Vale la pena
Giulio WilsonVersion française – ÇA VAUT LA PEINE (2) – Marco Valdo M.I. ... | |
ÇA VAUT LA PEINE Ça vaut la peine de cultiver les plantes, De courir sur des collines abruptes, D’ouvrir un livre, réfugié dans un grenier, De se sentir bien, même en minorité. Ça vaut vraiment la peine d’aimer, De lâcher prise et cultiver la patience, De marcher sans souci de la distance, De se sentir bien, même en minorité. Ah, le temps passe et puis s’en va, Il fait grandir l’enfant en une fois Puis, fait venir l’adulte tout droit. Ça vaut, ça vaut, ça vaut la peine. Ça vaut, ça vaut, ça vaut, ça vaut la peine. Nous avons tous fait des vœux Sur une étoile filante Comme des bagages trop vieux Nos espérances brûlantes Ont eu des déficiences, Qu’il faut tenir en défiance. On ne peut pas toujours tout choisir, Vaut mieux construire que détruire. Ça vaut, ça vaut, ça vaut la peine. Ça vaut, ça vaut, ça vaut, ça vaut la peine. Ah le temps passe et puis s’en va. Ne restez pas comme ça, Vivez la vie comme elle sera. Nous avons tous fait des vœux Sur une étoile filante Comme des bagages trop vieux Nos espérances brûlantes Ont eu des déficiences, Qu’il faut tenir en défiance. On ne peut pas toujours tout choisir, Vaut mieux construire que détruire. J’aime l’extravagant, Les étudiants de ce mois de mai à Paris, Qui parlaient avec le sentiment, aimaient avec l’esprit, Et cultivaient un cœur conscient. Qui rêve de voler vers Mars ou ailleurs, Qui joue son propre rôle ici, Donne un sens à sa douleur, Qui de courage s’emplit De sa vie est l’auteur. Pour qui a donné et jamais pris, Pour qui n’a jamais fléchi, Pour qui cherche de tout cœur À être un peu meilleur, Il existe une espérance infinie : Qui s’appelle la vie. | ÇA VAUT LA PEINE (2) Ça vaut, ça vaut, ça vaut la peine. Ça vaut, ça vaut, ça vaut, ça vaut la peine. Ça vaut la peine de ne pas brûler les étapes, D’être ouvert aux rencontres, De chuchoter bonne nuit doucement, Et de se sentir chez soi, même émigrant. Ça vaut la peine de respirer bien fort, De dévaler la colline vers la vallée profonde, De lire un livre et découvrir un monde Et nos rêves faits d'or. Ah, le temps passe et puis s’en va, Il fait grandir l’enfant en une fois Puis, fait venir l’adulte tout droit. Nous avons tous fait des vœux Sur une étoile filante Comme des bagages trop vieux Nos espérances brûlantes Ont eu des déficiences, Qu’il faut tenir en défiance. On ne peut pas toujours tout choisir, Vaut mieux construire que détruire. Ça vaut la peine de faire La fête et de casser des verres, Ça vaut le coup, car tout passe et s’en va Et ce qui reste, restera. Ah le temps passe et puis s’en va. Ne restez pas comme ça, Vivez la vie comme elle sera. Nous avons tous fait des vœux Sur une étoile filante Comme des bagages trop vieux Nos espérances brûlantes Où nous gardons les douleurs Qui ternissent nos humeurs, Car le destin ne se peut choisir Et il faut construire un avenir. J’aime l’extravagant, Les étudiants de ce mois de mai à Paris, Qui parlaient avec le sentiment, aimaient avec l’esprit, Et cultivaient un cœur conscient. Qui rêve de voler vers Mars ou ailleurs, Qui joue son propre rôle ici, Donne un sens à sa douleur, Qui de courage s’emplit De sa vie est l’auteur. À qui donne sans demander, Qui ne s’est pas rendu, Qui lutte et qui vit Et à qui s'est déjà perdu, L’espoir est infini. Pour qui a donné et jamais pris, Pour qui n’a jamais fléchi, Pour qui cherche de tout cœur À être un peu meilleur, Il existe une espérance infinie : Qui s’appelle la vie. |