La scienza, il progresso, la nuova nobiltà
Fausto Rossi (Faust'o)Version Française – JE NE VEUX PAS – Marco Valdo M.I. – 2015 ... | |
LA SCIENCE, LE PROGRÈS ET LA NOUVELLE NOBLESSE Je ne veux pas être adoré par des animaux Ni des végétaux ou toute autre présence Sur cette planète qu'est la terre. Je ne veux pas avoir peur d'échange d'amour N'importe où et avec n'importe qui libre Et pas des filles ou des mecs imaginaires. Je ne veux pas de police dans les rues Sons jaunes et bleus jour et nuit Qui rappellent les asiles et les morgues. Je ne veux pas un travail qui soit solitude Misère et pauvreté et empoisonne noter vie. Alors volez, volez pour de vrai Alors brûlez, brûlez pour de vrai Et respirez, respirez pour de vrai Alors volez, volez pour de vrai. Je ne veux pas être gouverné Par des hommes monstrueux et par un Dieu Qui ne me ressemble en rien Si ce n'est par notre nature commune Je ne veux pas tomber à genoux Devant vos machines Qui sont des asiles dans le désert Où la terre est douce, mais le ciel est inhumain. Je ne veux pas que l'Église Continue à m'appeler son fils Pour se trafics supranaturels qu'on appelait autrefois Guerre Sainte. Je ne veux plus de télévision dans nos maisons Mais le silence absolu De chaque être humain sur cette planète. Alors volez, volez pour de vrai Alors brûlez, brûlez pour de vrai Et respirez, respirez pour de vrai Alors volez, volez pour de vrai. | JE NE VEUX PAS Je ne veux pas que les animaux m'adorent Ni les végétaux ou n'importe quel habitant De cette planète qu'est la terre. Je veux pouvoir faire l'amour librement N'importe où, avec n'importe qui, n'importe quand Et pas avec des filles ou des mecs imaginaires. Je ne veux pas de police dans les rues, De sons jaunes et bleus de jour et de nuit Qui rappellent les asiles et les morgues. Je ne veux pas d'un travail qui soit solitude, Misère et pauvreté et empoisonne notre vie. Alors volez, volez pour de vrai Alors brûlez, brûlez pour de vrai Et respirez, respirez pour de vrai Alors volez, volez pour de vrai. Je ne veux pas être gouverné et contraint Par un Dieu et par des monstres Qui ne me ressemblent en rien Si ce n'est par notre commune nature. Je ne veux pas tomber à genoux Devant vos machins Qui sont des asiles dans le désert où La terre est douce et le ciel inhumain. Je ne veux pas que l'Église M'appelle son fils naturel Pour m'inviter à ses trafics surnaturels Qu'elle appelait autrefois Guerre Sainte. Je ne veux plus de télévision dans nos maisons Mais le silence absolu et profond Pour chaque être humain sur cette planète. Alors volez, volez pour de vrai Alors brûlez, brûlez pour de vrai Et respirez, respirez pour de vrai Alors volez, volez pour de vrai. |