Keksèkesa ? Cette histoire d'homme vert ?, dit Lucien l'âne noir. Je connaissais des hommes qu'on dit blancs, noirs, rouges, jaunes... Mais verts, je n'en avais jamais entendu parler...
Lucien, mon ami, malgré ta belle prestance et ton âge vénérable, tu n'es nulle part, dit Marco Valdo M.I. Les couleurs des hommes sont comme comme celles d'un arc-en-ciel infini et irisé : elles sont innombrables. Rien que pour ton édification personnelle, je m'en vais en recenser quelques unes en plus de celles que tu as déjà nommées. Je connais – de nom, s'entend – des hommes gris (spécialement polonais), des hommes bleus (les schtroumphs aussi petits et aussi étranges que notre homme vert ), des hommes bruns, des hommes colorés, des hommes bronzés (de la couleur du bronze), des hommes cuivrés (de la couleur du cuivre) et même des hommes transparents et des hommes invisibles. Comme tu le devines, il y en... (continua)
Merci beaucoup à toi, Giorgio. Juste un petit commentaire : la traduction n'est pas aussi simple qu'il n'y paraît. Elle tient de la recréation – parfois. Et puis, je commence à avoir un certain tour de main comme on dit dans l'ébénisterie. À force de faire des traductions de chansons, on finit par savoir y faire. Et pour les rimes, ce n'est pas toujours possible... De toute façon, il faut plus de temps. Alors, comme on est plusieurs, je laisse une part du travail à mon ami Lucien l'âne qui a plus d'âge et d'expérience que moi et puis, il est plus endurant. C'est un âne, quoi !
"Lili Marleen" was the 20th Century's most popular Soldier's Song.
Lale Andersen is the song's finest interpreter: here's her English language version.
This performance was broadcast from German Radio to Australian and New Zealand troops in North Africa in the Spring of 1942.
Chanson italienne - Ogni anno a fine d'agosto – Anton Virgilio Savona - 1969
En Calabre, on devient mafieux de génération en génération, de famille, par descendance ou par le simple fait d'être né dans une famille de mafieux. Le fils d'un mafieux (en Calabre, dans la 'Ndrangheta) est habituellement un mafieux et depuis les classes élémentaires. En somme, on est mafieux comme on est catholique - dès la naissance...
Intanto grazie per la citazione (è un onore per noi far parte di questa raccolta di canzoni), e per la bella traduzione.
Solo un piccolissimo appunto: il titolo in realtà sarebbe "la madre", non "il mare", quindi: "Mère Méditerranéenne".
Di nuovo grazie, e complimenti per il bellissimo "lavoro" che fate con questo sito..
Samuele (il bassista degli Scritti Corsari, e autore di questo testo)
Tout d'abord, un grand remerciement pour le compliment pour la traduction; ça fait plaisir parfois.
Mais enfin, si ma version est bonne, c'est que la chanson est bonne.
Remarquez que je prétends seulement à une version française et pas à une traduction...
Cela dit, pour ce qui est de l' erreur : Mère/mer... Elle était voulue et elle le reste.
Ce n'était pas un errement sans raison.
J'avais un peu profité de la licence poétique du traducteur pour inverser le titre des Scritti Corsari.
Ceci en raison d'un tropisme d'homme de la mer du Nord, qui est - vue d'ici – la « Mer/Mère » et vue d'ici, à 1000 kilomètres, la Méditerranée est un lieu géographique et n'a pas ce rôle de mère qu'elle a assurément pour ses enfants.
Ici par exemple, les « filles du bord de mer(tsoin, tsoin...) » (Adamo) sont blondes et comme disait Brel, « elles dansent sans rien dire... »
Cela dit, il y avait dans... (continua)
Devo dire una cosa a riguardo dell'ultimo ritornello: non dice "ma gli alpini non hanno paura", bensì "ma gli alpini non tornano indietro"...ancora più terribile come finale.
Scena finale da "La lengua de las mariposas", film del 1999 per la regia di José Luis Cuerda, che racconta la storia del rapporto tra un piccolo alunno ed un maestro rurale repubblicano in Galizia negli anni della guerra civile... Il maestro Don Gregorio è interpretato da una grande figura del mondo artistico e culturale spagnolo, Fernando Fernán Gómez, scomparso due anni or sono...
Alessandro 22/10/2009 - 13:49
L'inizio della guerra civile interrompe il bellissimo rapporto tra Moncho e Don Gregorio, un insegnante di idee liberali e repubblicane ma anche se il bambino è costretto a rinnegare il suo maestro non dimenticherà mai i suoi insegnamenti.
A differenza del film, nel libro le ultime parole che Moncho riesce a dire mentre lancia pietre contro il camioncino sono "Rospo", "Tilonorrinco", "Iris".
E' confuso...gli è stato ordinato di chiamarlo "traditore", "criminale" ma riesce solo a utilizzare il linguaggio imparato da Don Gregorio per trasformare gli insulti in elogi. In una sequenza di metafore il rospo, che è un personaggio delle favole, diventa un essere bello e gentile come il tilonorrinco, uccello australiano che per conquistare la femmina lascia un'orchidea nel nido, che infine diventa "Iris", farfalla, simbolo della LIBERTA'.
Così quello che può sembrare una brutta fine, vista la... (continua)