Vale la pena
Giulio WilsonOriginal | Version française – ÇA VAUT LA PEINE – Marco Valdo M.I. – 202... |
VALE LA PENA Vale, vale, vale la pena. Vale, vale, vale, vale la pena. Vale la pena non bruciare i tempi, Essere aperti ad accettare confronti, sussurrare piano la buonanotte sentirsi a casa pure da emigranti. Vale la pena respirar profundo, bajar corriendo una vieja colina, abrir un libro y descubrir un mundo y que tus sueños se hagan golondrinas. Ah, il tempo passa e poi va, fa divenire una anziana bambina, o diventare una bambina signora. Abbiamo dei sogni, sopra una stella cadente come vecchi bagagli, le nostre speranze, più dei difetti, quelli che non vorresti, non sempre tutto si può scegliere e costruire è meglio che distruggere. Vale la pena que se quiebren copas, si haces de tu camino una gran fiesta, vale la pena porque todo pasa y lo que queda se quedará. Ah, il tempo passa e poi va non rimanere degli anni in attesa vivi la vita e come una sorpresa. Abbiamo tutti dei sogni sopra una stella cadente come vecchi bagagli le nostre speranze donde guardamos dolores que nos empañan la risa porque el destino no se puede elegir y por delante hay un futuro que construir. Me gusta el que parece extravagante, los estudiantes de aquel mayo de París, diciendo lo que sienten, amando con la mente, cultivando un corazón consciente. Quien sueña con volar hasta Marte, o quien cumple desde aquí su parte, le dan un sentido a su dolor, quien se llena de valor y de su vida es el autor. Quien da sin pedir, quien no se ha rendido, quien vive la lucha y quien ya se ha perdido, la esperanza infinita. Per chi ha dato e mai preso, per chi non si è arreso, per chi sente il dovere di essere migliore. c'è una speranza infinita: si chiama vita. | ÇA VAUT LA PEINE Ça vaut la peine de cultiver les plantes, De courir sur des collines abruptes, D’ouvrir un livre, réfugié dans un grenier, De se sentir bien, même en minorité. Ça vaut vraiment la peine d’aimer, De lâcher prise et cultiver la patience, De marcher sans souci de la distance, De se sentir bien, même en minorité. Ah, le temps passe et puis s’en va, Il fait grandir l’enfant en une fois Puis, fait venir l’adulte tout droit. Ça vaut, ça vaut, ça vaut la peine. Ça vaut, ça vaut, ça vaut, ça vaut la peine. Nous avons tous fait des vœux Sur une étoile filante Comme des bagages trop vieux Nos espérances brûlantes Ont eu des déficiences, Qu’il faut tenir en défiance. On ne peut pas toujours tout choisir, Vaut mieux construire que détruire. Ça vaut, ça vaut, ça vaut la peine. Ça vaut, ça vaut, ça vaut, ça vaut la peine. Ah le temps passe et puis s’en va. Ne restez pas comme ça, Vivez la vie comme elle sera. Nous avons tous fait des vœux Sur une étoile filante Comme des bagages trop vieux Nos espérances brûlantes Ont eu des déficiences, Qu’il faut tenir en défiance. On ne peut pas toujours tout choisir, Vaut mieux construire que détruire. J’aime l’extravagant, Les étudiants de ce mois de mai à Paris, Qui parlaient avec le sentiment, aimaient avec l’esprit, Et cultivaient un cœur conscient. Qui rêve de voler vers Mars ou ailleurs, Qui joue son propre rôle ici, Donne un sens à sa douleur, Qui de courage s’emplit De sa vie est l’auteur. Pour qui a donné et jamais pris, Pour qui n’a jamais fléchi, Pour qui cherche de tout cœur À être un peu meilleur, Il existe une espérance infinie : Qui s’appelle la vie. |