Dans l’écran, le chaos est devenu spectacle.
Partout, c’est la misère, les cris et la débâcle.
Les charognards commentent et nourrissent leur une,
d’aucuns se satisfont sans retenue aucune.
Tandis qu’un peuple crève en info continue,
des experts défilent et toute honte bue.
Les chaînes se repaissent de leurs chiffres d’audience,
l’aubaine parfois se paie au prix de l’indécence.
C’était un joli nom, Palestine.
Palestine, avant qu’on l’assassine.
C’était un joli nom, Palestine,
Palestine, avant qu’ils l’assassinent.
Le commerce des armes tranquillement va bon train.
Le libre-échange marche comme jamais, tout va bien.
Le cynisme et la guerre engrossent la finance,
et les fous au pouvoir exercent leur démence.
Les tyrans sont légion et peuvent dormir tranquilles,
ils négocient les morts en diplomates habiles.
Ceux qui hier encore scandaient “Plus jamais ça”
tempèrent leurs propos pour leur électorat.
C’était un joli nom, Palestine.
Palestine, avant qu’on l’assassine.
C’est un joli nom, Palestine.
Palestine, avant qu’ils l’assassinent.
Et cet enfant qui hurle sous le soleil d’Orient,
peu de chance que son cri s’entende en Occident.
Et cet enfant qui hurle sous le soleil d’Orient,
se fera-t-il entendre ?
C’était un joli nom, Palestine,
Palestine, avant qu’on l’assassine.
C’était un joli nom, Palestine,
Palestine, avant qu’ils l’assassinent.
L’Orient perd ses moyens, l’Occident est à l’ouest.
Il n’y a pas de divin dans les discours funestes.
Comment, pour qui, pourquoi ? Que peut-on faire encore
pour ne plus être là à dénombrer les morts ?
Quand s’étend la gangrène de la haine qui suppure,
refusons la bêtise, refusons ce futur.
Nous sommes vingt et cent, nous sommes des milliers
à dire que cette guerre, ils nous l’ont déclarée.
C’était un joli nom, Palestine.
Palestine, avant qu’on l’assassine.
C’était un joli nom, Palestine.
Palestine, avant qu’ils l’assassinent.
Un jour viendra peut-être — du moins je veux le croire —,
que ce jour fera naître dans cet enfant l’espoir.
Ce jour viendra peut-être — du moins je veux le croire — :
ce jour fera naître dans cet enfant l’espoir.
C’était un joli nom, Palestine.
Palestine, avant qu’on l’assassine.
C’est un joli nom, Palestine.
Palestine, avant qu’ils l’assassinent.
Palestine… avant qu’ils l’assassinent.
Partout, c’est la misère, les cris et la débâcle.
Les charognards commentent et nourrissent leur une,
d’aucuns se satisfont sans retenue aucune.
Tandis qu’un peuple crève en info continue,
des experts défilent et toute honte bue.
Les chaînes se repaissent de leurs chiffres d’audience,
l’aubaine parfois se paie au prix de l’indécence.
C’était un joli nom, Palestine.
Palestine, avant qu’on l’assassine.
C’était un joli nom, Palestine,
Palestine, avant qu’ils l’assassinent.
Le commerce des armes tranquillement va bon train.
Le libre-échange marche comme jamais, tout va bien.
Le cynisme et la guerre engrossent la finance,
et les fous au pouvoir exercent leur démence.
Les tyrans sont légion et peuvent dormir tranquilles,
ils négocient les morts en diplomates habiles.
Ceux qui hier encore scandaient “Plus jamais ça”
tempèrent leurs propos pour leur électorat.
C’était un joli nom, Palestine.
Palestine, avant qu’on l’assassine.
C’est un joli nom, Palestine.
Palestine, avant qu’ils l’assassinent.
Et cet enfant qui hurle sous le soleil d’Orient,
peu de chance que son cri s’entende en Occident.
Et cet enfant qui hurle sous le soleil d’Orient,
se fera-t-il entendre ?
C’était un joli nom, Palestine,
Palestine, avant qu’on l’assassine.
C’était un joli nom, Palestine,
Palestine, avant qu’ils l’assassinent.
L’Orient perd ses moyens, l’Occident est à l’ouest.
Il n’y a pas de divin dans les discours funestes.
Comment, pour qui, pourquoi ? Que peut-on faire encore
pour ne plus être là à dénombrer les morts ?
Quand s’étend la gangrène de la haine qui suppure,
refusons la bêtise, refusons ce futur.
Nous sommes vingt et cent, nous sommes des milliers
à dire que cette guerre, ils nous l’ont déclarée.
C’était un joli nom, Palestine.
Palestine, avant qu’on l’assassine.
C’était un joli nom, Palestine.
Palestine, avant qu’ils l’assassinent.
Un jour viendra peut-être — du moins je veux le croire —,
que ce jour fera naître dans cet enfant l’espoir.
Ce jour viendra peut-être — du moins je veux le croire — :
ce jour fera naître dans cet enfant l’espoir.
C’était un joli nom, Palestine.
Palestine, avant qu’on l’assassine.
C’est un joli nom, Palestine.
Palestine, avant qu’ils l’assassinent.
Palestine… avant qu’ils l’assassinent.
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