Ho qualche dubbio che possiate pubblicarmi questo contributo, ma ci provo lo stesso…
E’ che vi voglio raccontare che per la prima volta in vita mia ho acquistato un’arma…
Ammetterete che non sarebbe proprio una cosa da scriversi su di un sito che parla di canzoni contro la guerra, ma l’arma che ho comprato è una “beidana”, la mannaietta (nemmeno tanto piccolina, nonostante il diminutivo) che i guerriglieri valdesi usarono nel corso del XVI e XVII secolo per difendersi dai loro persecutori piemontesi e francesi…
E’ quindi un’arma simbolo di resistenza, e spero che questo mio breve intervento per raccontarvela trovi asilo su questo sito.
Quella di cui finalmente sono entrato in possesso non è una beidana originale, non potrei permettermela… L’ho comprata a Luserna San Giovanni, in Val Pellice, da Pino Costa, il fabbro forgiatore che ha contribuito alla riscoperta di questo oggetto, bello... (continua)
Chanson italienne – Il Disertore – Jerrinez – 2005
Je pense bien, Lucien l'âne mon ami si fièrement campé sur tes quatre pieds, que tu connais Boris Vian et sa chanson du déserteur dans laquelle il annonce son intention de déserter et d'aller par les chemins inciter les gens à faire de même. Tu sais bien cette chanson sous la forme d'une lettre et qui commence par « Monsieur le Président... ».
Oui, bien sûr, Marco Valdo M.I. mon ami très cher, comment pourrait-il en être autrement, moi qui suis un âne et par conséquent, depuis la plus haute antiquité, un déserteur en puissance. Sauf quand l'homme était un ami, nous avons toujours, nous les ânes, voulu échapper à toute contrainte et spécialement, à celle du travail obligatoire et bien entendu, à toute forme d'engagement guerrier. Une de nos manies était de nous enfuir dès que possible et spécialement, dès qu'il s'agissait de se battre.... (continua)
LE DÉSERTEUR (continua)
inviata da Marco Valdo M.I. 29/11/2009 - 22:17
Cari Marco Valdo e Lucien Lane,
la citazione a memoria non è di Boris Vian, bensì di Albert Einstein che in "Come io vedo il mondo" scriveva
"Disprezzo dal più profondo del cuore chi può con piacere marciare in rango e formazione dietro una musica; soltanto per errore può aver ricevuto il cervello; un midollo spinale gli basterebbe ampiamente."
Tout d'abord, salut à toi, Lorenzo et merci d'avoir rectifié l'attribution de la citation et d'avoir rendu à Einstein... Depuis le temps, elle a été mise à toutes les sauces... Cependant, il me reste dans la mémoire de l'avoir découverte dans un texte de Vian. Quand ? Je n'en sais plus rien.
Voilà, j'ai retrouvé.
C'était il y a bien des années... C'était dans une lettre que Boris Vian écrivit à un certain Faber - le Fréron de Vian ( parenthèse : Fréron est ce monsieur qui dénonça Voltaire... ce qui lui fit en son déshonneur cette épigraphe : « « L'autre jour, au fond d'un vallon / un serpent piqua Jean Fréron / que pensez-vous qu'il arriva... / Ce fut le serpent qui creva ». »)... Lequel Faber avait porté plainte contre Vian, avait réussi à le faire interdire de diffusion par la radio et monté une ligue contre lui à la suite de la chanson « Le Déserteur ».
On y découvre qu'en effet,... (continua)
Au monument aux morts, chacun rêve d'avoir son nom.
da Analyse Brassens
In Francia esistono 36000 monumenti ai morti in guerra e tra questi solamente 12 sono pacifisti. Se ne trova lista sul sito della Fédération Nationale de la Libre Pensée. Ecco cosa si trova iscritto nel marmo su quello di Saint-Martin-d'Estréaux
"Si vis pacem, para bellum ! ou si tu veux la paix prépare la guerre est une devise dangereuse. Si vis pacem, para pacem ! Si tu veux la paix prépare la paix doit être la formule de l'avenir. C'est à dire: Qu'il faut améliorer l'esprit des nations en améliorant celui des individus, par une instruction assainie et largement répandue. Il faut que le peuple sache lire et surtout comprendre la valeur de ce qu'il lit"
"Si tout l'effort produit ... et tout l'argent dépensé pour la guerre
l'avaient été pour la paix... ?Pour la progrès social, industriel et économique ? Le sort... (continua)
CIELITO DE LOS MUCHACHOS
Están cambiando los tiempos
para bien o para mal
para mal o para bien
nada va a quedar igual
cielito cielo que sí
con muchachos donde quieran
mientras no haya libertad
se aplaza la primavera
se posterga para cuando
lleguen los años brutales
y del podrido poder
se bajen los carcamales
cielito cielo cielito
cielito a la descubierta
las botas del miedo pasan
por una calle desierta
viejos están y qué solos
qué ministros y qué viejos
tienen los pesos aquí
pero los dólares lejos
cielito cielo no importa
tienen miedo y es bastante
conocen que ya hace mucho
la historia sigue adelante
los tiempos están cambiando
están cambiando qué bueno
siempre el mundo será ancho
pero ya no será ajeno
cielito cielo qué... (continua)