Ah ! Quelles belles soirées dans le Hot Club de France !
On était si joyeux comme dans le temps de l’enfance
En s’amusant avec le son qui flottait avec son élégance
Et on dansait en oubliant la tristesse de la guerre
Même dans le temps bien attristant de la guerre…
Et l’ennui le plus pénible on ne le trouvait guère !
Car notre magicien gitan jouait toujours malgré tout
Et il jouait courageux avec des bombes ou des sourires,
Et la lumière éblouissante ébranlait la douleur de nos cœurs
En souriant à travers le son d’une guitare pleine de douceur
C’était pendant les nuits avec Django et avec notre illusion
Quand on voyait le monde plus aimable et plein de chansons
On découvrit l’extase au milieu d’un univers de pauvreté
Où l’amusement ressemblait éternel grâce à ces beaux accords
Et grâce à cette fête de sourires, on oubliait le soupir des remords
Car la nuit était plus belle avec Django dans un endroit de pureté
Et les nuits avec Django étaient comme une grande étreinte d’espoir.
On découvrit le rythme puissant des chansons comme Minor Swing
Et le bonheur d’autres chansons comme l’innocente Douce ambiance
Ou les caresses rassurées des ballades lentes comme My Serenade…
Et l’amour couvrait toutes ces chansons d’une splendeur de Beauté
Mais on savait que tout cela pouvait finir un jour parce que tout finit
Et Django devint un peintre vieux qui reposait à Samois sur Seine
Mais les douces remembrances ne finiront jamais car notre espoir
Habite dans l’amour véritable de ces belles remembrances cachées
C’était pendant les nuits avec Django et avec notre illusion
Quand on voyait le monde plus aimable et plein de chansons
On découvrit l’extase au milieu d’un univers de pauvreté
Où l’amusement ressemblait tout éternel grâce à ces beaux accords
Et grâce à cette fête de sourires, on oubliait le soupir de nos remords
Car la nuit était plus belle avec Django dans un endroit de pureté
Et les nuits avec Django étaient comme une grande étreinte d’espoir.
Au milieu d’un monde qui n’aimait pas le beau bonheur de la vie…
Mais les nuits avec Django seront toujours les plus belles nuits
Et les longues nuits avec Django sont encore nos plus belles nuits!
On était si joyeux comme dans le temps de l’enfance
En s’amusant avec le son qui flottait avec son élégance
Et on dansait en oubliant la tristesse de la guerre
Même dans le temps bien attristant de la guerre…
Et l’ennui le plus pénible on ne le trouvait guère !
Car notre magicien gitan jouait toujours malgré tout
Et il jouait courageux avec des bombes ou des sourires,
Et la lumière éblouissante ébranlait la douleur de nos cœurs
En souriant à travers le son d’une guitare pleine de douceur
C’était pendant les nuits avec Django et avec notre illusion
Quand on voyait le monde plus aimable et plein de chansons
On découvrit l’extase au milieu d’un univers de pauvreté
Où l’amusement ressemblait éternel grâce à ces beaux accords
Et grâce à cette fête de sourires, on oubliait le soupir des remords
Car la nuit était plus belle avec Django dans un endroit de pureté
Et les nuits avec Django étaient comme une grande étreinte d’espoir.
On découvrit le rythme puissant des chansons comme Minor Swing
Et le bonheur d’autres chansons comme l’innocente Douce ambiance
Ou les caresses rassurées des ballades lentes comme My Serenade…
Et l’amour couvrait toutes ces chansons d’une splendeur de Beauté
Mais on savait que tout cela pouvait finir un jour parce que tout finit
Et Django devint un peintre vieux qui reposait à Samois sur Seine
Mais les douces remembrances ne finiront jamais car notre espoir
Habite dans l’amour véritable de ces belles remembrances cachées
C’était pendant les nuits avec Django et avec notre illusion
Quand on voyait le monde plus aimable et plein de chansons
On découvrit l’extase au milieu d’un univers de pauvreté
Où l’amusement ressemblait tout éternel grâce à ces beaux accords
Et grâce à cette fête de sourires, on oubliait le soupir de nos remords
Car la nuit était plus belle avec Django dans un endroit de pureté
Et les nuits avec Django étaient comme une grande étreinte d’espoir.
Au milieu d’un monde qui n’aimait pas le beau bonheur de la vie…
Mais les nuits avec Django seront toujours les plus belles nuits
Et les longues nuits avec Django sont encore nos plus belles nuits!
inviata da Carles Viadel - 16/9/2011 - 14:42
Lingua: Francese
LA MUSIQUE DE DJANGO
Ah ! Quelles belles soirées dans le Hot Club de France !
On était si joyeux comme dans le temps de l’enfance
En s’amusant avec le son qui flottait avec son élégance
Et on dansait en oubliant la tristesse de la guerre
Même dans le temps bien attristant de la guerre…
Car notre magicien gitan jouait toujours malgré tout
Et la lumière éblouissante ébranlait la douleur de nos cœurs
En souriant à travers le son d’une guitare pleine de douceur
C’était pendant les nuits avec Django et avec notre illusion
Quand on voyait le monde plus aimable et plein de chansons
Où l’amusement ressemblait éternel grâce à ces beaux accords
Et grâce à cette fête de sourires, on oubliait le soupir des remords
Et les nuits avec Django étaient comme une grande étreinte d’espoir.
Mais on savait que tout cela pouvait finir un jour parce que tout finit
Et Django devint un peintre vieux qui reposait à Samois sur Seine
Mais les douces remembrances ne finiront jamais
C’était pendant les nuits avec Django et avec notre illusion
Quand on voyait le monde plus aimable et plein de chansons
Où l’amusement ressemblait éternel grâce à ces beaux accords
Et grâce à cette fête de sourires, on oubliait le soupir des remords
Et les nuits avec Django étaient comme une grande étreinte d’espoir.
Ah ! Quelles belles soirées dans le Hot Club de France !
On était si joyeux comme dans le temps de l’enfance
En s’amusant avec le son qui flottait avec son élégance
Et on dansait en oubliant la tristesse de la guerre
Même dans le temps bien attristant de la guerre…
Car notre magicien gitan jouait toujours malgré tout
Et la lumière éblouissante ébranlait la douleur de nos cœurs
En souriant à travers le son d’une guitare pleine de douceur
C’était pendant les nuits avec Django et avec notre illusion
Quand on voyait le monde plus aimable et plein de chansons
Où l’amusement ressemblait éternel grâce à ces beaux accords
Et grâce à cette fête de sourires, on oubliait le soupir des remords
Et les nuits avec Django étaient comme une grande étreinte d’espoir.
Mais on savait que tout cela pouvait finir un jour parce que tout finit
Et Django devint un peintre vieux qui reposait à Samois sur Seine
Mais les douces remembrances ne finiront jamais
C’était pendant les nuits avec Django et avec notre illusion
Quand on voyait le monde plus aimable et plein de chansons
Où l’amusement ressemblait éternel grâce à ces beaux accords
Et grâce à cette fête de sourires, on oubliait le soupir des remords
Et les nuits avec Django étaient comme une grande étreinte d’espoir.
inviata da Carles Viadel - 9/7/2015 - 17:13
×
La musique de Django de Carles Viadel