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Il giorno in cui vennero gli aerei

Yo Yo Mundi
Lingua: Italiano


Yo Yo Mundi

Lista delle versioni e commenti


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(Stavros Xarchakos / Σταύρος Ξαρχάκος)
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(Marco Valdo M.I.)


[2008]
Album:"Album Rosso"

55
L’abbraccio strano delle
ombre
che fluttuavano nel
cielo
Le carezze delle bombe
che
lasciavano cadere
Lei ti cerca
amico mio
Con mano di ciclope ti
solleva in aria
La falce taglia
via la vita
Smarrita in un mare
di polvere d’oro
Il giorno in
cui vennero gli aerei
dalle ali
grigie, dalle pance gonfie
dalle bocche nere … Avreste dovuto
vedere
Non serve piangere e
Pregare
Detesta la pietà ci gode
ad ammazzare
Non serve correre e
gridare
lei sa sempre dove
venirti a cercare
L’abbraccio
strano delle ombre
che
fluttuavano nel cielo
Che carezze
quelle bombe
C’è chi fa finta di
non sapere
Il giorno in cui
vennero gli aerei
a dire bugie,
a raccontare scuse, ad
annientarci
Avreste potuto
salvarci?
Il giorno in cui
vennero gli aerei
dalle ali
grigie, dalle pance gonfie
dalle
bocche nere
Avreste dovuto vedere

inviata da adriana - 12/12/2008 - 10:27



Lingua: Francese

Version française – LE JOUR OÙ VINRENT LES AVIONS – Marco Valdo M.I. – 2012
Chanson italienne - Il giorno in cui vennero gli aerei – Yo Yo Mundi – 2008



Ah, Lucien l'âne mon ami, comme les choses sont curieuses, comme les tours et les détours des circonvolutions du temps et des pensées perdues dans le labyrinthe de nos cerveaux engendrent d'étranges coïncidences.


Houlala, que me contes-tu encore, Marco Valdo M.I., mon ami ? Je te rappelle que tu es censé me parler de la chanson des Yoyo Mundi que tu viens de traduire ou presque.


Bien évidemment, je ne te parle que d'elle. J'aime d'ailleurs beaucoup sa dimension poétique. Mais laisse-moi dire ce que je veux te dire et aller jusqu'où je veux aller. J'énumère d'abord les coïncidences. Premier temps, j'écris ex abrupto, il y a quelques jours, une canzone intitulée Le Bombardement Le Bombardement, dont je te disais que je ne savais trop comment elle était venue à partir d'un texte signé Venturik; je te disais aussi qu'elle racontait n'importe quel bombardement... Qualsiasi bombardamento... Deuxième temps, je traduis cette chanson qui raconte elle aussi l'arrivée des avions et la chute des bombes et ce qui s'ensuit. On n'y sait pas plus de quel bombardement il s'agit.


En effet, il y a là une étrange circonstance... Mais, somme toute, rien de vraiment étonnant, tant le bombardement est devenu une des pratiques répandues des guerres de ces cent dernières années... Auparavant, il n'y avait pas d'avions... Ceci explique cela ...


Peut-être, dit Marco Valdo M.I. en hochant la tête doucement. Peut-être bien...


Quoi qu'il en soit, dit Lucien l'âne un peu désorienté, ce sont là des épisodes de cette Guerre de Cent Mille Ans que les riches font aux pauvres depuis tant de temps déjà... Peut-être même depuis toujours...


Peut-être... Peut-être bien depuis toujours... Depuis les temps où les hommes ont commencé leur chemin vers leur humanité...


Il est bien long le chemin de l'humanisation de l'homme. Nous les ânes qui marchons à côté d'eux nous en savons quelque chose.


Mais, vois-tu Lucien l'âne mon ami, il est une certitude, en quelque sorte axiologique ou axiomatique et c'est celle-ci : que l'homme humain, l'homme arrivé à sa pleine humanité est devant nous, là-bas au bout de l'histoire de la Guerre de Cent Mille Ans quand il aura enfin su se débarrasser de son goût pour la richesse, de son appétit de richesses et de pouvoir, quand il s'acceptera en tant qu'homme tel qu'il est sans plus se réfugier dans l'apparence des choses.


C'est pour cela qu'il convient que nous reprenions sans discontinuer notre tâche et que nous tissions le linceul de ce vieux monde avide, assoiffé d'apparence, pris à son jeu de Narcisse, nombriliste, avare, absurde et cacochyme. (Heureusement !)



Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane.
LE JOUR OÙ VINRENT LES AVIONS

L'étreinte étrange des
Ombres
Qui flottaient dans le
Ciel
Les caresses des bombes
Qu'ils
Laissaient tomber
Elle te cherche
Mon ami
Avec une main de cyclope
Te soulève en l'air
La faucheuse coupe
Ta vie
Égarée dans une mer
De poussière d'or
Le jour où
Les avions vinrent
Aux ailes grises, aux panses gonflées
Aux bouches noires...
Vous auriez dû voir
Il ne sert à rien de pleurer et
De prier
Déteste la pitié qui jouit
À tuer
Il ne sert à rien de courir et
De crier
Elle sait toujours où
Venir te chercher
L'étreinte étrange des
Ombres
Qui flottaient dans le
Ciel
Quelles caresses
Ces bombes
Il y a celui qui fait semblant de
Ne pas savoir
Le jour où
Vinrent les avions
Dire des mensonges,
Radoter des excuses,
Nous anéantir
Auriez-vous pu nous sauver?
Aux ailes grises, aux panses gonflées
Aux bouches noires...
Vous auriez dû voir

inviata da Marco Valdo M.I. - 27/10/2012 - 18:40


Anche in questa canzone si rievoca l'arrivo degli aeroplani: a Parigi.

Gian Piero Testa - 28/10/2012 - 08:27




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