Franco la Muerte
[1964]
Paroles et musique: Léo Ferré
Testo e musica: Léo Ferré
Una canzone che Léo Ferré scrisse nel 1964 all'epoca della condanna a morte del militante antifranchista spagnolo Julián Grimau.
Une chanson que Léo Ferré a écrit en 1964 à l'époque de l'exécution du militant antifranquiste espagnol Julián Grimau.
Après Flamenco de Paris avec lequel Léo Ferré rencontre l'exil des Espagnols...
Quand en 1964, Léo Ferré écrit cette chanson, Franco est toujours en vie et pour longtemps... Il mourra un milieu des années septante. Souvenir personnel et agréable : un soir, avec un ami et compagnon espagnol (catalan), nous présentions Mourir à Madrid aux élèves d'un établissement d'enseignement secondaire... quand au moment du débat, on nous annonça la mort de Franco. La salle croula sous les applaudissements et les Vivas !
Franco, la Muerte t'avait rattrapé. On fit la fête !
Au fait, si tu... (continua)
Paroles et musique: Léo Ferré
Testo e musica: Léo Ferré
Una canzone che Léo Ferré scrisse nel 1964 all'epoca della condanna a morte del militante antifranchista spagnolo Julián Grimau.
Une chanson que Léo Ferré a écrit en 1964 à l'époque de l'exécution du militant antifranquiste espagnol Julián Grimau.
Après Flamenco de Paris avec lequel Léo Ferré rencontre l'exil des Espagnols...
Quand en 1964, Léo Ferré écrit cette chanson, Franco est toujours en vie et pour longtemps... Il mourra un milieu des années septante. Souvenir personnel et agréable : un soir, avec un ami et compagnon espagnol (catalan), nous présentions Mourir à Madrid aux élèves d'un établissement d'enseignement secondaire... quand au moment du débat, on nous annonça la mort de Franco. La salle croula sous les applaudissements et les Vivas !
Franco, la Muerte t'avait rattrapé. On fit la fête !
Au fait, si tu... (continua)
L'heure n'est plus au flamenco
(continua)
(continua)
inviata da Marco Valdo M.I. 27/7/2008 - 17:54
Flamenco de Paris
[1946]
Paroles et musique: Léo Ferré
Testo e musica: Léo Ferré
Léo Ferré a toujours, comme tous les anarchistes du monde d'après 1936, eu un sentiment d'une virulence extrême pour l'Espagne et plus spécialement, pour cette Espagne de Buonaventura Durruti, d'Ascaso et de centaines de milliers de paysans et d'ouvriers anarchistes. Cette Espagne où on fut si proche d'une société débarrassée des gens de pouvoir – que ce soit celui de l'argent ou celui de la force, militaire, économique, politique ou étatiste. L'Espagne fut et reste – à cause cela – accrochée au cœur de l'Europe et en ayant sauvé notre honneur et notre espérance, même si après Tolède, Valence, Madrid, Barcelone, Bilbao, les loups sont entrés dans Paris.
Dès le début, quand il commença sur scène (bien petite encore cette scène au bords de Seine), Léo Ferré crevait le cœur des gens avec ce Flamenco de Paris sorti tout droit... (continua)
Paroles et musique: Léo Ferré
Testo e musica: Léo Ferré
Léo Ferré a toujours, comme tous les anarchistes du monde d'après 1936, eu un sentiment d'une virulence extrême pour l'Espagne et plus spécialement, pour cette Espagne de Buonaventura Durruti, d'Ascaso et de centaines de milliers de paysans et d'ouvriers anarchistes. Cette Espagne où on fut si proche d'une société débarrassée des gens de pouvoir – que ce soit celui de l'argent ou celui de la force, militaire, économique, politique ou étatiste. L'Espagne fut et reste – à cause cela – accrochée au cœur de l'Europe et en ayant sauvé notre honneur et notre espérance, même si après Tolède, Valence, Madrid, Barcelone, Bilbao, les loups sont entrés dans Paris.
