Chorał z piekła dna
Traduzione tedesca reperita su Kazett - Lyrik, una ricerca del 2001 condotta da Sophie Luise Bauer.
In tedesco nel disco di AA. VV. dedicato ad Alexander Kulisiewicz e intitolato “Lieder aus der Hölle”
CHORAL AUS DER TIEFE DER HÖLLE
(Continues)
(Continues)
Contributed by Bernart Bartleby 2014/2/13 - 14:36
Der Gekreuzigte 1944
[1944]
Scritta da Alexander Kulisiewicz nel lager di Sachsenhausen
Originariamente in polacco, con il titolo “Ukrzyżowany 1944” (che non sono riuscito a reperire in Rete), l’autore ne compose anche una versione in francese, “Le crucifié”, firmandosi con lo pseudonimo di Alex Alicouli, dalle prime sillabe del suo nome e cognome.
Siccome nemmeno la versione in francese sono riuscito a trovare, contribuisco per il momento la traduzione tedesca reperita su Kazett - Lyrik, una ricerca del 2001 condotta da Sophie Luise Bauer.
In tedesco nel disco di AA. VV. dedicato ad Alexander Kulisiewicz e intitolato “Lieder aus der Hölle”
Scritta da Alexander Kulisiewicz nel lager di Sachsenhausen
Originariamente in polacco, con il titolo “Ukrzyżowany 1944” (che non sono riuscito a reperire in Rete), l’autore ne compose anche una versione in francese, “Le crucifié”, firmandosi con lo pseudonimo di Alex Alicouli, dalle prime sillabe del suo nome e cognome.
Siccome nemmeno la versione in francese sono riuscito a trovare, contribuisco per il momento la traduzione tedesca reperita su Kazett - Lyrik, una ricerca del 2001 condotta da Sophie Luise Bauer.
In tedesco nel disco di AA. VV. dedicato ad Alexander Kulisiewicz e intitolato “Lieder aus der Hölle”
Sie kreuzigten Menschen Söhnchen!
(Continues)
(Continues)
Contributed by Bernart Bartleby 2014/2/13 - 12:27
Song Itineraries:
Extermination camps
Konzentrak
Traduzione tedesca trovata su Kazett - Lyrik, una ricerca del 2001 condotta da Sophie Luise Bauer.
Kazett sta per Konzentrationslager, KZ, "K = ka" e "Z = zett"
Nel disco di AA. VV. dedicato ad Alexander Kulisiewicz e intitolato “Lieder aus der Hölle”
Nel disco di AA. VV. dedicato ad Alexander Kulisiewicz e intitolato “Lieder aus der Hölle”
DAS KAZETT
(Continues)
(Continues)
Contributed by Bernart Bartleby 2014/2/13 - 12:00
Holocaust Cantata: Songs From the Camps
[1999]
Cantata per coro misto (S.A.T.B), pianoforte e violoncello
Testi di canti e letture tratti in gran parte dall’archivio musicale “Aleksander Kulisiewicz” dell’United States Holocaust Memorial Museum (USHMM) di Washington, tradotti in inglese a cura di Marcin Zmudzki e Denny Clark. [Riporto solo le parti cantate perché non ho trovato le parti recitate complete, ndr]
Cantata per coro misto (S.A.T.B), pianoforte e violoncello
Testi di canti e letture tratti in gran parte dall’archivio musicale “Aleksander Kulisiewicz” dell’United States Holocaust Memorial Museum (USHMM) di Washington, tradotti in inglese a cura di Marcin Zmudzki e Denny Clark. [Riporto solo le parti cantate perché non ho trovato le parti recitate complete, ndr]
1. The Prisoner Rises
(Continues)
(Continues)
Contributed by Bartleby 2011/11/21 - 13:36
Song Itineraries:
Extermination camps
By including the last song, the transcription of what is maybe the most important album of songs originating from Nazist camps: Songs from the Depths of Hell, recorded by Aleksander Kulisiewicz (a survivor of German extermination camps) has come to an end. All this in the Day of Memory of January 27, never to forget any extermination, any past and current genocide.
Riccardo Venturi 2009/1/27 - 10:56
Dziesięć milionów
Version italienne – Dieci Millioni – Riccardo Venturi
d'une chanson en polonais d'Alex Kulisiewicz, elle-même traduite en anglais.
Aleksander Kulisiewicz (1918-1982) (dit Alex) était étudiant en droit dans la partie de la Pologne occupée par les Allemands quand, en octobre 1939, il fut dénoncé pour des écrits anti-fascistes, arrêté par la Gestapo et envoyé au camp de concentration de Sachsenhausen, près de Berlin. Chanteur amateur et chantauteur, Aleksander Kulisiewicz composa 54 chansons durant les près de six ans de son emprisonnement à Sachsenhausen. Après la libération, il se remémora ces chansons ainsi que celles apprises de camarades prisonniers, dictant des centaines de pages de textes à son infirmière polonaise.
Cette chanson fut écrite comme un hymne clandestin des camps de concentration vers la fin de 1944. Ni le camp où il fut écrit, ni l'auteur ne sont connus. À ce moment, il y avait bien plus de dix millions de personnes : hommes, femmes et enfants dans les camps en Europe.
d'une chanson en polonais d'Alex Kulisiewicz, elle-même traduite en anglais.
