Nous que la guerre
A exilés
Sommes tous frères
Meurtris, trompés
Mais l'on espère
En l'avenir
Le jour qui doit venir.
Le plus beau de tous les instants du monde
C'est celui où d'ici l'on partira,
Et partout, à mille lieues à la ronde
Notre joie dans le ciel retentira.
Car tout l'espoir dont nos cœurs sont emplis
Jaillira en un immense cri
Dont nous saluerons le si beau jour
Du Retour
Le plus beau de tous les instants du monde
C'est celui où d'ici l'on partira.
Car l'espérance
Est notre lot
Et vers la France
Au ciel si beau
Nos cœurs s'élancent
D'un seul amour
Confiants dans le retour.
A exilés
Sommes tous frères
Meurtris, trompés
Mais l'on espère
En l'avenir
Le jour qui doit venir.
Le plus beau de tous les instants du monde
C'est celui où d'ici l'on partira,
Et partout, à mille lieues à la ronde
Notre joie dans le ciel retentira.
Car tout l'espoir dont nos cœurs sont emplis
Jaillira en un immense cri
Dont nous saluerons le si beau jour
Du Retour
Le plus beau de tous les instants du monde
C'est celui où d'ici l'on partira.
Car l'espérance
Est notre lot
Et vers la France
Au ciel si beau
Nos cœurs s'élancent
D'un seul amour
Confiants dans le retour.
inviata da Bernart Bartleby - 5/2/2018 - 08:25
×
Versi di Marius Bailly, soldato francese prigioniero dei tedeschi prima nello Stalag di Rowen a Rumbske (oggi Równo a Rumsko) e poi nello Stalag II B di Hammerstein (oggi Czarne), campi che sorgevano entrambi in Pomerania, Polonia, non lontani da Danzica.
Sulla melodia de “Le plus beau tango du monde”, canzone da operetta del 1935.
Testo trovato su questo sito dedicato allo Stalag II B