Dès le début, quand il commença sur scène (bien petite encore cette scène au bords de Seine), Léo Ferré crevait le cœur des gens avec ce Flamenco de Paris sorti tout droit... (continua)
Tu ne m'as pas dit
(continua)
(continua)
inviata da Marco Valdo M.I. 27/7/2008 - 17:28
Minas piedras
LA VIDA… ES UN RATICO (“La vita è un momento”) è il quarto album in studio di Juanes ed è uscito ad ottobre 2007 in tutto il mondo, facendo seguito al fortunato “Mi Sangre”, che grazie alla hit “La Camisa Negra” in esso contenuta, ha spopolato anche in Italia. Questa nuova versione italiana dell’album contiene il duetto inedito “Dove le pietre sono mine (Minas piedras)” con la partecipazione di Pau dei Negrita, nato dall’incontro tra i due lo scorso gennaio a Milano e sfociato in uno showcase, dove Juanes ha avuto modo, sia di presentare l’album che di salire sul palco con Pau e Drigo dei Negrita e presentare il brano per la prima volta. Juanes, oltre ad essere il leader della scena mondiale latina, con ben oltre 9 milioni di dischi venduti nel mondo e ben 12 Grammys Latini nel suo palmarès, è soprattutto un cantautore e musicista socialmente impegnato. Il suo messaggio musicale di pace... (continua)
DOVE LE PIETRE SONO MINE
(continua)
(continua)
27/7/2008 - 12:30
Y en a marre !
[1967]
Paroles et musique: Léo Ferré
Testo e musica: Léo Ferré
Français
Italiano
"Y en a marre" est une des chansons qu'on ne peut séparer de Thank You Satan, de l'âge d'Or, des Anarchistes... et de quelques autres où Léo Ferré criait sa colère, sa volonté de changer les choses et le monde; où transparaissait son sens de la révolte nécessaire; résumons-nous : son humanité.
Léo Ferré est porteur d'avenir. Y en a marre, on l'entend tous les jours chez les jeunes – c'est d'évidence; chez les chômeurs, chez les précaires, chez les expatriés, les exilés – avec ou sans papiers, les réfugiés de tous genres politiques, économiques, sociaux... dans les prisons, dans les usines, dans les entreprises, dans les commerces... en fait, partout.
Léo Ferré le disait avec quelques décennies d'avance, mais il disait vrai.
Y en a marre est la constatation que le feu couve sous la cendre, que l'empire... (continua)
Paroles et musique: Léo Ferré
Testo e musica: Léo Ferré
Français
Italiano
"Y en a marre" est une des chansons qu'on ne peut séparer de Thank You Satan, de l'âge d'Or, des Anarchistes... et de quelques autres où Léo Ferré criait sa colère, sa volonté de changer les choses et le monde; où transparaissait son sens de la révolte nécessaire; résumons-nous : son humanité.
Léo Ferré est porteur d'avenir. Y en a marre, on l'entend tous les jours chez les jeunes – c'est d'évidence; chez les chômeurs, chez les précaires, chez les expatriés, les exilés – avec ou sans papiers, les réfugiés de tous genres politiques, économiques, sociaux... dans les prisons, dans les usines, dans les entreprises, dans les commerces... en fait, partout.
Léo Ferré le disait avec quelques décennies d'avance, mais il disait vrai.
Y en a marre est la constatation que le feu couve sous la cendre, que l'empire... (continua)
En même temps que nos impôts
(continua)
(continua)
inviata da Marco Valdo M.I. 26/7/2008 - 22:51
Buráky
(popolare + una versione piu' rock di Alkehol)
NOCCIOLINE
(continua)
(continua)
inviata da Stanislava Sebkova 26/7/2008 - 15:06
Ni Dieu ni Maître
Tant qu'à être excommunié, exclu de partout, persécuté dans la guerre sociale, poursuivi, dénoncé, rejeté de leur société, vilipendé et traité d'anarchiste, autant chanter Ni Dieu, ni Maître avec Léo Ferré.
Oh, il n'y a pas de quoi faire in champion, une vedette, un héros, mais un homme, oui, sûrement !
C'est d'ailleurs la seule façon...
Ne jamais se soumettre ! (ni à un dogme, ni à un parti, ni à une église, ni à une religion, ni à un pouvoir, ni à un Dieu, ni à plusieurs Dieux, ni à un Maître, ni à plusieurs Maîtres...) : la seule façon de vivre debout, c'est de ne jamais courber l'échine.
Ainsi parlait Marco Valdo M.I. vous souhaitant, comme Léo Ferré, NI DIEU NI MAITRE.
