Quand la mort cognera chez moi,
Qu'il fasse doux, qu'il fasse froid,
Il faudra bien que je m'endorme.
J'n'éviterais pas le coup de faux
En lui disant j'ai mal au dos,
Pour mourir je n'tiens pas la forme.
J'prendrai la chose du bon côté
Et jusqu'au bout je chanterai
En glissant les clés sous la porte.
Je m'en vais ou je m'en va,
Car les deux se disent je crois.
Je m'en vais ou je m'en va,
Pour ce voyage un aller simple suffira.
Je n'prétends pas quitter la vie
Assis tranquillement sur mon lit
Sans regret et sans amertume.
Je n'dirai pas sous mon matelas
C'est bourré d'or, je ne veux pas
L'avoir amassé pour des prunes.
Combien de mains ai-je écrasées,
Combien de gens ai-je humiliés,
Pour dormir sur cette fortune ?
Je m'en vais ou je m'en va,
Car les deux se disent je crois.
Je m'en vais ou je m'en va,
Pour ce voyage un aller simple suffira.
Si je devais faire un bilan
J'dirais j'n'ai jamais versé l'sang,
Je n'aimais pas le bruit des bottes.
Je n'ai pas l'âme de ces héros
Qui partent le dimanche très tôt
Tirer tout c'qui bouge et sifflote.
Je m'en vais ou je m'en va,
Car les deux se disent je crois.
Je m'en vais ou je m'en va,
Pour ce voyage un aller simple suffira.
Je ne crois pas au paradis
Mais si là-bas on trouve aussi
Des champs d'lavande, des marguerites,
Quelques girolles, du vin vieilli
Que l'on pourra boire entre amis,
L'éternité passera plus vite.
Je m'en vais ou je m'en va,
Car les deux se disent je crois.
Je m'en vais ou je m'en va,
Pour ce voyage un aller simple suffira.
Je m'en vais ou je m'en va,
Car les deux se disent je crois.
Je m'en vais ou je m'en va,
Pour ce voyage un aller simple suffira...
Qu'il fasse doux, qu'il fasse froid,
Il faudra bien que je m'endorme.
J'n'éviterais pas le coup de faux
En lui disant j'ai mal au dos,
Pour mourir je n'tiens pas la forme.
J'prendrai la chose du bon côté
Et jusqu'au bout je chanterai
En glissant les clés sous la porte.
Je m'en vais ou je m'en va,
Car les deux se disent je crois.
Je m'en vais ou je m'en va,
Pour ce voyage un aller simple suffira.
Je n'prétends pas quitter la vie
Assis tranquillement sur mon lit
Sans regret et sans amertume.
Je n'dirai pas sous mon matelas
C'est bourré d'or, je ne veux pas
L'avoir amassé pour des prunes.
Combien de mains ai-je écrasées,
Combien de gens ai-je humiliés,
Pour dormir sur cette fortune ?
Je m'en vais ou je m'en va,
Car les deux se disent je crois.
Je m'en vais ou je m'en va,
Pour ce voyage un aller simple suffira.
Si je devais faire un bilan
J'dirais j'n'ai jamais versé l'sang,
Je n'aimais pas le bruit des bottes.
Je n'ai pas l'âme de ces héros
Qui partent le dimanche très tôt
Tirer tout c'qui bouge et sifflote.
Je m'en vais ou je m'en va,
Car les deux se disent je crois.
Je m'en vais ou je m'en va,
Pour ce voyage un aller simple suffira.
Je ne crois pas au paradis
Mais si là-bas on trouve aussi
Des champs d'lavande, des marguerites,
Quelques girolles, du vin vieilli
Que l'on pourra boire entre amis,
L'éternité passera plus vite.
Je m'en vais ou je m'en va,
Car les deux se disent je crois.
Je m'en vais ou je m'en va,
Pour ce voyage un aller simple suffira.
Je m'en vais ou je m'en va,
Car les deux se disent je crois.
Je m'en vais ou je m'en va,
Pour ce voyage un aller simple suffira...
inviata da Bernart Bartleby - 10/1/2015 - 14:01
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Singolo poi incluso nell’album intitolato “Derrière le rideau”
Se dovessi fare un bilancio della mia vita, potrei dire di non aver mai versato del sangue, di non aver mai amato il rumore degli stivali in marcia, di non aver mai avuto lo spirito di queegli "eroi" che partono la domenica presto per sparare a tutto quello che si muove e cinguetta...