Mein name ist Stroop, durch zwei ‘o’.
Vername: Jürgen. Ich bin Generalleutnant.
Enchanté, monsieur.
Da bambino dicevo la preghiere
con babbo e mamma, prima di ogni pasto.
Da grande avrei voluto fare il pompiere,
poi ho trovato un impiego al catasto.
(Da bambino dicevo le preghiere).
Mein name ist Stroop, durch zwei ‘o’.
Vername: Jürgen. Ich bin Generalleutnant.
Enchanté, monsieur.
Mi piacciono lo jodel e i cavalli.
Sul mio berretto porto un edelweiss.
Son ghiotto di canederli. La mia fede
e negli dèi germanici, e nel Reich
(Mi piacciono lo jodel e i cavalli).
Mein name ist Stroop, durch zwei ‘o’.
Vername: Jürgen. Ich bin Generalleutnant.
Enchanté, monsieur.
E’ dimostrato scientificamente:
gli ebrei non hanno il senso dell’onore.
Hanno due mani, un naso, denti e pensieri,
ma non sono però uomini veri.
(E’ dimostrato scientificamente).
Mein name ist Stroop, durch zwei ‘o’.
Vername: Jürgen. Ich bin Generalleutnant.
Enchanté, monsieur.
Vername: Jürgen. Ich bin Generalleutnant.
Enchanté, monsieur.
Da bambino dicevo la preghiere
con babbo e mamma, prima di ogni pasto.
Da grande avrei voluto fare il pompiere,
poi ho trovato un impiego al catasto.
(Da bambino dicevo le preghiere).
Mein name ist Stroop, durch zwei ‘o’.
Vername: Jürgen. Ich bin Generalleutnant.
Enchanté, monsieur.
Mi piacciono lo jodel e i cavalli.
Sul mio berretto porto un edelweiss.
Son ghiotto di canederli. La mia fede
e negli dèi germanici, e nel Reich
(Mi piacciono lo jodel e i cavalli).
Mein name ist Stroop, durch zwei ‘o’.
Vername: Jürgen. Ich bin Generalleutnant.
Enchanté, monsieur.
E’ dimostrato scientificamente:
gli ebrei non hanno il senso dell’onore.
Hanno due mani, un naso, denti e pensieri,
ma non sono però uomini veri.
(E’ dimostrato scientificamente).
Mein name ist Stroop, durch zwei ‘o’.
Vername: Jürgen. Ich bin Generalleutnant.
Enchanté, monsieur.
inviata da Bernart Bartleby - 23/3/2014 - 12:13
Lingua: Francese
Version française – MON NOM EST STROOP, AVEC DEUX « O » – Marco Valdo M.I. – 2014
Chanson italienne – Mein name ist Stroop, durch zwei ‘o’ – Stormy Six – 2013
Écrite par Umberto Fiori et Tommaso Leddi des Stormy Six
Du spectacle “Benvenuti nel ghetto” (Bienvenue au ghetto) créé par le groupe avec Moni Ovadia, à l'occasion des 70 ans de l'insurrection du ghetto de Varsovie.
« Pourtant est-ce peut-être là où quelqu'un résiste sans espoir que commence l'histoire humaine, comme nous l'appelons, et la beauté de l'homme. » Yannis Ritsos/Γιάννης Ρίτσος, fragment de « Ελένη », 1970.
Entre avril et mai 1943 les Juifs du ghetto de Varsovie — hommes et femmes, vieillards et enfants — se rebellèrent face à la violence des SS et leur tinrent tête, armes la main, pendant presque un mois. Il s'agit du premier épisode de résistance armée contre les nazis ; un épisode d'autant plus significatif que les protagonistes — dans des conditions désespérées d’infériorité militaire et presque total isolement — en furent les victimes désignées de la persécution raciste et du génocide, les « sous-hommes sans honneur » et que les troupes de Hitler s'attendaient seulement à de la lâcheté et de la soumission. Les onze chansons du disque, écrites à l'occasion de l'anniversaire, évoquent le historique épisode sous divers angles.
