Noi, ladri e tagliagole, straccioni senzadio
orchi moderni di periferia
girovaghi bugiardi, malvisti in ogni dove
capaci, a sentir dire, di qualsiasi porcheria
noi, maghi e saltimbanchi, profughi cialtroni
noi antica razza di bastardi e musicisti
legati a una bandiera chiamata libertà
e alle nostre canzoni quando siamo tristi
noi fiori sulla strada
noi, gocce di rugiada
figli del vento, siamo figli del vento, noi siamo i figli del vento
figli del vento, siamo i figli del vento, noi come il vento
figli del vento, siamo figli del vento, noi siamo i figli del vento
figli del vento, siamo i figli del vento. hai mai provato a fermare il vento?
noi che abbiamo dissetato i campi della morte
agnelli sull'altare con il petto senza stelle
angeli caduti tra i rifiuti della storia
noi per cui è bastato il colore della pelle
noi che siam stranieri ovunque ci fermiamo
popolo di naufraghi per sorte e per natura
noi perseguitati senza esercito né patria
ma costretti a recitare il ruolo di chi fa paura
noi, fiori sulla strada
noi, gocce di rugiada
flgli del vento, siamo figli del vento. noi siamo i figli del vento
figli del vento, siamo i figli del vento, noi come il vento
figli del vento, siamo figli del vento, no! siamo i figli del vento
figli del vento, siamo i figli del vento, hai mai provato a fermare il vento?
orchi moderni di periferia
girovaghi bugiardi, malvisti in ogni dove
capaci, a sentir dire, di qualsiasi porcheria
noi, maghi e saltimbanchi, profughi cialtroni
noi antica razza di bastardi e musicisti
legati a una bandiera chiamata libertà
e alle nostre canzoni quando siamo tristi
noi fiori sulla strada
noi, gocce di rugiada
figli del vento, siamo figli del vento, noi siamo i figli del vento
figli del vento, siamo i figli del vento, noi come il vento
figli del vento, siamo figli del vento, noi siamo i figli del vento
figli del vento, siamo i figli del vento. hai mai provato a fermare il vento?
noi che abbiamo dissetato i campi della morte
agnelli sull'altare con il petto senza stelle
angeli caduti tra i rifiuti della storia
noi per cui è bastato il colore della pelle
noi che siam stranieri ovunque ci fermiamo
popolo di naufraghi per sorte e per natura
noi perseguitati senza esercito né patria
ma costretti a recitare il ruolo di chi fa paura
noi, fiori sulla strada
noi, gocce di rugiada
flgli del vento, siamo figli del vento. noi siamo i figli del vento
figli del vento, siamo i figli del vento, noi come il vento
figli del vento, siamo figli del vento, no! siamo i figli del vento
figli del vento, siamo i figli del vento, hai mai provato a fermare il vento?
inviata da DonQuijote82 - 15/4/2009 - 21:00
Lingua: Francese
Version française – Fils du vent – Marco Valdo M.I. – 2009
Chanson italienne – Figli del Vento – Modena City Ramblers – 2009
Une chanson dédiée au peuple Rom, lié par un drapeau appelé liberté. Sans armée ni patrie, mais éternellement contraint à jouer le rôle de « qui fait peur ».
Chanson italienne – Figli del Vento – Modena City Ramblers – 2009
Une chanson dédiée au peuple Rom, lié par un drapeau appelé liberté. Sans armée ni patrie, mais éternellement contraint à jouer le rôle de « qui fait peur ».
FILS DU VENT
Nous autres, voleurs et coupe-gorges, haillons sans dieu
Orques modernes de faubourg
Vagabonds menteurs, mal vus partout,
Capables, dit-on, de n'importe quelle saloperie.
Nous, mages et saltimbanques, réfugiés malotrus
Nous ancienne race de bâtards, de musiciens
Liés à un une bannière appelée liberté
Et à nos chansons quand nous sommes tristes.
Nous, fleurs de rue !
Nous, gouttes de rosée !
Fils du vent, nous sommes fils du vent, nous, nous sommes fils du vent
Fils du vent, nous sommes fils du vent, nous sommes comme le vent.
Fils du vent, nous sommes fils du vent, nous nous sommes fils du vent.
Fils du vent, nous sommes fils du vent, as-tu déjà essayé d'arrêter le vent ?
Nous qui avons abreuvé les camps de la mort,
Agneaux sur l'autel avec notre poitrine sans étoile
Anges tombés au milieu des rebuts de l'histoire
Nous pour qui a suffi la couleur de la peau
Nous qui sommes étrangers où que nous nous arrêtions
Peuple de naufragés par destin et par nature
Nous persécutés sans armée et sans patrie
Mais contraints à jouer le rôle de celui qui fait peur.
Nous, fleurs de rue !
Nous, gouttes de rosée !
Fils du vent, nous sommes fils du vent, nous, nous sommes fils du vent
Fils du vent, nous sommes fils du vent, nous sommes comme le vent.
Fils du vent, nous sommes fils du vent, nous nous sommes fils du vent.
Fils du vent, nous sommes fils du vent, as-tu déjà essayé d'arrêter le vent ?
Nous autres, voleurs et coupe-gorges, haillons sans dieu
Orques modernes de faubourg
Vagabonds menteurs, mal vus partout,
Capables, dit-on, de n'importe quelle saloperie.
Nous, mages et saltimbanques, réfugiés malotrus
Nous ancienne race de bâtards, de musiciens
Liés à un une bannière appelée liberté
Et à nos chansons quand nous sommes tristes.
Nous, fleurs de rue !
Nous, gouttes de rosée !
Fils du vent, nous sommes fils du vent, nous, nous sommes fils du vent
Fils du vent, nous sommes fils du vent, nous sommes comme le vent.
Fils du vent, nous sommes fils du vent, nous nous sommes fils du vent.
Fils du vent, nous sommes fils du vent, as-tu déjà essayé d'arrêter le vent ?
Nous qui avons abreuvé les camps de la mort,
Agneaux sur l'autel avec notre poitrine sans étoile
Anges tombés au milieu des rebuts de l'histoire
Nous pour qui a suffi la couleur de la peau
Nous qui sommes étrangers où que nous nous arrêtions
Peuple de naufragés par destin et par nature
Nous persécutés sans armée et sans patrie
Mais contraints à jouer le rôle de celui qui fait peur.
Nous, fleurs de rue !
Nous, gouttes de rosée !
Fils du vent, nous sommes fils du vent, nous, nous sommes fils du vent
Fils du vent, nous sommes fils du vent, nous sommes comme le vent.
Fils du vent, nous sommes fils du vent, nous nous sommes fils du vent.
Fils du vent, nous sommes fils du vent, as-tu déjà essayé d'arrêter le vent ?
inviata da Marco Valdo M.I. - 23/4/2009 - 21:57
×
[2009]
Album: Onda libera
Una canzone dedicata al popolo Rom, legato ad un unica bandiera, quella chiamata libertà. Senza esercito né patria, ma eternamente costretto a recitare il ruolo di “chi fa paura”.