Oh, il n'y a pas de quoi faire in champion, une vedette, un héros, mais un homme, oui, sûrement !
C'est d'ailleurs la seule façon...
Ne jamais se soumettre ! (ni à un dogme, ni à un parti, ni à une église, ni à une religion, ni à un pouvoir, ni à un Dieu, ni à plusieurs Dieux, ni à un Maître, ni à plusieurs Maîtres...) : la seule façon de vivre debout, c'est de ne jamais courber l'échine.
Ainsi parlait Marco Valdo M.I. vous souhaitant, comme Léo Ferré, NI DIEU NI MAITRE.
Marco Valdo M.I. 26/7/2008 - 14:50
Faith And Hope
album reason to believe
Faith and hope
(continua)
(continua)
inviata da jessica 26/7/2008 - 10:34
One Reason
Traccia 2; album: Reason to believe
You take the best away
(continua)
(continua)
inviata da Jessica 26/7/2008 - 10:31
As Long As We Can
Album: Reason to believe
Here we go again
(continua)
(continua)
inviata da Jessica 26/7/2008 - 10:28
Coplas del payador perseguido
[1972]
Palabras y música: Atahualpa Yupanqui
Testo e musica: Atahualpa Yupanqui
Nel 1971 Atahualpa Yupanqui fu aggredito da alcuni militari di estrema destra che, col calcio dei fucili, gli ferirono gravemente le mani. Le mani con cui suonava la sua chitarra, con un gesto che sarà ripetuto dai militari golpisti cileni, due anni dopo, nei confronti di Víctor Jara poco prima che fosse ucciso. In risposta a questo episodio, Atahualpa Yupanqui scrisse le sue famosissime, e lunghissime, Coplas del payador perseguido, alternando la recitazione al canto e accompagnandosi con la chitarra. Non molto dopo partì per il suo esilio parigino (e a Parigi morrà il 23 maggio 1992).
Le Coplas raccontano tutta la vita di Atahualpa Yupanqui, uno che “era venuto da lontano per raccontare qualcosa” (questo significa il suo pseudonimo in lingua quechua, atawallpa yupanki; in realtà si chiamava Héctor Roberto... (continua)
Palabras y música: Atahualpa Yupanqui
Testo e musica: Atahualpa Yupanqui
Nel 1971 Atahualpa Yupanqui fu aggredito da alcuni militari di estrema destra che, col calcio dei fucili, gli ferirono gravemente le mani. Le mani con cui suonava la sua chitarra, con un gesto che sarà ripetuto dai militari golpisti cileni, due anni dopo, nei confronti di Víctor Jara poco prima che fosse ucciso. In risposta a questo episodio, Atahualpa Yupanqui scrisse le sue famosissime, e lunghissime, Coplas del payador perseguido, alternando la recitazione al canto e accompagnandosi con la chitarra. Non molto dopo partì per il suo esilio parigino (e a Parigi morrà il 23 maggio 1992).
Le Coplas raccontano tutta la vita di Atahualpa Yupanqui, uno che “era venuto da lontano per raccontare qualcosa” (questo significa il suo pseudonimo in lingua quechua, atawallpa yupanki; in realtà si chiamava Héctor Roberto... (continua)
I.
(continua)
(continua)
inviata da Riccardo Venturi 25/7/2008 - 18:07
Volver a los diecisiete
In fondo a questa pagina, ci piace inserire uno straordinario video in cui Violeta Parra, in francese (ma sottotitolata in spagnolo), racconta tutta la sua vita mentre tesse. Qualcosa da guardare e ascoltare in silenzio.
Riccardo Venturi 25/7/2008 - 17:33
Who's Gonna Fight in the Third World War?
CHI COMBATTERA' NELLA TERZA GUERRA MONDIALE?
(continua)
(continua)
inviata da Kiocciolina 25/7/2008 - 15:45
Thank you, Satan!
[1961]
Paroles et musique: Léo Ferré
Testo e musica: Léo Ferré
Français
Italiano
Tant qu'à être excommunié, autant l'être avec Ferré...
Et l'être avec sa meilleure chanson ou pour dire la chose différemment, celle qui le représente le mieux, celle où il met son cœur à nu, où l'on trouve les ressorts cachés de la poésie.