Aleksander Kulisiewicz (1918-1982) (dit Alex) était étudiant en droit dans la partie de la Pologne occupée par les Allemands quand, en octobre 1939, il fut dénoncé pour des écrits anti-fascistes, arrêté par la Gestapo et envoyé au camp de concentration de Sachsenhausen, près de Berlin. Chanteur amateur et chantauteur, Aleksander Kulisiewicz composa 54 chansons durant les près de six ans de son emprisonnement à Sachsenhausen. Après la libération, il se remémora ces chansons ainsi que celles apprises de camarades prisonniers, dictant des centaines de pages de textes à son infirmière polonaise.
Cette chanson fut écrite comme un hymne clandestin des camps de concentration vers la fin de 1944. Ni le camp où il fut écrit, ni l'auteur ne sont connus. À ce moment, il y avait bien plus de dix millions de personnes : hommes, femmes et enfants dans les camps en Europe.
DIX MILLIONS
(Continues)
(Continues)
Contributed by Marco Valdo M.I. 2009/1/20 - 17:48
Konzentrak
à partir de la version italienne de Riccardo Venturi.
D'une chanson polonaise d'Aleksander Kulisiewicz – 1942
Dans les camps de concentration nazis, de nombreux aristocrates, des généraux, des évêques et de hauts représentants des églises et des états se trouvèrent parmi les prisonniers. La satire a été écrite en 1942 au camp de Sachsenhausen (nord de Berlin). La chanson fut présentée au cours d'une rencontre clandestine à laquelle des personnes antérieurement éminentes (à ce moment, comme les autres prisonniers, habillés de la veste de prisonnier) furent invités – parmi elles le général hollandais Eugen van Strick.
D'une chanson polonaise d'Aleksander Kulisiewicz – 1942
Dans les camps de concentration nazis, de nombreux aristocrates, des généraux, des évêques et de hauts représentants des églises et des états se trouvèrent parmi les prisonniers. La satire a été écrite en 1942 au camp de Sachsenhausen (nord de Berlin). La chanson fut présentée au cours d'une rencontre clandestine à laquelle des personnes antérieurement éminentes (à ce moment, comme les autres prisonniers, habillés de la veste de prisonnier) furent invités – parmi elles le général hollandais Eugen van Strick.
LE CAMP
(Continues)
(Continues)
Contributed by Marco Valdo M.I. 2009/1/16 - 21:24
Szymon Ohm
Version française – Simon Ohm – Marco Valdo M.I. – 2009
à partir de la version italienne de Riccardo Venturi.
Chanson polonaise - Szymon Ohm - Aleksander Kulisiewicz
À la fin de 1939, Leszek N. (nom inconnu), le fils d'un riche fabricant varsovien, qui avant la guerre détestait les Juifs, tombe amoureux d'une jeune fille juive prénommée Rachel, du quartier le plus pauvre de Varsovie, Nalewki. Quand en 1940, tous les Juifs furent regroupés et confinés dans le ghetto, le jeune Polonais, à l'insu de son père, obtînt de faux papiers d'identité aryens pour Rachel et sa famille. Le résultat de cette fraude fut qu'il fut dénoncé et envoyé au camp de concentration de Sachsenhausen. Leszek avait une voix de baryton profonde et riche. Il chantait souvent pour ses amis une chanson basée sur une chanson populaire Yiddish « Simon Ohm », qu'il avait apprise avant sa captivité. En avril 1943, la rumeur... (Continues)
à partir de la version italienne de Riccardo Venturi.
Chanson polonaise - Szymon Ohm - Aleksander Kulisiewicz
À la fin de 1939, Leszek N. (nom inconnu), le fils d'un riche fabricant varsovien, qui avant la guerre détestait les Juifs, tombe amoureux d'une jeune fille juive prénommée Rachel, du quartier le plus pauvre de Varsovie, Nalewki. Quand en 1940, tous les Juifs furent regroupés et confinés dans le ghetto, le jeune Polonais, à l'insu de son père, obtînt de faux papiers d'identité aryens pour Rachel et sa famille. Le résultat de cette fraude fut qu'il fut dénoncé et envoyé au camp de concentration de Sachsenhausen. Leszek avait une voix de baryton profonde et riche. Il chantait souvent pour ses amis une chanson basée sur une chanson populaire Yiddish « Simon Ohm », qu'il avait apprise avant sa captivité. En avril 1943, la rumeur... (Continues)
SIMON OHM
(Continues)
(Continues)
Contributed by Marco Valdo M.I. 2009/1/15 - 13:07
×
Lyrics by Aleksander Kulisiewicz
Music: Jindřich Harapát (“Travička zelená”, 1936)
Sachsenhausen, 1941/43
Testo di Aleksander Kulisiewicz
Musica: Jindřich Harapát (“Travička zelená”, 1936)
As an antidote to despair over Hitler’s seemingly unstoppable war machine, the brazen and ribald “Germania!” proved extremely popular. Rather than risk performing the entire piece, prisoners took to singing aloud only the word “Germania” —ironically endearing the song to the SS guards who, Kulisiewicz reports, regretted that it did not have more lyrics. After Germany’s crushing defeat at Stalingrad in February, 1943, Kulisiewicz added the second verse, peforming it with exaggerated gestures so his non-Polish audience could scarcely miss his meaning. For example, the word “Germania” was sung while imitating a Hitler Parade March—knees raised high with a springing motion, face... (Continues)