Mury ("Murs") és una cançó protesta escrita pel polonès Jacek Kaczmarski el 1978, basada en la cançó de Lluís Llach L'estaca. Va esdevenir un símbol d'oposició al règim comunista de la Polònia dels anys 80. Els treballadors del sindicat Solidarność la van popularitzar en fer-la el seu himne.
Mury estava inspirada en els esdeveniments que succeïen a la Catalunya del 1978, que abandonava el franquisme, i especialment en L'Estaca de Lluís Llach, de qui agafa no sols la melodia sinó també la metàfora d'un poble que lluita contra un mur/estaca totpoderosa. La intenció de Kaczmarski era la de mostrar com una cançó podia ser 'furtada' al seu autor per unes masses que la farien seua, adaptant-la a la seua lluita, fins i tot si esta no era la intenció inicial de l'autor. En aquest context, es pot interpretar la cançó, per una banda, com una alabança a la lluita per la independència... (Continues)
GARAVENTA, IL CENTENARIO DELLA MORTE
Repubblica Online Genova, 10 dicembre 2017
La controversa figura del creatore della nave scuola
di MATTEO LO PRESTI
Retorica e storia non vanno mai d’accordo, la prima millanta la seconda spiega. Così è accaduto nell’aiuola di Corso Aurelio Saffi davanti al monumento del baffuto Nicolò Garaventa, di cui si sono voluti celebrare i cento anni della morte avvenuta a Masone nel 1917. Creatore di un’istituzione, la nave scuola, che porterà dal 1883 fino al 1977 il suo nome, in una parabola di degrado attraversata da mille polemiche. Professore di matematica al liceo Doria, genovese nato a Calcinara di Uscio nel 1848, famoso come filantropo, andava raccogliendo nelle zone più povere ragazzi disadattati per redimerli . Si racconta che oltre a parlare in “zeneise”, usasse il manico di un ombrello che agganciava al collo del malcapitato che voleva redimere.... (Continues)
Mio nonno Andrea Costa di Varsi (Parma) fatto prigioniero con il fratello Filiberto nella disfatta di Caporetto cantava un verso in più.
“Da Trento a Civita
ci sono gli imboscati,
Con le scarpe lucide
e i capelli profumati.
Bim bum bom
e la guera la fa i cujon
Bim bum bom
e la guera la fan da bon”
Très chers Marco Valdo et Lucien Lâne, en effet je prépare normalement des introductions assez complètes; mais, ce matin, on me l'a empêché pour des "raisons techniques". Ma connexion s'est arrêtée soudainement, elle a fait sais pas quoi, un "crash", un "boum", un "paff", un "merde", et elle n'est revenue que ce soir. Ça arrive. Je n'ai pas même pu corriger un peu ma traduction, il y avait des fautes d'ortographe et vous savez combien je tiens à la précision, même formale, de tout ce que j'écris. Bienheureusement, j'ai vu que mes fautes n'ont pas affecté votre traduction, parce que c'est une chanson importante, à mon avis. Je vais finalement préparer l'introduction que j'avais écrit déjà dans ma tête; comme d'habitude, j'ai beaucoup apprécié votre Dialogue Maïeutique, et j'espère que mon "introduction différée" va pouvoir répondre à vos questions. Salud!
Riccardo Venturi 2017/12/7 - 21:28
PS. Pour Marco Valdo et Lucien. En argot italien, "strafatto" ne signifie pas "égaré", mais plutôt "défoncé" de drogues, "plein à craquer" etc. C'est exactement le sens du grec φτιαγμένος, participe du verbe φτιάχνω "faire, fabriquer". PS2. L'introduction est faite.
Mille mercis de ton petit mot et je vais lire soigneusement ton commentaire et en donner une version française – sans trop d’écarts.
Cela dit, à première lecture, il recoupe assez ce que j’avais en tête à propos de cette canzone et de son auteur-interprète.
(Oh, Ventu, dit Lucien l’âne, j’aime beaucoup ce joli surnom qui évoque le vent du large, la voix des îles ou le grand air venu de la montagne).
J’ai bien noté la remarque à propos de « strafatto » et j’avais, en effet, bien perçu le sens que tu évoques « défoncé, enfoncé, etc ». J’avais d’ailleurs relevé ceci : Per estens., gerg., di persona che ha assunto sostanze stupefacenti in gran quantità: quel ragazzo è s. di ecstasy. Mais, j’ai préféré – sans doute parce que le sens d’ « égaré » (« éwaré » en wallon), c’est-à-dire « perdu » est plus vaste et moins plat, moins direct et donc, plus fort – faire comprendre plutôt... (Continues)
C'est parfait, alors (ps. "Ventu", c'est exactement le mot corse pour "vent", e tu sais que la Corse est juste en face de l'île d'Elbe, donc..."u ventu soffia"...)...! Merci encore à touldeux...!
Alcinoos Ioannidis est né à Nicosie le 19 septembre 1969, à savoir peu moins de cinq ans avant ce mois de juillet de 1974 qui vit l’éclatement de Chypre : l’« enosis » des groupes néofascistes chypriotes qui voulaient imposer l’unification avec la Grèce, le coup d’État contre l’archevêque Makarios, l’intervention turque qui brisa l’île en deux, la fin de la dictature en Grèce, les bombardements, les réfugiés, les milliers de victimes. Enfant, même si j’avais de toute façon plus du double de l’âge d’Alcinoos, je me rappelle ces événements comme si c’était hier ; sauf que je me souviens, enfant de onze ans, d’un été à l’Île d’Elbe, pendant qu’Alcinoos se rappelle le dessous une table, tandis que les bombardements ne provenaient pas de la télévision ou de la radio, mais du là-au-dessus dans le ciel, d’où descendaient ces beaux parachutes avec lequel son père tentait de l’étonner, de le faire... (Continues)
11 dicembre 2017 23:33
...poiché Milano è stata distrutta...