Sa meilleure chanson, sans doute, celle qui porte en elle toutes les autres et qui est une chanson de révolte pure après deux mille ans de dictature apostolique et romaine : Thank you, Satan !
Tout y passe, si l'on veut bien prendre le temps de suivre Léo Ferré dans ce parcours complexe des replis de la conscience résolument athée, laïque, libertaire, hautement littéraire – on dirait un personnage faustien, qui rencontre le diable, celui de Marguerite que Boulgakov créa sous la moustache du petit père Joseph. Un personnage Léo Ferré libertin, libre de ses gestes... (continua)
Paroles et musique: Léo Ferré
Testo e musica: Léo Ferré
Français
Italiano
Tant qu'à être excommunié, autant l'être avec Ferré...
Et l'être avec sa meilleure chanson ou pour dire la chose différemment, celle qui le représente le mieux, celle où il met son cœur à nu, où l'on trouve les ressorts cachés de la poésie.
Sa meilleure chanson, sans doute, celle qui porte en elle toutes les autres et qui est une chanson de révolte pure après deux mille ans de dictature apostolique et romaine : Thank you, Satan !
Tout y passe, si l'on veut bien prendre le temps de suivre Léo Ferré dans ce parcours complexe des replis de la conscience résolument athée, laïque, libertaire, hautement littéraire – on dirait un personnage faustien, qui rencontre le diable, celui de Marguerite que Boulgakov créa sous la moustache du petit père Joseph. Un personnage Léo Ferré libertin, libre de ses gestes... (continua)
Pour la flamme que tu allumes
(continua)
(continua)
inviata da Marco Valdo M.I. 25/7/2008 - 10:38
Percorsi:
Antiwar Anticlericale, Il Diavolo
Elegia per gli impiccati di Bassano
Ecco il boia di Bassano
da L'Espresso Online, 24 luglio 2008
Articolo di Paolo Tessadri
Si chiama Karl Franz Tausch, ha 85 anni, vive in una villetta a Langen, in Assia. È autore di una delle più orribili stragi naziste: 31 giovani impiccati agli alberi del corso centrale di Bassano del Grappa il 26 settembre 1944. Lui e gli altri responsabili, tedeschi e italiani, non sono mai stati processati.
L'immagine rimarrà indelebile nella storia degli eccidi nazisti in Italia. La foto ritrae trentuno corpi di giovani senza vita che penzolano dagli alberi del lungo viale di Bassano del Grappa. Un impiccato per ogni albero, con i piedi, per alcuni, a pochi centimetri dal suolo. Appesi a piante che appaiono dei grandi funghi. Le mani legate dietro, davanti, sul petto, un cartello con la scritta "bandito". Lasciati lì, appesi per venti lunghe ore in segno di spregio e per terrorizzare la popolazione.... (continua)
da L'Espresso Online, 24 luglio 2008
Articolo di Paolo Tessadri
Si chiama Karl Franz Tausch, ha 85 anni, vive in una villetta a Langen, in Assia. È autore di una delle più orribili stragi naziste: 31 giovani impiccati agli alberi del corso centrale di Bassano del Grappa il 26 settembre 1944. Lui e gli altri responsabili, tedeschi e italiani, non sono mai stati processati.
L'immagine rimarrà indelebile nella storia degli eccidi nazisti in Italia. La foto ritrae trentuno corpi di giovani senza vita che penzolano dagli alberi del lungo viale di Bassano del Grappa. Un impiccato per ogni albero, con i piedi, per alcuni, a pochi centimetri dal suolo. Appesi a piante che appaiono dei grandi funghi. Le mani legate dietro, davanti, sul petto, un cartello con la scritta "bandito". Lasciati lì, appesi per venti lunghe ore in segno di spregio e per terrorizzare la popolazione.... (continua)
Riccardo Venturi 24/7/2008 - 18:28
Aida
Grande Rino, cantore della patria balorda, ma grazie anche a voi per questa SPLENDIDA recensione di Aida! Non avrei potuto desiderare di aver spiegata meglio questa poesia...
