Une citerne de larmes posée sur mon coeur
Je ravale l’eau de mes yeux en silence
Des mots servent de cage
Parfois même c’est d’une seule lettre que nous sommes prisonniers
Ils ont transformé les chiffres en numéros de dossier
Et notre amour en un combat haletant
Le lieu de naissance n’est pas conforme
La régularité du passeport n’est pas reconnue
La validité du titre de séjour est expiré
Ils déversent leurs exigences comme un pétrole qui pollue notre océan
Et nous étouffons au pied des murs de leurs preoccupations
Pourtant je ne connais de frontières que celles de mon corps
Je voudrais vivre blottie contre sa poitrine
ma seule patrie
Vivre libre de l’enlacer quand son regard me touche.
Vivre libre de l’aimer”
Je ravale l’eau de mes yeux en silence
Des mots servent de cage
Parfois même c’est d’une seule lettre que nous sommes prisonniers
Ils ont transformé les chiffres en numéros de dossier
Et notre amour en un combat haletant
Le lieu de naissance n’est pas conforme
La régularité du passeport n’est pas reconnue
La validité du titre de séjour est expiré
Ils déversent leurs exigences comme un pétrole qui pollue notre océan
Et nous étouffons au pied des murs de leurs preoccupations
Pourtant je ne connais de frontières que celles de mon corps
Je voudrais vivre blottie contre sa poitrine
ma seule patrie
Vivre libre de l’enlacer quand son regard me touche.
Vivre libre de l’aimer”
inviata da dq82 - 28/6/2015 - 17:20
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Naïssam Jalal & Rhythms of Resistance – Osloob Hayati
“Frontières”, una toccante poesia di Naïssam, recitata dalla stessa artista su una base di bordoni di flauto ed effetti percussivi. Il testo racconta storie di amori separati dalla burocratica disumanità