Album: Naracauli e altre storie (1978)
Le porte dei giardini sono chiuse,
l'inverno ha le sue nevi da portare
e se nel cuore canta una canzone
fa che un'armonica la suoni piano piano,
fa che un'armonica la suoni piano piano.
Così un giorno conoscevo una ragazza
con i capelli neri lunghi lunghi lunghi,
lunghi silenzi nei suoi occhi larghi,
penso al suo seno e penso alle sue mani,
penso al suo seno e penso alle sue mani.
Madri no, non è cambiato niente,
padri no, non è servito a niente,
anche una volta si scappava via,
quanti di voi su quelle navi bianche,
quanti di voi l'America nel cuore,
quanti di voi adesso sono stanchi.
Pure le autostrade sono piene,
i sacchi in spalla e via "Mi di un passaggio",
i santi libri ed un educazione
non riusciranno a farli ritornare,
non riusciranno a farli ritornare.
E sono loro che han distrutto tutto,
tutti i principi su cui lo Stato, la famiglia e Dio
ed io no so se riuscirò a mangiare,
dov'è finito il buon samaritano,
dov'è finito il buon samaritano.
E adesso che la colpa è un po' di tutti,
gli assistenti sociali ed i dottori,
con gli psichiatri e con gl'educatori,
tengon monologhi sulla diversità,
parlano seri di caratteriali
e perché no anche un po' di criminali.
Le porte dei giardini hanno riaperto,
l'estate a fiori e stelle da portare
e se nel cuore canta una canzone,
fa che una bocca la racconti agl'altri,
fa che una bocca la racconti agl'altri.
Così un giorno conoscevo una ragazza
con i capelli neri lunghi lunghi lunghi,
lunghi silenzi nei suoi occhi larghi,
penso al suo seno e penso alle sue mani,
penso al suo seno e penso alle sue mani.
l'inverno ha le sue nevi da portare
e se nel cuore canta una canzone
fa che un'armonica la suoni piano piano,
fa che un'armonica la suoni piano piano.
Così un giorno conoscevo una ragazza
con i capelli neri lunghi lunghi lunghi,
lunghi silenzi nei suoi occhi larghi,
penso al suo seno e penso alle sue mani,
penso al suo seno e penso alle sue mani.
Madri no, non è cambiato niente,
padri no, non è servito a niente,
anche una volta si scappava via,
quanti di voi su quelle navi bianche,
quanti di voi l'America nel cuore,
quanti di voi adesso sono stanchi.
Pure le autostrade sono piene,
i sacchi in spalla e via "Mi di un passaggio",
i santi libri ed un educazione
non riusciranno a farli ritornare,
non riusciranno a farli ritornare.
E sono loro che han distrutto tutto,
tutti i principi su cui lo Stato, la famiglia e Dio
ed io no so se riuscirò a mangiare,
dov'è finito il buon samaritano,
dov'è finito il buon samaritano.
E adesso che la colpa è un po' di tutti,
gli assistenti sociali ed i dottori,
con gli psichiatri e con gl'educatori,
tengon monologhi sulla diversità,
parlano seri di caratteriali
e perché no anche un po' di criminali.
Le porte dei giardini hanno riaperto,
l'estate a fiori e stelle da portare
e se nel cuore canta una canzone,
fa che una bocca la racconti agl'altri,
fa che una bocca la racconti agl'altri.
Così un giorno conoscevo una ragazza
con i capelli neri lunghi lunghi lunghi,
lunghi silenzi nei suoi occhi larghi,
penso al suo seno e penso alle sue mani,
penso al suo seno e penso alle sue mani.
inviata da Dq82 - 7/3/2024 - 18:23
Lingua: Francese
Version française - REBECCA (UN JEU DE SOCIÉTÉ) – Marco Valdo M.I. - 2024
Chanson italienne - Rebecca (Un Gioco Di Società) – Nomadi - 1978
Chanson italienne - Rebecca (Un Gioco Di Società) – Nomadi - 1978
REBECCA (UN JEU DE SOCIÉTÉ)
Les portes des jardins sont fermées,
Les neiges de l’hiver sont bientôt arrivées.
