Υπερασπίζομαι την Αναρχία
Katerina Gogou / Κατερίνα ΓώγουVersion française — JE DÉFENDS L’ANARCHIE — Marco Valdo M.I. — ... | |
Difendo l'Anarchia Non mi fermare. Sto sognando. Abbiamo vissuto a capo chino secoli di ingiustizia. Secoli di solitudine. Ora no. Non mi fermare. Ora anche qui per sempre e ovunque. Ho un sogno di libertà. Dentro la bellissima peculiarità di ciascuno ristabiliamo l'Armonia dell'Universo. Avanti, giochiamo. La conoscenza è gioia. Non è una mobilitazione scolastica. Io sogno in quanto amo. Grandi sogni nel cielo. Operai padroni delle loro fabbriche contribuiscono all'universale produzione di cioccolata. Io sogno in quanto SO e POSSO. I banchieri generano i «rapinatori» Le prigioni i «terroristi» La solitudine gli «inadattabili» Il prodotto il «bisogno» Le frontiere gli eserciti [1] La proprietà tutto. Violenza genera la violenza. Non domandare. Non mi fermare. E' il momento di ristabilire la sublime prassi del diritto morale. Facciamo della Vita una poesia. E della Vita una prassi. E' un sogno che posso posso posso. TI AMO e non mi fermare non sto sognando. Sto vivendo. Stendo le mani all' Amore alla solidarietà alla Libertà. Quante volte sarà necessario e sempre dal principio Difendo l' ANARCHIA. | JE DÉFENDS L’ANARCHIE Ne m’arrêtez pas. Je rêve. Nous avons vécu courbés des siècles d’injustice, Des siècles de solitude. Maintenant, non. Ne m’arrêtez pas surtout. Maintenant et ici et pour toujours et à jamais et partout. Je rêve de liberté Dans le monde entier, De la belle individualité Pour refaire L’harmonie de l’univers… La connaissance est une joie. Viens, on joue. Ne faisons pas un brouillon des écoles. Je rêve, car j’aime De grands rêves dans le ciel tout là-bas, Où les travailleurs maîtres de leur usine Inondent le monde de chocolat. Je rêve car je SAIS et je PEUX. Les banques engendrent des “miséreux”. Les prisons forment des “révoltés”. La solitude engendre des inadaptés. Le produit produit le “nécessaire”, Tous les nationalismes. Les armées, les frontières, Et tous les égoïsmes. La violence engendre la violence. Ne me questionnez pas, Ne m’arrêtez pas. Il faut maintenant redonner vie Au droit moral à l’action, Faire de la vie une poésie. Et remettre la vie sous tension. Je tends les mains À l’amour, à la solidarité, À la liberté. Du début et jusqu’à la fin De ma vie, Je défends l’ANARCHIE. |
[1] Si veda qui. |