musica: Los De Marras
Letra: Hector Pavelic
Musica: Los De Marras
Letra: Hector Pavelic
Sul campo di concentramento di Pisagua si veda l'introduzione di Riccardo Venturi alla canzone La patria prisionera degli Inti Illimani.
(Bartolomeo Pestalozzi)
(Bartolomeo Pestalozzi)
Pisagua siempre Pisagua
(continua)
(continua)
inviata da adriana 19/8/2010 - 14:25
Por qué no te quedas en casa
[199?]
Canzone inedita, una delle prime scritte da Serrano, senza dubbio ispirata ad una celebre frase del poeta uruguayano Mario Benedetti, quando suggerì di andare oltre al “Yankee go home!” e suggerì di sostituirlo con “Yankee STAY home!”.
Canzone inedita, una delle prime scritte da Serrano, senza dubbio ispirata ad una celebre frase del poeta uruguayano Mario Benedetti, quando suggerì di andare oltre al “Yankee go home!” e suggerì di sostituirlo con “Yankee STAY home!”.
A veces me pregunto por qué el Imperio
(continua)
(continua)
inviata da Bartolomeo Pestalozzi 19/8/2010 - 14:23
La bala
[1972]
Scritta da Víctor Jara su di una melodia popolare venezuelana.
Nell’album “La población”, così come ristampato nel 2001 con l’inclusione di alcuni inediti – come questa “La bala” - non presenti nel disco originale.
“La población” è un progetto, che Víctor Jara volle realizzare con un amico e collaboratore, il drammaturgo Alejandro Sieveking, una “cantata” – un “concept album” si dice oggi – dedicato alla nascita di una delle tante “poblaciones” – appunto – i “barrios” illegali che a partire dal 1957 cominciarono a costituirsi nell’area metropolitana di Santiago del Cile in seguito ad ondate successive di occupazioni attuate da masse di senza tetto e diseredati. “La Victoria”, situato nel comune di Pedro Aguirre Cerda ed occupato nel 1957, fu il primo di questi insediamenti, il primo in Cile e in tutta l’America Latina.
Dieci anni dopo fu la volta della “toma” (la “conquista”)... (continua)
Scritta da Víctor Jara su di una melodia popolare venezuelana.
Nell’album “La población”, così come ristampato nel 2001 con l’inclusione di alcuni inediti – come questa “La bala” - non presenti nel disco originale.
“La población” è un progetto, che Víctor Jara volle realizzare con un amico e collaboratore, il drammaturgo Alejandro Sieveking, una “cantata” – un “concept album” si dice oggi – dedicato alla nascita di una delle tante “poblaciones” – appunto – i “barrios” illegali che a partire dal 1957 cominciarono a costituirsi nell’area metropolitana di Santiago del Cile in seguito ad ondate successive di occupazioni attuate da masse di senza tetto e diseredati. “La Victoria”, situato nel comune di Pedro Aguirre Cerda ed occupato nel 1957, fu il primo di questi insediamenti, il primo in Cile e in tutta l’America Latina.
Dieci anni dopo fu la volta della “toma” (la “conquista”)... (continua)
Voy a contarles la historia
(continua)
(continua)
inviata da Bartolomeo Pestalozzi 19/8/2010 - 13:23
Un final felíz
[2007]
cover
Scritta da Leo Maslíah, musicista e scrittore di Montevideo.
“Canción del gran compositor y autor uruguayo Leo Maslíah. Lo conocimos en un concierto en un Pub de Santiago. Nos envió por Email su canción e inmediatamente la montamos. Con su ironía característica muestra el terrible problema de la impunidad frente a las atrocidades de la guerra sucia en los países del cono sur, en la que todo se ha dado por resuelto con una mera promesa de los militares y de la policía de no volver a cometer estos actos nunca más.” (Quilapayún)
cover
Scritta da Leo Maslíah, musicista e scrittore di Montevideo.
“Canción del gran compositor y autor uruguayo Leo Maslíah. Lo conocimos en un concierto en un Pub de Santiago. Nos envió por Email su canción e inmediatamente la montamos. Con su ironía característica muestra el terrible problema de la impunidad frente a las atrocidades de la guerra sucia en los países del cono sur, en la que todo se ha dado por resuelto con una mera promesa de los militares y de la policía de no volver a cometer estos actos nunca más.” (Quilapayún)
Esta es una historia que tiene un final feliz
(continua)
(continua)
inviata da Bartolomeo Pestalozzi 18/8/2010 - 15:49
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Mussolini era appena uscito dal palazzo del Campidoglio, dove aveva inaugurato un congresso di chirurgia, quando una donna gli sparò un colpo di pistola, ferendolo di striscio al naso.
Si chiamava Violet Albina Gibson ed era la figlia di Edward Gibson, primo Barone di Ashbourne e Lord Cancelliere d'Irlanda.
La Gibson, faticosamente sottratta al linciaggio, fu condotta in questura; interrogata, non rivelò la ragione dell'attentato. Si è supposto che l'attentatrice, allora cinquantenne, fosse pazza all'epoca dei fatti e che potesse essere stata indotta al gesto da qualche istigatore sconosciuto. In tal senso furono sollevati pesanti sospetti all'indirizzo di Giovanni Antonio Colonna di Cesarò. L'attentatrice, comunque, fu espulsa dall'Italia e trasferita in Inghilterra. Rimase per trent'anni in un manicomio vicino a Nottingham, dove morì nel 1956.
Il giorno dopo l'attentato,... (continua)