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Birmingham Sunday

Richard Fariña
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Traduzione francese da l'histgeobox
DOMENICA A BIRMINGHAMDIMANCHE A BIRMINGHAM
  
Sedete qui intorno canterò una canzoneVenez vous asseoir près de moi et je vais vous chanter une chanson.
Lo farò dolcemente senza urtare personeJe vais la chanter si doucement, elle vous plaira.
Il sangue scorreva come un’alluvioneA Birmingham dimanche le sang coula comme le vin
E il coro cantava la libertàet les chœurs continuèrent à chanter la Liberté
  
Il sole quel giorno non lo vide nessunoPar ce froid matin d'automne, personne ne vit le soleil,
E Addie Mae Collins era il numero unoet Addie Mae Collins fut la première.
Verso la chiesa andate pian pianoA la vieille église baptiste, il n'y avait aucun besoin de courir,
E il coro cantava la libertàet les choeurs continuèrent à chanter la Liberté.
  
Il vento soffiava più forte e profondoLes nuages étaient gris et les vents d'automne soufflaient,
A Denise McNair fu dato il secondoDenise McNair porta le nombre à deux.
Il falco di morte è noto nel mondoLe faucon de la mort est une créature qu'elles connaissaient
E il coro cantava la libertàet les chœurs entonnèrent des chants de Liberté.
  
La chiesa era piena e nessuno cheL'église était comble, mais personne ne put voir
Vide che Cynthia Nesley era il numero treque le sombre numéro de Cynthia Wesley était le trois
Avrei avuto vergogna anch’io come teses prières et sa sincérité vous aurez rendu honteux, vous et moi.
E il coro cantava la libertàet les chœurs continuèrent à chanter la Liberté.
  
E poi Carol Robertson varcò quella portaLa jeune Carol Robertson entra
La carta per lei era la quartaet le chiffre que ses tueurs lui avait attribué était le quatre.
Fu benedetta e lasciò il posto ad un’altraElle demanda une bénédiction, en vain,
E il coro cantava la libertàet les chœurs continuèrent à chanter la Liberté.
  
La terra tremava quel giorno più forteCe dimanche à Birmingham un bruit fit trembler le sol,
Un grosso boato e a persone lì assortetous les gens de la terre tournèrent leurs regards.
Sembrò di vedere in faccia mortePersonne n'avait jamais entendu un son si lâche,
E il coro cantava la libertàet les choeurs continuèrent à chanter la Liberté.
  
I boscaioli mi chiesero seLes hommes dans la forêt me demandèrent un jour,
Crescevano bacche nel mare e perchécombien de baies noires se développèrent dans la mer.
E chiesi io a loro piangendo un po’Je leur ai demandé alors avec une larme au fond de l'œil.
Quante navi ci sono nel bosco non soCombien y a -t-il de sombres navires dans la forêt?
  
Il giorno è volato come un aironeCe dimanche est venu et il est passé
E questa compagni è la mia canzoneet je ne peux pas faire plus que de vous chanter cette chanson.
La canterò piano senza urtare personeJe la chanterai si doucement, qu'elle plaira à tous.
E il coro cantava la libertàEt les chœurs continuèrent à chanter la Liberté.


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