Albatro
Chanson italienne – Albatro – Apuamater Indiesfolk ( Davide Giromini)
Te souvient-il Lucien l'âne mon ami de ce poème que Charles Baudelaire avait écrit sur les poètes et qu'il intitula L'Albatros ?
Et comment donc, Marco Valdo M.I. mon ami et je m'en vais de ce pas te le réciter, comme sans doute as-tu dû le faire à l'école :
"Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.
A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d'eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule!
Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid!
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait!
Le Poète est semblable... (continua)
Te souvient-il Lucien l'âne mon ami de ce poème que Charles Baudelaire avait écrit sur les poètes et qu'il intitula L'Albatros ?
Et comment donc, Marco Valdo M.I. mon ami et je m'en vais de ce pas te le réciter, comme sans doute as-tu dû le faire à l'école :
"Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.
A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d'eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule!
Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid!
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait!
Le Poète est semblable... (continua)
ALBATROS
(continua)
(continua)
inviata da Marco Valdo M.I. 14/5/2010 - 21:27
La nuova Auschwitz
ci ricorda la dura vita nei campi di concentramento e di lavoro una canzone vera e da ricordare. Il cui testo ti rimane impresso nella mente
14/5/2010 - 18:36
The Testimony of Patience Kershaw
LA TESTIMONIANZA DI PATIENCE KERSHAW
(continua)
(continua)
inviata da The Lone Ranger 14/5/2010 - 09:01
Jonathan
Renaud è uno dei migliori cantanti francesi, un cuore infinitamente grande e una verità stupefacente... E sempre di attualità e ognuno di noi ci si ritrova... Meravilioso...
paula 13/5/2010 - 22:48
Angelita di Anzio
Avevo due anni quando fu scritta. Ma me la ricordo, me la ricorderò sempre, perchè quando mia madre me l'accennava non riusciva ad andare oltre la prima strofa, poi mi stringeva e non riusciva a continuare. Lei quelle cose le aveva vissute davvero, qualche kilometro più a nord. Allora chiedevo a papà, classe 1922, che non aveva fatto esperienze migliori. Ma ho dovuto aspettare fino ad oggi per sapere un po' di più. Ora, a distanza di tanti anni, sento lo stesso groppo alla gola dei miei genitori.
fabio 13/5/2010 - 19:56
The Testimony of Patience Kershaw
La canzone Refugee dei Chumbawamba non è che un adattamento originale di "The Testimony of Patience Kershaw"...
The Lone Ranger 13/5/2010 - 14:42
Go, Move, Shift
Da English Folk Music, la trascrizione della terza sezione (solo la parte cantata, meglio nota come “Go! Move! Shift!”) dell’originale radiofonico “The Travelling People” andato in onda sulla BBC il 17 aprile 1964
GO! MOVE! SHIFT!
(continua)
(continua)
inviata da The Lone Ranger 13/5/2010 - 13:37
Singing The Spirit Home
(*) Si tratta di un tributo alla canzone sudafricana in lingua Ndebele o Zulu intitolata “Tshotsholosa”, un canto dei minatori che dalla Rhodesia (Zimbabwe) si spostavano per andare a lavorare nelle miniere a Johannesburg. Mi pare di aver capito che si trattasse di un canto anti-coloniale, un invito ai bianchi a sparire una volta per tutte dal paese…
The Lone Ranger 13/5/2010 - 10:20
Matteotti
Chanson italienne – Giacomo '38 (Matteotti) – Alessio Lega – 2010
« Un doute me tenaille qui souvent tenaille celui qui se trouve en conflit ouvert et en lutte avec son temps : Que faire ? Je pense à comment devait penser un antifasciste sincère en 1937, avec le régime bénéficiant d'un consensus maximum et – apparemment – très solide. À notre antifasciste venait à l'esprit la figure de Giacomo Matteotti, un homme peut-être loin des sentiments révolutionnaires, mais un homme fier qui savait dire « non », même si ce « non » devait coûter la vie. Et voilà que notre antifasciste décide d'appeler son fils de ce nom qui pour lui a le sens fondamental de résistance : vie contre mort. Giacomo. La résistance commence toujours par un acte de mémoire vive. Pour commencer à faire, il est nécessaire de rappeler. (a.l.)
Giacomo Matteotti : député socialiste italien, enlevé et assassiné par des sbires... (continua)
« Un doute me tenaille qui souvent tenaille celui qui se trouve en conflit ouvert et en lutte avec son temps : Que faire ? Je pense à comment devait penser un antifasciste sincère en 1937, avec le régime bénéficiant d'un consensus maximum et – apparemment – très solide. À notre antifasciste venait à l'esprit la figure de Giacomo Matteotti, un homme peut-être loin des sentiments révolutionnaires, mais un homme fier qui savait dire « non », même si ce « non » devait coûter la vie. Et voilà que notre antifasciste décide d'appeler son fils de ce nom qui pour lui a le sens fondamental de résistance : vie contre mort. Giacomo. La résistance commence toujours par un acte de mémoire vive. Pour commencer à faire, il est nécessaire de rappeler. (a.l.)
Giacomo Matteotti : député socialiste italien, enlevé et assassiné par des sbires... (continua)
GIACOMO 1938
(continua)
(continua)
inviata da Marco Valdo M.I. 13/5/2010 - 10:02
Arrivaru i Cammisi
Eh beh, Giorgio, le vexatae quaestiones -anche su una singola parola- sono spesso decisamente interessanti :-) Saluti e grazie per la precisazione!
Riccardo Venturi 13/5/2010 - 09:24
×
Parole e musica di Mario Pogliotti
scritta nell’agosto 1960 nel decimo anniversario della morte di Cesare Pavese
avere gli amici, del vino, un caffè.
Io sono della città;
riconosco le strade
dalle buche rimaste,
dalle case sparite,
dalle cose sepolte
che appartengono a me.
Al di là delle gialle colline c’è il mare,
un mare di stoppie, non cessano mai:
il mare non voglio più,
ne ho visto abbastanza;
preferisco una tampa
e bere in silenzio,
quel grande silenzio
che è la vostra virtù
E in silenzio girare per quelle colline,
le rocce scoperte, la sterilita
lavoro non serve più,
non serve schiantarsi
e le mani tenerle
dietro la schiena
non fare più nulla
pensando al futuro.
La sola freschezza è rimasta il respiro
la grande fatica è salire quassù.
Ci venni una volta quassù
e quassù son rimasto
a rifarmi le forze,
a cercarmi i compagni,
a trovarmi una terra,
a trovarmi un paese.
Un paese vuol dire non essere soli.