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Al Carneval

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Version française – AU CARNAVAL- Marco Valdo M.I. a – 2010
AT THE CARNIVAL

In the rich inventiveness of a vexed banquet
Fancifully clothed in clichés
In the city where it is always carnival time
Amid cemeteries filled with dust
I wish to nourish the dismay
Of costume-wearing time
And in the everyday throng
Give caresses which no one dares receive
Scaring with truth
Paths adorned for the carnival
At the carnival
To mask a non-existent appearance
I wish to strip the monuments
Of a disposable peace
Down to a carnival to cut up
Dreams into confetti of candid irony
To hand my life out
To the participants of a vague eternity
To avert the satiated conspiracies of silence
That brighten carnival dances and grunts
Howls never fully heeded resound
The human wait for one’s family or who knows what
Fathers reply they’re waiting for the otherworld
Imbibing a useless belief in another path
Brothers lost are now drunkards caught in the enema
Of a carnival on a bed of pleasure
Crowning godfathers and then putting
Their draught of truth off
By finding solace in a coffee


AU CARNAVAL

Dans l'esprit exubérant d'un joyeux balthazar
Par l'inspiration accoutré d'un habit de clichés
Dans la ville où c'est toujours carnaval
Au milieu des cimetières remplis par la poudre,
Je veux par désarroi changer d'habitude
Le travestissement du vent.
Et dans la cohue de son train-train quotidien
Lancer des caresses qu'on n'ose pas accepter
Et épouvanter de vérité
Les sentiers déguisés en carnaval.

Au Carnaval
Pour masquer une apparence qui n'est pas
Je veux dépouiller au carnaval
Les monuments d'une paix à rendre
Au carnaval pour taillader
Des rêves en confetti de candide ironie
Pour dispenser ma vie
Parmi les participants d'une vague éternité
Pour conjurer l'omertà nauséeuse
Qui anime les danses et les grognements du carnaval.

Pleuvent des aboiements jamais secourus à fond
Humaine attente de famille ou de qui sait
Des pères disent attendre d'autres mondes
En cultivant de vaines croyances en une autre voie
Frères perdus désormais bienheureux dans la seringue
D'un long carnaval sur un lit de plaisir
En couronnant des parrains et en apaisant
Leur soif de vérité
Dans le réconfort tacite d'un café.


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