Derrière chaque fenêtre
Les visages se cachent
Tout le monde est venu
Voir passer l'homme qui marche
Vu d'ici ça parait tellement facile
On dirait qu'il est tenu par des fils
Il en est tellement venu
Des gens de toutes sortes
Depuis longtemps déjà
On n'ouvre plus les portes
Respirer, c'est toute une histoire
Tellement l'air est mauvais
Sur les trottoirs
Regardez bien: c'est le dernier
Nous on marchait avant
C'était y'a longtemps
C'est presque oublié
J'aimerais bien l'aider mais
C'est le dernier...
Entre les voitures qui sautent
Et les avions qui tombent
Il pourra chercher longtemps
Quelqu'un qui lui réponde
Il appelle, mais on n'ouvrira pas
On s'est tous fait piéger au moins une fois
Regardez bien: c'est le dernier
Nous on marchait avant
C'était y'a longtemps
C'est presque oublié
J'aimerais bien l'aider mais
C'est le dernier...
Il marche entre les nuages de gaz et de poussière
Il laisse à chaque pas comme des taches de lumière
Ça fait des images par terre...
Au prochain coin de rue
L'homme va disparaître
On va rester longtemps
Le nez à nos fenêtres
A se dire qu'on est bien dans nos maisons
Entre les grilles de fer des aérations...
Les visages se cachent
Tout le monde est venu
Voir passer l'homme qui marche
Vu d'ici ça parait tellement facile
On dirait qu'il est tenu par des fils
Il en est tellement venu
Des gens de toutes sortes
Depuis longtemps déjà
On n'ouvre plus les portes
Respirer, c'est toute une histoire
Tellement l'air est mauvais
Sur les trottoirs
Regardez bien: c'est le dernier
Nous on marchait avant
C'était y'a longtemps
C'est presque oublié
J'aimerais bien l'aider mais
C'est le dernier...
Entre les voitures qui sautent
Et les avions qui tombent
Il pourra chercher longtemps
Quelqu'un qui lui réponde
Il appelle, mais on n'ouvrira pas
On s'est tous fait piéger au moins une fois
Regardez bien: c'est le dernier
Nous on marchait avant
C'était y'a longtemps
C'est presque oublié
J'aimerais bien l'aider mais
C'est le dernier...
Il marche entre les nuages de gaz et de poussière
Il laisse à chaque pas comme des taches de lumière
Ça fait des images par terre...
Au prochain coin de rue
L'homme va disparaître
On va rester longtemps
Le nez à nos fenêtres
A se dire qu'on est bien dans nos maisons
Entre les grilles de fer des aérations...
inviata da Alessandro - 11/5/2009 - 20:48
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Album "Photos de voyages"
"L'uomo che marcia ci chiama, ma non apriremo...
Tutti ci siamo fatti fregare almeno una volta...
Un tempo anche noi abbiamo marciato...
E' stato molto tempo fa, quasi dimenticato...
Ora non apriamo più le porte all'uomo che marcia...
Al prossimo angolo di strada quell'uomo che marcia,
fra nuvole di gas e polvere, fra auto che esplodono e aerei che cadono, scomparirà..."
Speriamo davvero che un giorno "l'uomo che marcia" scompaia per sempre alla nostra vista e non faccia più ritorno...
Questa è la mia personale interpretazione della canzone di Cabrel.