tratta da Il Deposito

Una de las canciones antimilitaristas más elocuentes y significativas de todos los tiempos es Gorizia que hace un recuento emocional y político al mismo tiempo de la batalla de Gorizia, ciudad que Italia le disputó a Austria en 1916. Según cálculos oficiales, en la batalla para conquistar la ciudad de Gorizia, que duró del 5 al 10 de agosto de 1916, murieron alrededor de noventa mil soldados, cincuenta mil italianos y cuarenta mil austriacos. La ciudad quedó finalmente en manos italianas. La versión que aquí se presenta ha sido recopilada por el investigador Cesare Bermani, de un testigo que afirmó haberla escuchado de las tropas que conquistaron Gorizia el 10 de agosto de 1916.

En 1964, el Nuovo Canzoniere Italiano, una agrupación de investigadores y ejecutores de música popular, presentó esta canción en el Festival dei due Mondi de Spoleto, en el espectáculo Bella ciao, dedicado a la... (continua)

Riccardo Venturi, 09-01-2020 09:06

"A true story that tells what happened on the war front on Christmas eve of 1914/1915 between Italians and Austrians. The scene takes place on Mount Col del Rosso, near Mount Grappa: the Italians went out on patrol and, when they found the enemy behind them, they resigned themselves to the tragedy. By a miracle, the Austrians decided to leave their weapons and exchange with the Italians the sign of PEACE."

English translation / Traduzione inglese / Traduction anglaise/ Englanninkielinen käännös:
Riccardo Gullotta

Come notano Castelli, Jona e Lovatto (op. cit.) mentre nelle versioni ufficiale il soldato promette di tornare al fronte terminata la licenza, nelle lezioni raccolte da fonti orali prevale invece la risposta negativa e il soldato dichiara di non avere alcuna intenzione di tornare al fronte (Signor capitano lo giuro lo giuro / se vado casa ritorno mai più o Ce lo giuro signor capitano / dalla licenza non torno mai più)

Riccardo Venturi, 18-11-2019 20:49

coro Pane e Guerra - Impiraresse e Il 18 di novembre

The city of Venice had to endure 42 air raids during WW1; the very first one occurred on 24 May 1915, the same day Italy declared war on the Austro-Hungarian Empire. The air bombing of 18 November 1917 occurred shortly after Caporetto rout and was among the hardest ones the city had to suffer. Venice had about 114,000 inhabitants before the war; in April 1918, only 40,000 were left. Most Venice refugees were moved to other Adriatic coast towns not affected by war, like Ancona or Pesaro in the Marche region. This song in the Venetian dialect is focused on this event.

Chanson allemande – Brief an meinen Sohn – Erich Kästner – 1931
Poème d’Erich Kästner, in "Gesang zwischen den Stühlen", 1932
Interprétée par Ernst Busch avec Erich Kästner ‎sur le disque "Erich Kästner Liest Kästner" (Erich Kästner lit Erich Kästner), Aurora Schallplatten, 1969


Dialogue Maïeutique

Voici, Lucien l’âne mon ami, une lettre-chanson ou une chanson-lettre, comme tu voudras ; en tout cas, la chose importante, car c’est un père qui s’adresse au fils qu’il n’a pas encore enfanté et dont, en outre, il ne connaît pas la mère ; il ne la connaît pas et il se contente d’une figure évasive, à peine esquissée, une supposition de mère, un artefact. Il est vrai que ce qui le préoccupe dans l’instant, c’est son fils tout aussi supposé, un fils théorique, une figure de fils et de fait, il ne pourrait être autre chose. Il s’incarnera (ou non) en temps utile. C’est son fils, ce fils qu’il... (continua)

Chanson allemande – Verdun, viele Jahre später – Erich Kästner – 1932
Texte d’Erich Kästner, dans son recueil "Gesang zwischen den Stühlen"
Musique de Lee Bach, cantautrice franco-allemande, née à Cuxhaven en 1947.
De son album "Wie ein Vogel frei", 1980.


Dialogue maïeutique

C’était, souviens-toi, Lucien l’âne mon ami, il y a une centaine d’années ou un peu plus. Le silence s’appesantissait sur les champs de Lorraine et sur les hauteurs de la Meuse. Provisoirement, les canons s’étaient tus. Une décade plus tard, Le silence était toujours là et le souvenir aussi.

Oui, dit Lucien l’âne, de tout ça, je me souviens comme tout le monde qui entend le nom « Verdun ». Je suppose que la chanson aussi.

Effectivement, répond Marco Valdo M.I., tout le monde et tu fais bien de dire ainsi. Car dans nos régions de langue française, quand on entend Verdun, on pense à l’abomination et en même temps,... (continua)

Chanson allemande – Ich wund’re mir über gar nichts mehr – Otto Reutter – 1917
Célèbre poème d’Otto Reutter (1870-1931), chanteur et acteur allemand, précurseur du Kabarett berlinois qui connut son âge d’or entre les deux guerres. Texte trouvé sur www.otto-reutter.de .

Otto Reutter n’était certainement pas un auteur politique, mais il a toujours décrit la société allemande entre les deux siècles avec sarcasme et irrévérence. Sa poésie – en couplets, distiques aux rimes croisées – devient plus amère pendant la Grande Guerre, surtout après que son fils ait perdu la vie dans la terrible bataille de Verdun (février – décembre 1916).
Dans ce « Ich wund’re mir über gar nichts mehr », Otto Reutter décrit la vie à Berlin en 1917, une vie loin du front, mais pas de la guerre…

« … Dans ces années-là, se produisait au théâtre Apollo (Berlin) Otto Reutter… Le grand artiste de cabaret s’est fait connaître... (continua)

Riccardo Venturi, 04-09-2019 13:46

Due parole del traduttore. Nessun tentativo, neanche minimo, è stato fatto per rendere in qualche modo le assonanze del testo originale, che ne costituiscono ovviamente la caratteristica e il nucleo centrale. In traduzione si perde ogni cosa. Va quindi intesa come una pura e semplice "traduzione di servizio", e nient'altro.

Leggermente diversa la lezione da Malvito (CS) con finale patriottico:

Translated by Tobi Veselich
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Riccardo Venturi,12-06-2019 18:06