Mentre prendiamo questo caffè
E io ti guardo le tette dalla canottiera
Chissà là fuori che stanno facendo
Stanno inventando una nuova tortura
Ma tu sorridi, non te ne frega
Mentre mi lecco qualche ferita
Tu lecchi quella cioccolata
Che ti ha sporcato un poco le dita
Chiara prendi la valigia
Scappiamo via da questo mondo
Dove pensano tutti uguale
E nessuno pensa molto
Lo conferma pure il cielo
Sempre grigio, di Milano
Chiara mettiti le scarpe dai
Fai presto che ce ne andiamo
La storia è sempre la stessa
Andiamo a lavarci i denti
Perché nel mondo ci sta sempre almeno un pazzo
Che si diverte con i bombardamenti
E ci riempiono di informazioni
Che non ci informano mai di niente
Il Dalai Lama ha ordinato i fucili
Da un'azienda statunitense
Chiara prendi la valigia
Scappiamo via da questo mondo
Dove pensano tutti uguale
E nessuno pensa molto
Lo conferma pure il cielo
Sempre grigio, di Milano
Chiara mettiti le scarpe dai
Fai presto che ce ne andiamo
Chiara prendi la valigia
Scappiamo via da questo mondo
Dove pensano tutti uguale
E nessuno pensa molto
Sei bella, dai non ti truccare
Scappiamo senza salutare
I marziani ci stanno aspettando
Corri che parte l'astronave
Corri, corri, dai che fai sempre tardi
Corri, corri, dai che fai sempre tardi
E io ti guardo le tette dalla canottiera
Chissà là fuori che stanno facendo
Stanno inventando una nuova tortura
Ma tu sorridi, non te ne frega
Mentre mi lecco qualche ferita
Tu lecchi quella cioccolata
Che ti ha sporcato un poco le dita
Chiara prendi la valigia
Scappiamo via da questo mondo
Dove pensano tutti uguale
E nessuno pensa molto
Lo conferma pure il cielo
Sempre grigio, di Milano
Chiara mettiti le scarpe dai
Fai presto che ce ne andiamo
La storia è sempre la stessa
Andiamo a lavarci i denti
Perché nel mondo ci sta sempre almeno un pazzo
Che si diverte con i bombardamenti
E ci riempiono di informazioni
Che non ci informano mai di niente
Il Dalai Lama ha ordinato i fucili
Da un'azienda statunitense
Chiara prendi la valigia
Scappiamo via da questo mondo
Dove pensano tutti uguale
E nessuno pensa molto
Lo conferma pure il cielo
Sempre grigio, di Milano
Chiara mettiti le scarpe dai
Fai presto che ce ne andiamo
Chiara prendi la valigia
Scappiamo via da questo mondo
Dove pensano tutti uguale
E nessuno pensa molto
Sei bella, dai non ti truccare
Scappiamo senza salutare
I marziani ci stanno aspettando
Corri che parte l'astronave
Corri, corri, dai che fai sempre tardi
Corri, corri, dai che fai sempre tardi
Lingua: Francese
Version française — FUYONS, CLARA ! — Marco Valdo M.I. — 2023
Chanson italienne — Clara scappiamo — Management del Dolore Post-operatorio — 2019
Chanson italienne — Clara scappiamo — Management del Dolore Post-operatorio — 2019
LE CIEL DE MILAN
Giuseppe Riva — 1890 ca.
Giuseppe Riva — 1890 ca.
Clara scappiamo — Fuyons, Clara ! est une chanson très triste, car elle comporte deux aspects. Un aspect est celui d’un amour intime, à la maison pour ainsi dire, mais entouré d’un monde extérieur très laid, où quelqu’un invente la torture, quelqu’un d’autre attend comme d’habitude le bon moment pour lancer une bombe… Même le Dalaï Lama a acheté des canons, il n’y a donc aucun espoir !
Le seul espoir est donc d’aller sur une autre planète, et ces voyages vers d’autres planètes sont tous répertoriés. Nous attendons en effet les Martiens, mais quel est le problème ? J’y ai pensé après… le problème est que cette personne perd aussi du temps, nous risquons de rater le vaisseau qui nous mènera au salut… parce que nous pensons au maquillage, à nous habiller, à nous préparer, aux choses de ce monde (rires).
Nous risquons également de manquer la chance de nous sauver parce que nous devons peut-être prendre un selfie d’abord, vous savez… le selfie avec les extraterrestres.