Lia 24/7/2008 - 14:58
Il fannullone
Chanson italienne – Il Fannullone – Fabrizio De André et Paolo Villaggio – 1963
C'est une ancienne, même très ancienne chanson de De Andrè écrite, en 1963, avec son ami Paolo Villaggio, auteur de Fantozzi, personnage comique, qui est un des plus grands réquisitoires contre le travail et contre le patronat qui ait jamais été écrit dans ce pays (L'Italie). Le monde de la grande entreprise déshumanisante, le patron sanctifié avec ses fauteuils en peau humaine, le pauvre employé avec ses qualités et ses défauts, son humanité et ses saloperies, qui d'une certaine manière cherche à survivre. Fantozzi, lui aussi, est désormais entré dans l'usage comme nom commun : un fantozzi, dit-on depuis des années.
(À cet égard, note Marco Valdo M.I., le Zingarelli 2000 propose également l'adjectif fantozziano [ dal n. del ragioniere Ugo Fantozzi, personagggio creato del comico P. Villaggio – 1977], agg... (continua)
C'est une ancienne, même très ancienne chanson de De Andrè écrite, en 1963, avec son ami Paolo Villaggio, auteur de Fantozzi, personnage comique, qui est un des plus grands réquisitoires contre le travail et contre le patronat qui ait jamais été écrit dans ce pays (L'Italie). Le monde de la grande entreprise déshumanisante, le patron sanctifié avec ses fauteuils en peau humaine, le pauvre employé avec ses qualités et ses défauts, son humanité et ses saloperies, qui d'une certaine manière cherche à survivre. Fantozzi, lui aussi, est désormais entré dans l'usage comme nom commun : un fantozzi, dit-on depuis des années.
(À cet égard, note Marco Valdo M.I., le Zingarelli 2000 propose également l'adjectif fantozziano [ dal n. del ragioniere Ugo Fantozzi, personagggio creato del comico P. Villaggio – 1977], agg... (continua)
LE FAINÉANT
(continua)
(continua)
inviata da Marco valdo M.I. 23/7/2008 - 21:58
Dall'ultima galleria
Piacenza, July 23, 2008.
“This song is a hymn to life and a cry against those who do not want us to live. This song is on myself, on my love for Genoa, on the cup of coffee I drink anytime I come to the kiosk just outside Piazza Principe station, on the neverending tunnel the train passes through before arriving. This is my song, and on July 20, 2001, at 5:30 pm, I was distant but 300 m from Alimonda square, as I got to know a few months later when I was back there. ‘All this is alive, neither distance nor coward soldiers could kill it.’ “ (Alessio Lega)
FROM THE LAST TUNNEL
(continua)
(continua)
23/7/2008 - 18:51
Dead Man Walkin'
Morte al luna park
Ne ho letti tanti, di racconti horror.
Il luna-park è un ambiente che ben si presta a certi argomenti, e di solito la sensazione che se ne ottiene spazia facilmente dall'inquietudine al disgusto.
E questo colpo di genio venuto ad un giostraio del luna park dell'Idroscalo di Milano si adatta veramente bene ad un racconto horror, di quelli senza mostri e senza alieni, di quelli che hanno come protagonisti solo gli esseri umani e la loro mente distorta.
Come si combatte la pena di morte, quando le famigliole si divertono davanti ad una sedia elettrica in funzione, con tanto di manichino sopra?
k.d.
La notizia su Repubblica on line
Ne ho letti tanti, di racconti horror.
Il luna-park è un ambiente che ben si presta a certi argomenti, e di solito la sensazione che se ne ottiene spazia facilmente dall'inquietudine al disgusto.
E questo colpo di genio venuto ad un giostraio del luna park dell'Idroscalo di Milano si adatta veramente bene ad un racconto horror, di quelli senza mostri e senza alieni, di quelli che hanno come protagonisti solo gli esseri umani e la loro mente distorta.
Come si combatte la pena di morte, quando le famigliole si divertono davanti ad una sedia elettrica in funzione, con tanto di manichino sopra?
k.d.
La notizia su Repubblica on line
daniela -k.d.- 23/7/2008 - 11:56
La historia esta
Rettifica. Confermo l'integrità dell'archivio su filesend:
http://www.filesend.net/download.php?f...
(Scaricare e decomprimere inserendo la pw seguente, corrispondente all'indirizzo del sito "El Blog de la Buene Musica": http://elblogdelabuenamusica.blogspot.com/)
http://www.filesend.net/download.php?f...
