Binbir çileyle büyüttüm oğlumu
yemedim yedirdim bugüne getirdim
cesurdu mertti kaya gibi sertti
bir gün geldi ki vay... vurdular onu
“Beni kınama arkamdan ağlama
ne yaptıysam bil ki halkım için” derdi
aslan gibiydi sözünün eriydi
bir gün geldi ki vay... vurdular onu
Yaşlı gözlerle beklerdim yolunu
oğlum gider de ya dönmezse diye
göz bebeğimdi beni her şeyimdi
bir gün geldi ki vay... vurdular onu
Sabır taşından yaratılmış insan
güle güle oğlum kalanlar sağolsun
yaşı yirmiydi canımın içiydi
bir gün geldi ki vay... vurdular onu
Kurşun değildi top tüfek değildi
zulüm yılanıydı boğan oğlumu
bir can gitse de binler var geride
bir gün gelir ki hey... ezerler onu
yemedim yedirdim bugüne getirdim
cesurdu mertti kaya gibi sertti
bir gün geldi ki vay... vurdular onu
“Beni kınama arkamdan ağlama
ne yaptıysam bil ki halkım için” derdi
aslan gibiydi sözünün eriydi
bir gün geldi ki vay... vurdular onu
Yaşlı gözlerle beklerdim yolunu
oğlum gider de ya dönmezse diye
göz bebeğimdi beni her şeyimdi
bir gün geldi ki vay... vurdular onu
Sabır taşından yaratılmış insan
güle güle oğlum kalanlar sağolsun
yaşı yirmiydi canımın içiydi
bir gün geldi ki vay... vurdular onu
Kurşun değildi top tüfek değildi
zulüm yılanıydı boğan oğlumu
bir can gitse de binler var geride
bir gün gelir ki hey... ezerler onu
inviata da Bernart - 23/5/2013 - 21:41
Lingua: Francese
Traduzione francese di Gulalys da Lyrics Translate
ÉLÉGIE À MON FILS
Je l'ai élevé avec mille et une souffrances
Je l'ai nourri sans manger pour le mener jusqu'à aujourd'hui
Il était brave et courageux, dure comme la roche
Un jour venu ... on lui a tiré dessus
"Ne me condamne pas, ne pleure pas dernière moi
Quoi que j'ai fait c'était pour mon peuple" dit-il
Il était comme un lion, la fonte de sa parole [?]
Un jour venu ... on lui a tiré dessus
J'attendais sa route avec mes yeux qui se faisaient vieux
Mon fils partira et s'il ne revenait pas ?
Il était la prunelle de mes yeux, il était tout pour moi
Un jour venu ... on lui a tiré dessus
Homme formé par la pierre de la patience
Au revoir mon fils, merci à ceux qui restent
Il avait vingt ans, il était le coeur de mon être
Un jour venu ... on lui a tiré dessus
Ce n'était ni des balles ni des armes
C'était le serpent de l'oppression qui l'a étouffé
Même si un être meurt, il y en aura des milliers derrière
Un jour viendra où.... ils l'écraseront
Je l'ai élevé avec mille et une souffrances
Je l'ai nourri sans manger pour le mener jusqu'à aujourd'hui
Il était brave et courageux, dure comme la roche
Un jour venu ... on lui a tiré dessus
"Ne me condamne pas, ne pleure pas dernière moi
Quoi que j'ai fait c'était pour mon peuple" dit-il
Il était comme un lion, la fonte de sa parole [?]
Un jour venu ... on lui a tiré dessus
J'attendais sa route avec mes yeux qui se faisaient vieux
Mon fils partira et s'il ne revenait pas ?
Il était la prunelle de mes yeux, il était tout pour moi
Un jour venu ... on lui a tiré dessus
Homme formé par la pierre de la patience
Au revoir mon fils, merci à ceux qui restent
Il avait vingt ans, il était le coeur de mon être
Un jour venu ... on lui a tiré dessus
Ce n'était ni des balles ni des armes
C'était le serpent de l'oppression qui l'a étouffé
Même si un être meurt, il y en aura des milliers derrière
Un jour viendra où.... ils l'écraseront
inviata da Bernart - 23/5/2013 - 21:41
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Testo di anonimo
Musica di Mikis Theodorakis / Mίκης Θεοδωράκης (e credo proprio che sia quella di “Ο λεβέντης”... So che si traduce con “Il valoroso” solo perchè su Stixoi.info c’è lo zampino di uno dei pilastri dell’Ελληνικό Τμήμα των ΑΠΤ)
Interpretata dal Grup Yorum nel disco intitolato “Cemo”.