DSA Commando: Peste nera
GLI EXTRA DELLE CCG / AWS EXTRAS / LES EXTRAS DES CCGOriginal | Version française – LA PESTE NOIRE – Marco Valdo M.I. – 2020 ... |
DSA COMMANDO: PESTE NERA | LA PESTE NOIRE |
[Heskarioth] | [Heskarioth] |
Senti l'eco del rantolo della morte tra le corsie d'ospedale Crepando in posa fetale, strozzato da vomito fecale Dissenteria,vertigini, febbricitante infermità mentale Dio vi ha abbandonato o vi odia in modo viscerale Un'orda nera di ratti si arrampica dallo scarico Cerca un varco a morsi nella carne, espande il morbo, porta il panico Attratti da cataste di carcasse di corpi corrotti a cui Stormi di corvi in picchiata strappano gli occhi Putrescenza a fiotti sgorga da volti rappresi Nemesi divina dispensa rovina sotto un cielo cremisi Tu pensa ai giorni spesi mentre ti gonfi di ascessi La peste è una canzone, scandisce a tempo i decessi Escariota, verme, untore, appestato, capro espiatorio Rido con gli occhi al contrario sotto i ferri all'interrogatorio Non mi frega un cazzo di crepare, il mio percorso è lastricato d'ossa Getta calce e sputami dentro la fossa | Ecoutez l’écho du râle de la mort dans les couloirs de l’hôpital. Crevant en pose fœtale, étranglé par un vomissement fécal, Dysenterie, vertiges, fébrile infirmité mentale, Dieu vous a abandonné ou vous déteste de façon viscérale. Une horde de rats noirs montent de l’égout, Mordent dans la chair, répandent la maladie, provoquent la panique, Attirés par des piles de carcasses de corps corrompus où Des vols de corbeaux arrachent les yeux, extatiques. La putrescence dégorge des visages maculés Némésis, divine, répand la ruine sous un ciel rosé. Vous pensez aux jours passés pendant qu’enflent vos abcès, La peste est une chanson, elle scande le tempo des décès. Escariot, ver, oncteur, pestiféré, bouc expiatoire, Je ris les yeux à l’envers sous les fers lors de l’interrogatoire. Je me fous de crever, mon chemin est pavé d’os, Jetez de la chaux et crachez sur moi dans la fosse. |
[Macmyc] | [Macmyc] |
Epidemia,moria,paralisi,cancro nel vento,sta metastasi miete vite a tradimento Fosse comuni colme che creano colli di corpi viola,violento,la parola,una sola,ed e' isolamento In quarantena il morbo e' bava in bocca a ratti,il tunnel degli orrori per risucchiarti e poi farti fuori,fuori Gente spogliata della vita suda sotto un telo,poi Scalda la cena agli avvoltoi che fanno un cerchio in cielo Agonia,magia,mac crowley il maledetto all'angelo dell'avvento strappa le ali Non sento emozioni tali da farmi un fottuto pianto e la! Speranza vale tanto quanto un posto al campo santo Croci dipinte sulle porte,sbarre alle finestre rotte,accampamenti di appestati nelle grotte Ho vomito e vista fuori fuoco ne legami o valvole di sfogo legami con gli altri e bruciami sul rogo | Épidémie, mortalité, paralysie, cancer dans le vent En train de métastaser, moissonnent les vivants. Les fosses communes créent des collines de corps violets, Le mot, un seul, terrifiant, violent, et c’est l’isolement complet. En quarantaine, la maladie est bave dans la bouche des rats, Le tunnel des horreurs vous sucera et vous tue, tue, tuera. Les gens dépouillés de leur vie suent sous un linceul, Puis font le dîner pour les vautours qui tournoient dans le ciel. Agonie, magie, Mac Léod, Crowley le démon À l’ange de l’Avent arrache les ailes. Pour pleurer, je ne ressens pas assez d’émotion, L’espoir vaut mieux qu’une vie éternelle. Des croix peintes sur les portes, des barreaux de fenêtres cassés, Dans les grottes, des campements de pestiférés. J’ai vomi et j’ai vu dehors le feu, pas de soupape de sécurité. Liez-moi avec les autres et brûlez-moi sur le bûcher ! |