(Scaricare e decomprimere inserendo la pw seguente, corrispondente all'indirizzo del sito "El Blog de la Buene Musica": http://elblogdelabuenamusica.blogspot.com/)
Alessandro 23/7/2008 - 08:32
Via della Povertà [versioni modificate e versione da album], incl. Desolation Row by Bob Dylan
Chanson italienne – Via della Povertà (Prima versione modificata "Anni '70") – Fabrizio De André – 1974
À la fin de 1974, en préparation de sa toute première tournée de concerts, Fabrizio De Andrè se divertit, à Asti, à chanter cette version de “Via della Povertà” en substituant aux personnages de la chanson les noms de politiciens italiens et d'autres personnages de cette époque, en les insérant dans les situations de ce moment. Au-delà, il y a aussi des variations textuelles importantes et même “dures”...
RUE DE LA PAUVRETÉ (PREMIÈRE VERSION MODIFIÉE)
(continua)
(continua)
inviata da Marco Valdo M.I. 23/7/2008 - 00:06
Carlo Giuliani
Carlo Giuliani legge nel 1995 le lettere dei condannati a morte della Resistenza italiana. Genova, Piazza Alimonda, 20 luglio 2008.
CCG/AWS Staff 22/7/2008 - 19:45
La beauté de l'art
L’art sera toujours un hymne dédié à l’Homme
(continua)
(continua)
inviata da Carles Viadel 22/7/2008 - 16:54
Lied der Seeräuber-Jenny
La traduzione di seguito proposta fu curata da Giorgio Strehler per L'Opera Da Tre Soldi che venne rappresentata (sotto la sua regia) al Teatro Piccolo di Milano nelle stagioni del 1958-59 e del 1972-73.
JENNY DEI PIRATI
(continua)
(continua)
inviata da Greta Giavedoni 22/7/2008 - 16:19
Los que mueren por la vida
Los que mueren por la vida
(continua)
(continua)
inviata da adriana 22/7/2008 - 16:13
Trentaduesimo parallelo
nomadi vi stimo troppo!!!! grazie a voi e a tutto il popolo nomade ho ancora la sperenza di poter migliorare questo mondo col suono della vostra musica e con la vostra "voce che canta i miei pensieri".....
giulia 93 22/7/2008 - 12:07
Dall'ultima galleria
Le bugie dell' "Orinale" -pardon, del "Giornale"- non hanno limite
Partiamo con una premessa: ieri, domenica 20 luglio, mezze CCG erano in piazza Alimonda; e per "mezze" non intendiamo soltanto tre amministratori di questo sito -il sottoscritto, Daniela "k.d." e Adriana- ma anche, ad esempio, lo stesso Alessio Lega, l'autore della canzone di questa pagina, Marco Rovelli, autore di Carlo Giuliani ed altri che in un modo o nell'altro hanno a che fare con questo sito.
Essendoci, là, in quella maledetta piazza che neppure la voce di Carlo che leggeva le lettere dei condannati a morte della Resistenza può farmi smettere di considerare maledetta, ho potuto vedere chi c'era, e quanti c'erano. Che cosa dicevano, che cosa avevano scritto, che cosa cantavano, che cosa ridevano e che cosa piangevano. Ad esempio, riprendendole da Il Russo, ecco alcune foto:
Viste le foto? Avete visto chi c'era in... (continua)
Partiamo con una premessa: ieri, domenica 20 luglio, mezze CCG erano in piazza Alimonda; e per "mezze" non intendiamo soltanto tre amministratori di questo sito -il sottoscritto, Daniela "k.d." e Adriana- ma anche, ad esempio, lo stesso Alessio Lega, l'autore della canzone di questa pagina, Marco Rovelli, autore di Carlo Giuliani ed altri che in un modo o nell'altro hanno a che fare con questo sito.
Essendoci, là, in quella maledetta piazza che neppure la voce di Carlo che leggeva le lettere dei condannati a morte della Resistenza può farmi smettere di considerare maledetta, ho potuto vedere chi c'era, e quanti c'erano. Che cosa dicevano, che cosa avevano scritto, che cosa cantavano, che cosa ridevano e che cosa piangevano. Ad esempio, riprendendole da Il Russo, ecco alcune foto:
Viste le foto? Avete visto chi c'era in... (continua)
Riccardo Venturi 21/7/2008 - 23:49
99 Luftballons
Ciao,
scrivo per dirvi che nella traduzione di 99 Luftballons che avete pubblicato ci sono degli errori. Io ve li ho corretti, non tanto per avere il mio nome sulla pagina, ma solo perché è una canzone davvero significativa e mi dispiaceva vederla "manomessa" qua e là. se mie correzioni, da notare, non sono stilistiche, ma concettuali, ovvero colui che l'ha tradotta (molto bravo) ha proprio capito male dei pezzettini.
