Je sais que nous pensons de même
Et posons les mêmes problèmes
Que nous nous battions à coté
Ou que nous soyons séparés
Que tous deux nous serrons les poings
De voir qu'un homme est licencié
Parce qu'il ose se révolter
Contre le petit chef qui l'opprime
Nous éprouvons la même haine
Contre l'ordre et l'autorité
Que les mômes dans les lycées
Qui luttent et se font matraquer
Parce qu'ils refusent l'enseignement
Qui prétend que la liberté
C'est leur avenir stérilisé
Dans la légalité bourgeoise
Nous ne pouvons pas nous taire
Quand un travailleur algérien
Se fait tabasser par les flics
Et insulter bien pire qu'un chien
Et qu'il faut pour que ça s'arrête
Qu'on soit des milliers dans la rue
Français immigrés tous unis
Pour que les flics s'en relèvent plus
Nous faisons partie toi et moi
De tous ces gens qui en ont marre
De s'éreinter à travailler
Au profit d'une minorité
HLM ou cité-dortoir
Foyer bidonville ou coron
Vous qui parlez du droit de vivre
Vous nous faites vivre en prison
Je sais que si nous nous aimons
A travers le même combat
C'est que nos révoltes sont sœurs
Et cogne en nous le même sang
Un sang qui bien sûr coulera
Versé pour la cause du peuple
Pour qu'un jour tous les travailleurs
S'unissent et prennent le pouvoir
Le pouvoir le pouvoir le pouvoir
Et posons les mêmes problèmes
Que nous nous battions à coté
Ou que nous soyons séparés
Que tous deux nous serrons les poings
De voir qu'un homme est licencié
Parce qu'il ose se révolter
Contre le petit chef qui l'opprime
Nous éprouvons la même haine
Contre l'ordre et l'autorité
Que les mômes dans les lycées
Qui luttent et se font matraquer
Parce qu'ils refusent l'enseignement
Qui prétend que la liberté
C'est leur avenir stérilisé
Dans la légalité bourgeoise
Nous ne pouvons pas nous taire
Quand un travailleur algérien
Se fait tabasser par les flics
Et insulter bien pire qu'un chien
Et qu'il faut pour que ça s'arrête
Qu'on soit des milliers dans la rue
Français immigrés tous unis
Pour que les flics s'en relèvent plus
Nous faisons partie toi et moi
De tous ces gens qui en ont marre
De s'éreinter à travailler
Au profit d'une minorité
HLM ou cité-dortoir
Foyer bidonville ou coron
Vous qui parlez du droit de vivre
Vous nous faites vivre en prison
Je sais que si nous nous aimons
A travers le même combat
C'est que nos révoltes sont sœurs
Et cogne en nous le même sang
Un sang qui bien sûr coulera
Versé pour la cause du peuple
Pour qu'un jour tous les travailleurs
S'unissent et prennent le pouvoir
Le pouvoir le pouvoir le pouvoir
inviata da Bernart - 22/8/2013 - 15:06
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Parole e musica di Dominique Grange.
Lato B del singolo “(Nous sommes) Les Nouveaux Partisans”
Canzone decisamente bruttarella (e la Grange era pure bella stonatella, a mio modesto avviso) ma pur sempre una testimonianza dell’epoca…