Je voudrais lui réciproquer son « Bravo », car il fait ici-même un travail remarquable entre le grec et l'italien. Un travail difficile et vraiment passionnant pour ceux qui – comme moi – suivent au jour le jour son œuvre modeste et géniale. Comme il doit bien s'en douter, Lucien l'âne n'est pas indifférent à la Grèce, ni même à la Turquie – étant lui-même enfant de l'ancienne (très ancienne) Ionie. Parfois, je traduis l'une ou l'autre chanson grecque en français, mais après qu'il ait lui-même fait surgir la chanson grecque (la poésie... mais je me suis souvent expliqué ici sur le chant, la chanson et la poésie) – lui et Riccardo Venturi et qu'il l'ait traduite en italien. C'est une manière qui est usitée depuis très longtemps que ces passages d'une langue à l'autre. Voilà, je voulais juste lui dire merci de son encouragement, lequel est parfois bien utile et fait... (continua)
Fortissimo!!!
Che desolaziome però. Per certi versi mi ricorda "tempi moderni" di Chaplin, ma con meno speranze di un'uscita dall'ingranaggio della macchina infernale di cui, ahimè, ci si ritrova a far parte. Comunque una bellissima canzone,
anche se devo dire che forse tradurre "Ρε" con "cazzo" mi pare un po' forzato ( o mi sbaglio, cazzo?)
Forse hai ragione, Raf, circa il modo in cui ho tradotto il più innocuo "re" dei Greci. Ma ho ragionato così, e vedi se può andare: "re" è il più frequente degli intercalari greci. Non è considerato sempre accettabile: certo non lo si usa da chi sta sotto con chi sta sopra. Tra i pari si usa e, in contesti molto più informali, spesso rafforzato da un "pedì mou", o un "pedià" oppure, ma bisogna essere ben incazzati, da un "gamòto" e allora si trapassa nel turpiloquio. E' innegabile che tra i Greci esiste un climax, una gradazione, dell'intercalare più articolata che da noi, che intercaliamo quasi sempre con "cazzo". Non sarà bello, ma a me pare che proprio questo accada (senza contare le varianti locali, che si aggirano tuttavia intorno alla stessa materia: intendo le varie minchie, potte, belini, soccia,ecc. ecc. sottese all'unità linguistica degli Italiani). Per questo, cercando un corrispondente... (continua)
Chanson italienne – L'ultimo testimone – Yo Yo Mundi
Texte et musique : Paolo Enrico Archetti Maestri
Chanson de lutte et d'espérance, chanson de paix et de liberté. Inspirée du livre « Lettres des condamnés à mort de la Résistance italienne, 8 avril 1943 – 25 avril 1945 (Einaudi).
Chanson italienne – Ballata per Amos Paoli – Andrea Sigona
Amos Paoli, né à Barga (Lucca) en 1917, mort à Massarosa (Lucca) le 27 juin 1944, paysan, Médaille d'or à valeur militaire in memoriam
Contraint à vivre en chaise roulante des suites de la poliomyélite, Amos Paoli n'éluda pas ses devoirs de patriote et d'antifasciste. Malgré qu'il fut gravement handicapé, après le 8 septembre 1943, il fut un organisateur très actif de la résistance armée dans la région de Lucca. Sa maison de Seravezza fut pendant presque un an le cente des réunions clandestines et d'entreposage de fournitures et d'armes pour les formations partisanes de la région. Le 25 juin 1944, suite à une délation, les fascistes firent irruption dans l'habitation de Paoli et, après une perquisition poussée, ils réussirent à trouver des armes et des munitions qui y étaient cachées. Pour le faire parler et dénoncer ses camarades... (continua)
Mi era sfuggito che il secondo verso della ripresa del refrain non è uguale a quello del primo (refrain): questo dice "Κι οι μασκοφόροι εργάτες τρομοκράτες ήταν κι αυτοί" cioé, "i lavoratori mascherati erano terroristi pure loro", mentre
io ho mantenuto per errore "gli antenati".
Aggiungo che la voce femminile mi sembra quella di Sotiria Leonardou. Anzi, ne sono praticamente sicuro.