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Lei presoniers

Dupain
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Versione italiana di Riccardo Venturi
LES PRISONNIERSI PRIGIONIERI
La porte de fer soudain s’est ouverte,
bouche aveugle sur la nuit.
Ils descendirent.
C’étaient des adolescents, avec encore dans la voix
le printemps
et une flamme d’étoiles qui les brûlait à l’intérieur.
Aucun ne suppliait. Il pleuvait lentement,
infatigablement.
La porta di ferro s'è aperta all'improvviso,
bocca cieca sulla notte.
Sono scesi.
Erano ragazzi, con ancora in bocca
la primavera
e una fiamma di stelle che ardeva loro dentro.
Nessuno supplicava. Piovigginava
senza sosta.
La rue reflétait quelques lumières comme des roses ouvertes,
vidées de leur sang.
Les attendaient les tourmentes de fer des instruments
assassins,
les bottes policières.
Les fouets claquaient comme des coups de feu féroces.
Les coups et la pluie croissaient, croissaient sans cesse,
La via rifletteva delle luci come rose aperte
ma svuotate del sangue.
Li aspettavano le torture di ferro degli strumenti assassini,
gli stivali dei poliziotti.
Le fruste sferzavano come delle scintille feroci.
I colpi e la pioggia aumentavano, aumentavano senza sosta,
et les cris de douleur venaient battre le mur.
Une main de fer étreignait une voix
pour toujours
l’on enterrait les cris
au fond des souterrains humides.
Quand vinrent les étoiles,
la nuit paraissait avoir honte.
e le grida di dolore battevano contro il muro.
Una mano di ferro stringeva una voce
per sempre
le grida erano seppellite
in fondo a sotterranei umidi.
Quando arrivarono le stelle
la notte sembrava vergognarsi.


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