Il n'y avait qu' deux mois, qu'elle vivait avec lui
Ils étaient très heureux, il était si gentil.
Un jour, il est rentré, et tout d' suite elle a vu
Qu’il avait un peu bu, le soir, il l’a battue.
oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh ....
A l'instant, il a dit: “Je suis deven-u fou!”
Il a dit: "Je t'aime tant, tu sais, je suis jaloux."
Il a dit: "Je n’ sais pas, je n' sais pas c' qui m'a pris
C'est la dernière fois, pardonne moi, je t'en prie."
Il était amoureux, il lui offrait des fleurs
Ils se sont mariés bien qu'elle eût un peu peur.
Mais il recommençait et disait chaque fois
“Je ne sais pas pourquoi, pourtant je n'aime que toi”
Ils ont eu trois enfants, nés en très peu de temps
Si elle l'aimait encore, elle le craignait pourtant
Quand il recommençait, il pensait maintenant
Elle ne partira pas, à cause des enfants.
Sous des lunettes noires, elle camouflait ses yeux
Et sous de grands foulards, elle camouflait ses bleus
Les voisins se doutaient, mais chacun se taisait
C'est une affaire de couple, on n'est pas concernés.
Un soir, elle s’est enfuie emmenant ses petits,
Sous la pluie, dans la nuit , recherchant d’un abri.
Elle a erré longtemps, à en perdre la raison.
“Faut qu’ j’ pense à mes enfants, que j’ rentre à la maison.”
Ne sachant où aller, elle s’en est revenue.
Cette fois, il lui a dit: “Si tu pars , je te tue!”
Elle se sentait perdue, comme un oiseau blessé
Et, sur elle, ce jour là, le piège s’est refermé.
J'ai appris aujourd'hui qu'elle est morte cette nuit,
Car une fois de plus, cette nuit, il l'a battue.
Pas plus fort qu' les autres fois, mais sa tête a porté
Sur le coin d'une table, sa vie s'est arrêtée.
Ils étaient très heureux, il était si gentil.
Un jour, il est rentré, et tout d' suite elle a vu
Qu’il avait un peu bu, le soir, il l’a battue.
oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh ....
A l'instant, il a dit: “Je suis deven-u fou!”
Il a dit: "Je t'aime tant, tu sais, je suis jaloux."
Il a dit: "Je n’ sais pas, je n' sais pas c' qui m'a pris
C'est la dernière fois, pardonne moi, je t'en prie."
Il était amoureux, il lui offrait des fleurs
Ils se sont mariés bien qu'elle eût un peu peur.
Mais il recommençait et disait chaque fois
“Je ne sais pas pourquoi, pourtant je n'aime que toi”
Ils ont eu trois enfants, nés en très peu de temps
Si elle l'aimait encore, elle le craignait pourtant
Quand il recommençait, il pensait maintenant
Elle ne partira pas, à cause des enfants.
Sous des lunettes noires, elle camouflait ses yeux
Et sous de grands foulards, elle camouflait ses bleus
Les voisins se doutaient, mais chacun se taisait
C'est une affaire de couple, on n'est pas concernés.
Un soir, elle s’est enfuie emmenant ses petits,
Sous la pluie, dans la nuit , recherchant d’un abri.
Elle a erré longtemps, à en perdre la raison.
“Faut qu’ j’ pense à mes enfants, que j’ rentre à la maison.”
Ne sachant où aller, elle s’en est revenue.
Cette fois, il lui a dit: “Si tu pars , je te tue!”
Elle se sentait perdue, comme un oiseau blessé
Et, sur elle, ce jour là, le piège s’est refermé.
J'ai appris aujourd'hui qu'elle est morte cette nuit,
Car une fois de plus, cette nuit, il l'a battue.
Pas plus fort qu' les autres fois, mais sa tête a porté
Sur le coin d'une table, sa vie s'est arrêtée.
inviata da Bernart Bartleby - 14/1/2014 - 13:23
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Nel disco intitolato “Mais qu'est-ce qu'elles veulent encore?”
Testo trovato su Ni putes, ni soumises