À la figure lumineuse de Mordechai Anielèwicz s'oppose celle, à la fois terne et horrible, du bourreau de Varsovie, Jürgen Stroop (son nom de baptême était Josef, mais il l'avait changé parce que « ça faisait Juif »). Le refrain de la chanson qui lui est consacrée (« MON NOM EST STROOP, AVEC DEUX « O ») c'est son auto-présentation, telle qu'elle est rapportée dans le livre « Conversations avec le bourreau », où après la libération, son voisin de cellule, Kazimierz Moczarski,un Polonais, transcrivit les inquiétantes déclarations du tortionnaire (les strophes de la chanson sont tirées du même livre).
Le 19 avril 1943, les Juifs affamés et mal armés affrontèrent les troupes allemandes entrées dans le ghetto, en les accueillant à coups de pistolets, de fusils et de mitrailleuses et en les bombardant de cocktails Molotov, réussissant finalement à les repousser.
Repoussé, Stroop (qui disposait de 2.000hommes) décida d'affronter la situation en incendiant et en faisant sauter au moyen d'explosifs chaque immeuble à l'intérieur du ghetto, pour forcer les révoltés à sortir à découvert. Il mit immédiatement en œuvre ses intentions, en commençant à raser méticuleusement chaque bâtiment pour capturer ou tuer ceux qui, asphyxiés par la fumée, sortaient des immeubles en flammes. Le destin des prisonniers fut la déportation et l'extermination immédiate au camp de Treblinka.
Le 16 mai 1943, Stroop, après avoir étouffé la rébellion dans le sang la rébellion fit sauter la grande synagogue de Varsovie pour fêter la fin victorieuse de l'opération. Dans son rapport télégraphique quotidien à son supérieur le Ss-Obergruppenführer Friedrich Wilhelm Krüger, commandant de la SS et de la police du Gouvernorat Général, Stroop écrivit, exultant :
« Aujourd’hui, ont été éliminés 180 Juifs, terroristes et sous-hommes. Ce qui était le ghetto juif de Varsovie n'existe plus. La Grosse Aktion ( Grande Action, terme usité par les Allemands pour nommer les opérations dans le ghetto) s'est achevée à 20 h 15 en faisant exploser la grande synagogue de Varsovie. Le nombre total de Juifs se monte à 56.065 incluant ceux qui ont été capturés et ceux dont on peut prouver l'extermination. »
Dans les jours suivants, Stroop rédigea pour Himmler un long rapport de 75 pages intitulé « Es gibt keinen jüdischen Wohnbezirk in Warschau mehr! » - « Le ghetto de Varsovie n'existe plus », relatant les opérations et accompagné d'un album photographique de 49 images de la destruction du ghetto. Ce rapport et les photos furent utilisés lors du procès de Nuremberg pour montrer les atrocités commises à l'encontre des Juifs. L'album photographique fut réalisé en trois copies (une pour Himmler, une pour Krüger et une pour Stroop lui-même) par le photographe qui suivait les troupes allemandes et mis en page avec des légendes explicatives. Les photographies qu'il contient figurent parmi les plus significatives et les plus connues de l'Holocauste.
Jürgen Stroop fut capturé par les Américains en mai 1945. Poursuivi pour l'assassinat de prisonniers étazuniens, il fut condamné à mort ; ensuite, on l'extrada en Pologne. Là, il connut un nouveau procès pour les atrocités commises à Varsovie et à d'autres occasions. Stroop fut finalement pendu à Varsovie le 6 mars 1952. Le gibet fut dressé sur les ruines du ghetto.
Chanson italienne – Mein name ist Stroop, durch zwei ‘o’ – Stormy Six – 2013
Écrite par Umberto Fiori et Tommaso Leddi des Stormy Six
Du spectacle “Benvenuti nel ghetto” (Bienvenue au ghetto) créé par le groupe avec Moni Ovadia, à l'occasion des 70 ans de l'insurrection du ghetto de Varsovie.
« Pourtant est-ce peut-être là où quelqu'un résiste sans espoir que commence l'histoire humaine, comme nous l'appelons, et la beauté de l'homme. » Yannis Ritsos/Γιάννης Ρίτσος, fragment de « Ελένη », 1970.