Si dans le cœur, une chanson va chantant,
Qu'un harmonica la joue doucement,
Qu'un harmonica la joue doucement.
Un jour, je rencontre une fille, fille, fille
Avec des cheveux noirs longs, longs, longs ;
Dans ses grands yeux brillent, brillent, brillent
De longs silences, longs, longs, longs.
Je pense à ses seins, je pense à ses mains,
Je pense à ses seins, je pense à ses mains.
Les mères non, rien n'a changé,
Les pères non, à rien, ça n’a servi
Tant qu’à la fin, on s’est enfui.
Et tant sur ces bateaux blancs,
L'Amérique au cœur, ont fui.
Tant d'entre vous sont fatigués maintenant.
Même les autoroutes sont remplies,
Les sacs à épaule, en stop, ils s’enfuient.
Les livres saints et l'éducation,
À les faire revenir, jamais ne parviendront ;
À les faire revenir, jamais ne réussiront.
Ceux qui ont tout détruit, ce sont eux :
Tous ces principes de l'État, la famille et Dieu.
Moi, je ne sais pas si je pourrai manger,
Où donc le bon samaritain est-il allé ?
Où donc le bon samaritain est-il allé ?
Maintenant, de la faute tous sont chargés.
Les assistants sociaux et les docteurs,
Les psychiatres et les éducateurs,
Font des monologues sur la diversité,
Parlent sérieusement de caractériels
Et même aussi un peu de criminels.
Les portes des jardins ont rouvert l’été ;
L'été, ses fleurs et ses étoiles à apporter
Et si le cœur d’une chanson est enchanté
Qu'une bouche la raconte aux autres,
Qu'une bouche la raconte aux autres.
Un jour, je rencontre une fille, fille, fille
Avec des cheveux noirs longs, longs, longs ;
Dans ses grands yeux brillent, brillent, brillent
De longs silences, longs, longs, longs.
Je pense à ses seins, je pense à ses mains,
Je pense à ses seins, je pense à ses mains.
Les portes des jardins sont fermées,
Les neiges de l’hiver sont bientôt arrivées.
Si dans le cœur, une chanson va chantant,
Qu'un harmonica la joue doucement,
Qu'un harmonica la joue doucement.
Un jour, je rencontre une fille, fille, fille
Avec des cheveux noirs longs, longs, longs ;
Dans ses grands yeux brillent, brillent, brillent
De longs silences, longs, longs, longs.
Je pense à ses seins, je pense à ses mains,
Je pense à ses seins, je pense à ses mains.
Les mères non, rien n'a changé,
Les pères non, à rien, ça n’a servi
Tant qu’à la fin, on s’est enfui.
Et tant sur ces bateaux blancs,
L'Amérique au cœur, ont fui.
Tant d'entre vous sont fatigués maintenant.
Même les autoroutes sont remplies,
Les sacs à épaule, en stop, ils s’enfuient.
Les livres saints et l'éducation,
À les faire revenir, jamais ne parviendront ;
À les faire revenir, jamais ne réussiront.
Ceux qui ont tout détruit, ce sont eux :
Tous ces principes de l'État, la famille et Dieu.
Moi, je ne sais pas si je pourrai manger,
Où donc le bon samaritain est-il allé ?
Où donc le bon samaritain est-il allé ?
Maintenant, de la faute tous sont chargés.
Les assistants sociaux et les docteurs,
Les psychiatres et les éducateurs,
Font des monologues sur la diversité,
Parlent sérieusement de caractériels
Et même aussi un peu de criminels.
Les portes des jardins ont rouvert l’été ;
L'été, ses fleurs et ses étoiles à apporter
Et si le cœur d’une chanson est enchanté
Qu'une bouche la raconte aux autres,
Qu'une bouche la raconte aux autres.
Un jour, je rencontre une fille, fille, fille
Avec des cheveux noirs longs, longs, longs ;
Dans ses grands yeux brillent, brillent, brillent
De longs silences, longs, longs, longs.
Je pense à ses seins, je pense à ses mains,
Je pense à ses seins, je pense à ses mains.
inviata da Marco Valdo M.I. - 10/3/2024 - 11:13
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