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Versione italiana di Francesco Mazzocchi
CE QUE L’ON RENCONTRE ICIQUALUNQUE COSA CI CAPITI QUI
  
Ce que l’on rencontre ici,Qualunque cosa ci capiti qui
C’est la camaraderie.sia bandiera lo spirito cameratesco!
Aucun ne va vraiment bien :A nessuno veramente va bene,
La solidarité le tient.perciò si esercita la solidarietà!
  
Verte colonne au réveil,Verdi colonne avanzano fuori
Par la pluie et le vent et le soleil,col sole, la pioggia e lo scroscio della tempesta.
Passe tête haute les noirs barbelés :E poi la marcia va attraverso il filo spinato,
Soldats des marais !su la testa, soldato della palude!
  
Pâle et froid le grand matin.Albeggia presto il pallido mattino,
Le signal nous met en train,già ci sveglia sempre il segnale,
Les jours passent, hier, demain,passano giorni, ieri, oggi,
La monotonie sans fin.desolata monotonia.
  
Verte colonne au réveil,Verdi colonne avanzano fuori
Par la pluie et le vent et le soleil,col sole, la pioggia e lo scroscio della tempesta.
Passe tête haute les noirs barbelés :E poi la marcia va attraverso il filo spinato,
Soldats des marais !su la testa, soldato della palude!
  
Camarade du marais,Camerata nella squallida palude,
Si la porte un jour s’ouvrait,se anche una volta per te si apre la porta,
Reste fort, compatissant :sta sicuro, qualunque cosa si faccia,
Pense à ceux qui sont dedans.pensa che qualcuno rimane dentro!
  
Verte colonne au réveil,Verdi colonne avanzano fuori
Par la pluie et le vent et le soleil,col sole, la pioggia e lo scroscio della tempesta.
Passe tête haute les noirs barbelés :E poi la marcia va attraverso il filo spinato,
Soldats des marais !su la testa, soldato della palude!
A cause du danger qui accompagnait leur emploi, les mélodies des chants de travailleurs étaient rarement employées. La reprise du chant de l’Agit-prop révèle que ce chant était très aimé dans le Marais et aussi dans d’autres camps. Dans le camp d’Esterwegen, les prisonniers portaient d’anciens uniformes de police verts. Dans d’autres camps de marais, le refrain chanté était «Schwarze Kolonnen – Colonnes noires», selon la couleur des vêtements des prisonniers. (op. cit. p. 22)


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