Entre avril et mai 1943 les Juifs du ghetto de Varsovie — hommes et femmes, vieillards et enfants — se rebellèrent face à la violence des SS et leur tinrent tête, armes la main, pendant presque un mois. Il s'agit du premier épisode de résistance armée contre les nazis ; un épisode d'autant plus significatif que les protagonistes — dans des conditions désespérées d’infériorité militaire et presque total isolement — en furent les victimes désignées de la persécution raciste et du génocide, les « sous-hommes sans honneur » et que les troupes de Hitler s'attendaient seulement à de la lâcheté et de la soumission. Les onze chansons du disque, écrites à l'occasion de l'anniversaire, évoquent le historique épisode sous divers angles.
À la figure lumineuse de Mordechai Anielèwicz s'oppose celle, à la fois terne et horrible, du bourreau de Varsovie, Jürgen Stroop (son nom de baptême était Josef, mais il l'avait changé parce que « ça faisait Juif »). Le refrain de la chanson qui lui est consacrée (« MON NOM EST STROOP, AVEC DEUX « O ») c'est son auto-présentation, telle qu'elle est rapportée dans le livre « Conversations avec le bourreau », où après la libération, son voisin de cellule, Kazimierz Moczarski,un Polonais, transcrivit les inquiétantes déclarations du tortionnaire (les strophes de la chanson sont tirées du même livre).
Le 19 avril 1943, les Juifs affamés et mal armés affrontèrent les troupes allemandes entrées dans le ghetto, en les accueillant à coups de pistolets, de fusils et de mitrailleuses et en les bombardant de cocktails Molotov, réussissant finalement à les repousser.
Repoussé, Stroop (qui disposait de 2.000hommes) décida d'affronter la situation en incendiant et en faisant sauter au moyen d'explosifs chaque immeuble à l'intérieur du ghetto, pour forcer les révoltés à sortir à découvert. Il mit immédiatement en œuvre ses intentions, en commençant à raser méticuleusement chaque bâtiment pour capturer ou tuer ceux qui, asphyxiés par la fumée, sortaient des immeubles en flammes. Le destin des prisonniers fut la déportation et l'extermination immédiate au camp de Treblinka.
Le 16 mai 1943, Stroop, après avoir étouffé la rébellion dans le sang la rébellion fit sauter la grande synagogue de Varsovie pour fêter la fin victorieuse de l'opération. Dans son rapport télégraphique quotidien à son supérieur le Ss-Obergruppenführer Friedrich Wilhelm Krüger, commandant de la SS et de la police du Gouvernorat Général, Stroop écrivit, exultant :
« Aujourd’hui, ont été éliminés 180 Juifs, terroristes et sous-hommes. Ce qui était le ghetto juif de Varsovie n'existe plus. La Grosse Aktion ( Grande Action, terme usité par les Allemands pour nommer les opérations dans le ghetto) s'est achevée à 20 h 15 en faisant exploser la grande synagogue de Varsovie. Le nombre total de Juifs se monte à 56.065 incluant ceux qui ont été capturés et ceux dont on peut prouver l'extermination. »
Dans les jours suivants, Stroop rédigea pour Himmler un long rapport de 75 pages intitulé « Es gibt keinen jüdischen Wohnbezirk in Warschau mehr! » - « Le ghetto de Varsovie n'existe plus », relatant les opérations et accompagné d'un album photographique de 49 images de la destruction du ghetto. Ce rapport et les photos furent utilisés lors du procès de Nuremberg pour montrer les atrocités commises à l'encontre des Juifs. L'album photographique fut réalisé en trois copies (une pour Himmler, une pour Krüger et une pour Stroop lui-même) par le photographe qui suivait les troupes allemandes et mis en page avec des légendes explicatives. Les photographies qu'il contient figurent parmi les plus significatives et les plus connues de l'Holocauste.
