Elle est à toi cette chanson, toi, le besson qui sans façon
Veut expulser des sans papier parce que sarko l’a imposé.
Toi qui avec tes p’tits préfets, sa police et ses valets,
Tous ces gens bien assermentés, avez commencé à rafler.
Ce n’était rien que des papiers, mais nécessaires pour circuler
Et dans nos têtes résonnent encore les coups de bottes sur nos corps
Toi, le besson, quand tu sauras que ta méthode on en veut pas,
Qu’elle te conduise aux oubliettes, et ça à perpèt’
Elle est à toi cette chanson, quand toi sinistre d’intégration
Est entré en chasse infernale pour l’identité nationale
Toi qui as choisi l’ADN, pour qu’les maigret et les le pen
Tous ces gens bien conditionnés la haine continuer à semer
Tu n’étais rien qu’un p’tit ministre mais avec un regard sinistre
Et dans tes yeux on peut y voir la trahison de ton histoire
Toi, le besson, quand tu sauras que ta methode on n'en veut pas,
Qu’ils te conduisent aux oubliettes, et ça à perpèt’
Elle est à toi cette chanson, toi le hongrois d’importation,
Maire de Neuilly, près de Paris, la ville de tous les nantis.
Toi qui as toujours applaudi quand les pasquas, les chevèn’ments,
Tous ces gens mal intentionnés riaient de nous voir arrêtés
On s'bat parç'qu'on est concerné, nous sommes tous des sans papier,
Et dans nos luttes, on gueule encore, contre les coups on est plus fort
Toi, le besson quand tu verras qu’on ne baiss’ra jamais les bras
Tous défendont les sans papier ! SOLIDARITÉ !
Veut expulser des sans papier parce que sarko l’a imposé.
Toi qui avec tes p’tits préfets, sa police et ses valets,
Tous ces gens bien assermentés, avez commencé à rafler.
Ce n’était rien que des papiers, mais nécessaires pour circuler
Et dans nos têtes résonnent encore les coups de bottes sur nos corps
Toi, le besson, quand tu sauras que ta méthode on en veut pas,
Qu’elle te conduise aux oubliettes, et ça à perpèt’
Elle est à toi cette chanson, quand toi sinistre d’intégration
Est entré en chasse infernale pour l’identité nationale
Toi qui as choisi l’ADN, pour qu’les maigret et les le pen
Tous ces gens bien conditionnés la haine continuer à semer
Tu n’étais rien qu’un p’tit ministre mais avec un regard sinistre
Et dans tes yeux on peut y voir la trahison de ton histoire
Toi, le besson, quand tu sauras que ta methode on n'en veut pas,
Qu’ils te conduisent aux oubliettes, et ça à perpèt’
Elle est à toi cette chanson, toi le hongrois d’importation,
Maire de Neuilly, près de Paris, la ville de tous les nantis.
Toi qui as toujours applaudi quand les pasquas, les chevèn’ments,
Tous ces gens mal intentionnés riaient de nous voir arrêtés
On s'bat parç'qu'on est concerné, nous sommes tous des sans papier,
Et dans nos luttes, on gueule encore, contre les coups on est plus fort
Toi, le besson quand tu verras qu’on ne baiss’ra jamais les bras
Tous défendont les sans papier ! SOLIDARITÉ !
inviata da adriana - 18/9/2010 - 14:00
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Musique : Brassens (air de l’Auvergnat)