Le seul espoir est donc d’aller sur une autre planète, et ces voyages vers d’autres planètes sont tous répertoriés. Nous attendons en effet les Martiens, mais quel est le problème ? J’y ai pensé après… le problème est que cette personne perd aussi du temps, nous risquons de rater le vaisseau qui nous mènera au salut… parce que nous pensons au maquillage, à nous habiller, à nous préparer, aux choses de ce monde (rires).
Nous risquons également de manquer la chance de nous sauver parce que nous devons peut-être prendre un selfie d’abord, vous savez… le selfie avec les extraterrestres.
FUYONS, CLARA !
Nous prenons le café,
Je regarde tes seins dans l’échancrure.
Ce que ces gens font là-bas ? On le sait :
Ils inventent une nouvelle torture.
Tu souris, tu ne t’en soucies pas.
Je lèche ma blessure,
Tu reliches le chocolat
Qui salit un peu tes doigts.
Clara, monte dans l’appareil !
Fuyons ce monde où
Les gens pensent tous pareil,
Où personne ne pense beaucoup.
Même le ciel toujours gris
Au-dessus de Milan, le dit.
Mets tes chaussures, Clara.
Dépêche-toi, on s’en va.
Brossons-nous les dents.
L’histoire est encore féconde,
Il y a toujours un fou dans le monde,
Qui se délecte des bombardements.
On nous bourre d’informations
Qui n’ont rien de certain :
Le Dalaï Lama commande des canons
À un consortium américain.
Clara, monte dans l’appareil !
Fuyons ce monde où
Les gens pensent tous pareil,
Où personne ne pense beaucoup.
Même le ciel toujours gris
Au-dessus de Milan, le dit.
Mets tes chaussures, Clara.
Dépêche-toi, on s’en va.
Clara, monte dans l’appareil !
Fuyons ce monde où
Les gens pensent tous pareil,
Où personne ne pense beaucoup.
Tu es belle, ne va pas te maquiller !
Partons sans rien saluer !
Les Martiens sont sur le départ ;
Cours, car le vaisseau part.
Cours, cours, tu es en retard.
Cours, cours, tu es en retard.
Nous prenons le café,
Je regarde tes seins dans l’échancrure.
Ce que ces gens font là-bas ? On le sait :
Ils inventent une nouvelle torture.
Tu souris, tu ne t’en soucies pas.
Je lèche ma blessure,
Tu reliches le chocolat
Qui salit un peu tes doigts.
Clara, monte dans l’appareil !
Fuyons ce monde où
Les gens pensent tous pareil,
Où personne ne pense beaucoup.
Même le ciel toujours gris
Au-dessus de Milan, le dit.
Mets tes chaussures, Clara.
Dépêche-toi, on s’en va.
Brossons-nous les dents.
L’histoire est encore féconde,
Il y a toujours un fou dans le monde,
Qui se délecte des bombardements.
On nous bourre d’informations
Qui n’ont rien de certain :
Le Dalaï Lama commande des canons
À un consortium américain.
Clara, monte dans l’appareil !
Fuyons ce monde où
Les gens pensent tous pareil,
Où personne ne pense beaucoup.
Même le ciel toujours gris
Au-dessus de Milan, le dit.
Mets tes chaussures, Clara.
Dépêche-toi, on s’en va.
Clara, monte dans l’appareil !
Fuyons ce monde où
Les gens pensent tous pareil,
Où personne ne pense beaucoup.
Tu es belle, ne va pas te maquiller !
Partons sans rien saluer !
Les Martiens sont sur le départ ;
Cours, car le vaisseau part.
Cours, cours, tu es en retard.
Cours, cours, tu es en retard.
inviata da Marco Valdo M.I. - 14/2/2023 - 19:03
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Album: Sumo (con il nome Management)
Allora l’unica speranza è andare su un altro pianeta, e questi viaggi per altri pianeti sono presenti in un po’ tutto il disco. Stiamo appunto aspettando i marziani, ma qual è il problema? Ci ho riflettuto dopo…il problema è che questa persona sta anche perdendo tempo, rischiamo di perdere la navicella che ci porterà alla salvezza… perché stiamo pensando al trucco, a vestirci, a prepararci, alle cose di questo mondo (risate ndr).
Rischiamo anche di perdere la possibilità di salvarci perché magari dobbiamo fare un selfie prima, capito…il selfie con gli alieni.
Intervista Management - Non recidere, forbice, quel volto