Jürgen Stroop fut capturé par les Américains en mai 1945. Poursuivi pour l'assassinat de prisonniers étazuniens, il fut condamné à mort ; ensuite, on l'extrada en Pologne. Là, il connut un nouveau procès pour les atrocités commises à Varsovie et à d'autres occasions. Stroop fut finalement pendu à Varsovie le 6 mars 1952. Le gibet fut dressé sur les ruines du ghetto.
MON NOM EST STROOP, AVEC DEUX « O »
Mon nom est Stroop, avec deux « o ».
Prénom : Jürgen. Je suis général de corps d'armée.
Enchanté, monsieur.
Enfant, je disais mes prières, avant chaque repas.
Avec maman et papa
Grand, j'aurais voulu être pompier,
Finalement, je suis au cadastre, comme employé
(Enfant, je disais mes prières, avant chaque repas).
Mon nom est Stroop, avec deux « o ».
Prénom : Jürgen. Je suis général de corps d'armée.
Enchanté, monsieur.
J'aime les chevaux et le yodel
Sur mon béret, je porte un edelweiss.
Je suis gourmand de knödels.
Je crois aux dieux germains et au Reich
(J'aime les chevaux et le yodel).
Mon nom est Stroop, avec deux « o ».
Prénom : Jürgen. Je suis général de corps d'armée.
Enchanté, monsieur.
C'est démontré scientifiquement :
Les Juifs n'ont pas le sens de l'honneur.
Ils ont deux mains, un nez, des pensées et des dents,
Mais ce ne sont pas de vrais hommes. D'ailleurs
C'est démontré scientifiquement.
Mon nom est Stroop, avec deux « o ».
Prénom : Jürgen. Je suis général de corps d'armée.
Enchanté, monsieur.
Mon nom est Stroop, avec deux « o ».
Prénom : Jürgen. Je suis général de corps d'armée.
Enchanté, monsieur.
Enfant, je disais mes prières, avant chaque repas.
Avec maman et papa
Grand, j'aurais voulu être pompier,
Finalement, je suis au cadastre, comme employé
(Enfant, je disais mes prières, avant chaque repas).
Mon nom est Stroop, avec deux « o ».
Prénom : Jürgen. Je suis général de corps d'armée.
Enchanté, monsieur.
J'aime les chevaux et le yodel
Sur mon béret, je porte un edelweiss.
Je suis gourmand de knödels.
Je crois aux dieux germains et au Reich
(J'aime les chevaux et le yodel).
Mon nom est Stroop, avec deux « o ».
Prénom : Jürgen. Je suis général de corps d'armée.
Enchanté, monsieur.
C'est démontré scientifiquement :
Les Juifs n'ont pas le sens de l'honneur.
Ils ont deux mains, un nez, des pensées et des dents,
Mais ce ne sont pas de vrais hommes. D'ailleurs
C'est démontré scientifiquement.
Mon nom est Stroop, avec deux « o ».
Prénom : Jürgen. Je suis général de corps d'armée.
Enchanté, monsieur.
inviata da Marco Valdo M.I. - 29/3/2014 - 15:06
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[2013]
Scritta da Umberto Fiori e Tommaso Leddi degli Stormy Six
Dallo spettacolo “Benvenuti nel ghetto” realizzato dal gruppo insieme a Moni Ovadia, in occasione dei 70 anni dall’insurrezione del ghetto di Varsavia.
“Eppure - chissà - là dove qualcuno resiste senza speranza, è forse là che inizia la storia umana, come la chiamiamo, e la bellezza dell’uomo.” Yannis Ritsos / Γιάννης Ρίτσος, frammento da “Ελένη”, 1970.
Tra l’aprile e il maggio del 1943 gli ebrei del ghetto di Varsavia — uomini e donne, vecchi e bambini — si ribellavano alla violenza delle SS e tenevano loro testa, armi in pugno, per quasi un mese. Si tratta del primo episodio di resistenza armata contro i nazisti; un episodio tanto più significativo perché a esserne protagonisti — in condizioni di disperata inferiorità militare e di quasi totale isolamento — sono le vittime designate della persecuzione razzista e del genocidio, i "subumani senza onore" dai quali le truppe di Hitler si attendevano solo viltà e sottomissione. Le undici canzoni del disco, scritte in occasione dell’anniversario, rievocano lo storico episodio da diverse angolature.