[Hellpacso] | [Hellpacso] |
Rifiuti organici tra fiale in simbiosi con i roditori Isolato in vecchi quartieri concepiti a nuovi sanatori Qua vivi o muori,esperimenti fuori dalla norma Corpi repellenti dal marcio prendono forma Crea,l'epidemia fobia,senza anestetici Un'arto da amputare sotto un cielo nero necrosi Un'altro morbo letale manda teste sulla gogna Per le strade come un cane Pronto al morso e a propagare rogna Non c'è vergogna† brucia piano tra le essenze Sale invano e sa di fogna per coprire tutte le apparenze Afflitto assisto resisto finchè non muoio La salvezza non ha un volto e ti accarezza con i guanti in cuoio Ingoio blatte vitale la regressione A capo chino piu' continuo mi avvicino verso l'estinzione Verso la fuga riverso nel sotterraneo Corrosivo come larve nel derma sottocutaneo | Déchets organiques entre les bouteilles et les rongeurs noirs, Isolés dans de vieux quartiers conçus comme de nouveaux mouroirs, Ici, on vit ou on meurt, on fait des expériences hors norme : Des corps repoussant de pourriture prennent forme. On crée l’épidémie de phobies, sans anesthésique. Un membre à amputer nécrose sous un ciel en entonnoir, Une autre maladie mortelle promène les têtes sur des piques, Randonnant par les rues comme un chien noir, Prêt à propager la gale, il mord. Il n’y a pas de honte, brûlez doucement parmi les essences, Sel vain et saveur d’égout pour couvrir toutes les apparences Affligé, j’assiste, je résiste jusqu’à ma mort. Le salut n’a pas de visage ; avec des gants de cuir, il caresse. J’avale des blattes, je recule, je régresse ; Je continue, je m’en vais vers l’extinction à tête basse. Vers la fuite, je retourne dans le souterrain Corrosif comme des larves sous la peau des mains. |
[Krin 183] | [Krin 183] |
Fiumi accompagnano salme verso un estuario ormai saturo di carogne il male Infligge pene immonde è un ecatombe sociale uguale Dentro le case padri tagliano la giugulare Figli scordano la propria madre la città è spettrale Niente prole autoerotismo su membri scarnificati Lichen simplex, squame, corpi polverizzati Nati senza zodiaco allo stesso modo marchiati Sulle spalle una croce atroce a gran voce indica i rinnegati Dottori cercano la causa oscura Polveri diaboliche, unguenti , agenti contro natura Ventose succhiano veleno, altre cicatrici Mentre piaghe portano allo stremo intorno solo nemici Fuori le mura stessa vita, il fuoco cura Lo accende chi ha fatto voto, l'inferno l'unica via d'uscita L'inferno sarà l'inizio di una vita, la fine del contagio omicida La morte del parassita | Les rivières accompagnent les dépouilles Dans un estuaire désormais saturé de charognes ; Le mal inflige une peine immonde, un carnage social égal. Dans les maisons, les pères se taillent la jugulaire, Les fils oublient leur mère, La ville sombre spectrale. Pas de descendance, onanisme furieux sur des membres décharnés, Lichen simplex, squames, corps pulvérisés Nés sans zodiaque, de la même façon marqués de la croix Sur les épaules, une voix atroce indique les renégats. Les docteurs cherchent la cause obscure : Poudres diaboliques, onguents, agents contre nature. Les ventouses sucent le poison et cicatrisent Tandis qu’à l’épuisement, les plaies conduisent. Hors des murs, même vie, le feu guérit Qui a fait vœu l’allume et le nourrit, L’enfer est la seule sortie, L’enfer sera le début d’une vie, La fin de la contagion de la mort subite, La mort du parasite. |