Figli della strada abbandonati
a un destino inutile
cuori calpestati vuoti a perdere
della solitudine
vendono sorrisi e corpi nudi
cercano speranze tra i rifiuti
ridono pensando a un’altra vita
i bambini di Bombay
Angeli cresciuti troppo in fretta
senza ali senza età
vittime del dio della vendetta
prigionieri in libertà
dormono nel buio delle stazioni
sognano la vita degli attori
danzano all’arrivo della pioggia
i bambini di Bombay
Anime in branco rifiuti del mondo
caduti dal cielo nel fango
figli di un unico padre “Grande Anima”
Occhi di pianto traditi dal mondo
sorrisi improvvisi nel vento
figli di un’unica madre sempre gravida
Orfani d’amore vagabondi
sporchi di felicità
ladri di coraggio derubati
della loro libertà
perdono per strada l’innocenza
sognano città della speranza
sulle labbra l’ultima canzone
I bambini di Bombay
Anime in branco rifiuti del mondo
caduti dal cielo nel fango
figli di un unico padre “Grande Anima”
Occhi di pianto traditi dal mondo
sorrisi improvvisi nel vento
figli di un’unica madre sempre gravida
Quando la morte vestita di bianco
li vede brillare nel fango
riempie le mani di sogni e in alto li libera.
a un destino inutile
cuori calpestati vuoti a perdere
della solitudine
vendono sorrisi e corpi nudi
cercano speranze tra i rifiuti
ridono pensando a un’altra vita
i bambini di Bombay
Angeli cresciuti troppo in fretta
senza ali senza età
vittime del dio della vendetta
prigionieri in libertà
dormono nel buio delle stazioni
sognano la vita degli attori
danzano all’arrivo della pioggia
i bambini di Bombay
Anime in branco rifiuti del mondo
caduti dal cielo nel fango
figli di un unico padre “Grande Anima”
Occhi di pianto traditi dal mondo
sorrisi improvvisi nel vento
figli di un’unica madre sempre gravida
Orfani d’amore vagabondi
sporchi di felicità
ladri di coraggio derubati
della loro libertà
perdono per strada l’innocenza
sognano città della speranza
sulle labbra l’ultima canzone
I bambini di Bombay
Anime in branco rifiuti del mondo
caduti dal cielo nel fango
figli di un unico padre “Grande Anima”
Occhi di pianto traditi dal mondo
sorrisi improvvisi nel vento
figli di un’unica madre sempre gravida
Quando la morte vestita di bianco
li vede brillare nel fango
riempie le mani di sogni e in alto li libera.
inviata da Dq82 - 24/10/2023 - 17:14
Lingua: Francese
Version française – LES ENFANTS DE MUMBAÏ (romance sans musique) – Marco Valdo M.I. - 2023
Chanson italienne - I bambini di Mumbaï - Kaballà - 1996
Chanson italienne - I bambini di Mumbaï - Kaballà - 1996
LES ENFANTS DE MUMBAÏ
Les enfants de la rue abandonnés
À un destin inutile,
Leurs cœurs vides et piétinés
Par la solitude de la ville
Vendent leurs corps nus et sourient.
Cherchant l'espoir dans les déchetteries,
Les enfants de Mumbaï rient
En pensant à une autre vie.
Sans ailes et sans âge,
Ils grandissent trop vite, anges
Victimes du dieu de la vengeance
Libres en cage,
À l’obscur des gares, ils s’endorment.
D’une vie de acteur, ils rêvent
Et dansent sous la pluie de l’été,
Les enfants de Mumbaï.
Déchets du monde, troupeau d’âmes
Tombées du ciel dans la vase,
Enfants d'un seul père "Grande Âme",
Enfants d'une seule mère toujours grosse
Trahis par le monde, leurs yeux en pleurs
Dans le vent, soudain sourient aux fleurs.
Orphelins d'amour errants
Au bonheur hésitant,
Voleurs de courage dérobé
À leur liberté,
Dans la rue, ils perdent l’innocence
Et rêvent de villes d'espérance.
Sur leurs lèvres, la chanson défaille
Enfants de Mumbaï
Déchets du monde, troupeau d’âmes
Tombées du ciel dans la vase,
Enfants d'un seul père "Grande Âme",
Enfants d'une seule mère toujours grosse
Trahis par le monde, leurs yeux en pleurs
Dans le vent, soudain sourient aux fleurs.
Quand la mort de blanc vêtue
Les voit tomber dans la boue des rues,
Elle remplit leurs mains de rêves
Et les enlève.
Les enfants de la rue abandonnés
À un destin inutile,
Leurs cœurs vides et piétinés
Par la solitude de la ville
Vendent leurs corps nus et sourient.
Cherchant l'espoir dans les déchetteries,
Les enfants de Mumbaï rient
En pensant à une autre vie.
Sans ailes et sans âge,
Ils grandissent trop vite, anges
Victimes du dieu de la vengeance
Libres en cage,
À l’obscur des gares, ils s’endorment.
D’une vie de acteur, ils rêvent
Et dansent sous la pluie de l’été,
Les enfants de Mumbaï.
Déchets du monde, troupeau d’âmes
Tombées du ciel dans la vase,
Enfants d'un seul père "Grande Âme",
Enfants d'une seule mère toujours grosse
Trahis par le monde, leurs yeux en pleurs
Dans le vent, soudain sourient aux fleurs.
Orphelins d'amour errants
Au bonheur hésitant,
Voleurs de courage dérobé
À leur liberté,
Dans la rue, ils perdent l’innocence
Et rêvent de villes d'espérance.
Sur leurs lèvres, la chanson défaille
Enfants de Mumbaï
Déchets du monde, troupeau d’âmes
Tombées du ciel dans la vase,
Enfants d'un seul père "Grande Âme",
Enfants d'une seule mère toujours grosse
Trahis par le monde, leurs yeux en pleurs
Dans le vent, soudain sourient aux fleurs.
Quand la mort de blanc vêtue
Les voit tomber dans la boue des rues,
Elle remplit leurs mains de rêves
Et les enlève.
inviata da M - 25/10/2023 - 17:31
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