Se chi l'ha tradotta lavora per voi, sarò ben lieta di spiegarli gli errori, ma per ora, pensando che in pochi capiscono il tedesco, vi mando solo le correzioni. Sono scritte IN MAIUSCOLO.
Contattatemi per qualsiasi chiarimento
PS Sono un'insegnante di tedesco.
scrivo per dirvi che nella traduzione di 99 Luftballons che avete pubblicato ci sono degli errori. Io ve li ho corretti, non tanto per avere il mio nome sulla pagina, ma solo perché è una canzone davvero significativa e mi dispiaceva vederla "manomessa" qua e là. se mie correzioni, da notare, non sono stilistiche, ma concettuali, ovvero colui che l'ha tradotta (molto bravo) ha proprio capito male dei pezzettini.
Se chi l'ha tradotta lavora per voi, sarò ben lieta di spiegarli gli errori, ma per ora, pensando che in pochi capiscono il tedesco, vi mando solo le correzioni. Sono scritte IN MAIUSCOLO.
Contattatemi per qualsiasi chiarimento
PS Sono un'insegnante di tedesco.
II STROFA
(continua)
(continua)
inviata da Diana 21/7/2008 - 23:23
Tredici
Da WikiPedia:
Agli ordini di Antonio Olearo detto Tom (Medaglia d'oro al Valor Militare alla memoria), la Banda Tom costituì a lungo una spina nel fianco di nazisti e fascisti durante la Guerra di Liberazione, le cui azioni furono condotte tra il Monferrato Casalese e l'Astigiano. Antonio Olearo all'inizio della Seconda Guerra Mondiale si arruolò nella Guardia di Frontiera e dopo l'8 settembre si unì ai partigiani in Val di Susa. Nell'inverno del 1943 tornò nel Monferrato, raccolse un gruppo di giovani e fondò una banda da lui stesso capeggiata che si integrò nella Divisione Matteotti e diventò la Settima Brigata, tra le più temute della zona.
Il 14 gennaio 1945, durante un rastrellamento, la banda ed il suo comandante si rifugiarono in una cascina di Casorzo (in provincia di Asti), dove avvenne la cattura. Incatenati l'un con l'altro, seminudi e scalzi, i prigionieri vennero obbligati... (continua)
Agli ordini di Antonio Olearo detto Tom (Medaglia d'oro al Valor Militare alla memoria), la Banda Tom costituì a lungo una spina nel fianco di nazisti e fascisti durante la Guerra di Liberazione, le cui azioni furono condotte tra il Monferrato Casalese e l'Astigiano. Antonio Olearo all'inizio della Seconda Guerra Mondiale si arruolò nella Guardia di Frontiera e dopo l'8 settembre si unì ai partigiani in Val di Susa. Nell'inverno del 1943 tornò nel Monferrato, raccolse un gruppo di giovani e fondò una banda da lui stesso capeggiata che si integrò nella Divisione Matteotti e diventò la Settima Brigata, tra le più temute della zona.
Il 14 gennaio 1945, durante un rastrellamento, la banda ed il suo comandante si rifugiarono in una cascina di Casorzo (in provincia di Asti), dove avvenne la cattura. Incatenati l'un con l'altro, seminudi e scalzi, i prigionieri vennero obbligati... (continua)
Uno gridava viva la libertà
(continua)
(continua)
inviata da adriana e daniela -k.d.- 21/7/2008 - 18:08
The End
non solo è da lasciare negli extra ma andrebbe capita non solo per le parole di testo ma per come emozionalmente viene cantata (fatela cantare a chiunque sarebbe una canzone normalissima) scusandomi per eventuali errori fatti ringrazio D.P.
paolo 21/7/2008 - 13:07
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Paroles: Bertrand Cantat
Testo: Bertrand Cantat
Album: "666.667 Club"