1. Canzone del tempo e della memoria
2. Canto dei sarti ebrei della Wehrmacht
3. Devarìm (dal Deuteronomio)
4. Umschlagplatz
5. Benvenuti nel ghetto (Cocktail Molotov)
6. Mordechai Anielewicz
7. Mein name ist Stroop, durch zwei ‘o’
8. Viene un giorno (da Malachia)
9. Il sole sottoterra
10.Es gibt
11.Invocazione
Alla figura luminosa di Mordechai Anielèwicz si contrappone quella, insieme scialba e raccapricciante, del boia di Varsavia, Jürgen Stroop (il suo nome di battesimo era Josef, ma lo aveva cambiato perché "sapeva di giudeo"). Il ritornello della canzone a lui dedicata ("Mi chiamo Stroop, con due O.. . ") è la sua autopresentazione, cosi come viene riportata nel libro Conversazioni con il boia, dove un polacco suo compagno di cella dopo la liberazione, Kazimierz Moczarski, trascrive le inquietanti dichiarazioni dell’aguzzino (anche le strofe sono ricavate dallo stesso libro).
Vistosi respinto, Stroop (che disponeva di circa 2.000 uomini) decise di affrontare la situazione incendiando e facendo saltare mediante esplosivo ogni edificio all'interno del ghetto, per costringere i rivoltosi a uscire allo scoperto. Egli diede immediata attuazione ai suoi propositi, iniziando meticolosamente a radere al suolo ogni costruzione e catturando (o uccidendo) coloro che, asfissiati dal fumo, uscivano dai palazzi in fiamme. Il destino dei prigionieri era l'immediata deportazione e lo sterminio effettuato presso il campo di Treblinka.
Il 16 maggio 1943 Stroop, dopo aver soffocato nel sangue la ribellione, fece saltare in aria la sinagoga grande di Varsavia per festeggiare la conclusione della vittoriosa operazione. Nel quotidiano rapporto telegrafico inviato al suo superiore SS-Obergruppenführer Friedrich Wilhelm Krüger, comandante delle SS e della polizia del Governatorato Generale, Stroop scrisse esultante:
«Sono stati eliminati (ndt: oggi) 180 ebrei, banditi e subumani. Quello che era il quartiere ebraico di Varsavia non esiste più. La Grosse Aktion (ndt: grande azione, termine utilizzato dai tedeschi per descrivere le operazioni nel ghetto) è terminata alle ore 20:15 facendo esplodere la sinagoga di Varsavia. Il numero totale di ebrei dei quali ci si è occupati assomma a 56.065, includendo coloro che sono stati catturati e coloro dei quali può essere dimostrato lo sterminio.»
Nei giorni successivi Stroop compilò per Himmler un lungo rapporto di 75 pagine dal titolo “Es gibt keinen jüdischen Wohnbezirk in Warschau mehr!” (“Il ghetto di Varsavia non esiste più”) relativo alle operazioni svolte e coadiuvato da un album fotografico contenente 49 immagini della distruzione del ghetto. Il rapporto e le foto vennero utilizzati nel corso del processo di Norimberga per dimostrare le atrocità commesse nei confronti del popolo ebraico. L'album fotografico realizzato in 3 copie (per Himmler, Krüger e per lo stesso Stroop) da un fotografo tedesco al seguito delle truppe, e montato con una serie di didascalie esplicative per ogni immagine, contiene alcune delle fotografie più significative e conosciute dell'Olocausto. (da it.wikipedia)
Jürgen Stroop fu catturato dagli americani nel maggio del 1945. Processato per l’assassinio di alcuni prigionieri statunitensi, fu condannato a morte ma poi si preferì estradarlo in Polonia. Subìto un nuovo processo per le atrocità commesse a Varsavia e in altre occasioni, Stroop venne finalmente impiccato a Varsavia il 6 marzo del 1952. La forca fu allestita sulle rovine del ghetto.